CALEPIN DE NOTES
DES CORRESPONDANTS
LETTRES ET ARTICLES VARIÉS

Varia #4
Janvier 2004

Cellules souches embryonnaires,
pas si fort que ça...

L'instabilité des cellules souches embryonnaires
Une publication de "Nature Biotechnology" de janvier 2004 révèle que les cellules souches embryonnaires humaines rencontrent un nouveau problème majeur. Une lignée de cellules souches embryonnaires humaines largement utilisée en recherche se révèle à long terme instable en culture. Après 6 mois de croissance, ces cellules présentent un excès de chromosomes 12 et 17.

Cette lignée avait pourtant été considérée comme stable et dépourvue d'anomalie chromosomique et distribuée dans 150 laboratoires de par le monde.

Cette découverte remet en cause le développement de stratégies thérapeutiques faisant appel aux cellules souches embryonnaires.

Coupables, pas redevables
SABINE DORVAL

CHRISTOPHE SCHOUNE

Belga.

« Le tribunal correctionnel de Namur suspend le prononcé pour 12 des 13 militants anti-OGM. Ils devront verser un euro à Monsanto pour avoir saccagé ses champs. La multinationale pourrait réclamer davantage.
Toutes les affirmations selon lesquelles les OGM sont le produit d'une certaine perversité biologique n'ont pas perturbé le cours de la justice belge. Piétiner des cultures est toujours interdit par la loi. Ce lundi, les treize prévenus qui avaient voulu dénoncer la menace transgénique ont été
reconnus coupables.

Le 7 mai 2000, après avoir participé à un séminaire sur la résistance aux organismes génétiquement modifiés, une centaine de personnes s'étaient rendues à Franc-Waret, là où Monsanto exploitait une ferme expérimentale.
Ils avaient franchi les grilles et pénétré sur les terres où ils avaient piétiné ou arraché diverses cultures (colza, de maïs, betteraves). Le dossier du saccage avait été classé sans suite, mais Monsanto s'était constituée partie civile, ouvrant la porte aux poursuites pénales. Treize des manifestants avaient été identifiés sur des photos et furent cités en correctionnelle, à Namur, prévenus de violation de domicile mais aussi d'avoir
« méchamment » coupé ou dévasté des cultures.

Les audiences avaient permis à plusieurs spécialistes de témoigner de la menace que constituent les organismes génétiquement modifiés. CONFIER LA VIE SUR TERRE AUX PRODUCTEURS D'AGENTS TOXIQUES , C'EST TERRIBLE .. L'OGM
Terminator permet de fabriquer des plantes stériles. On ne sait pas ce qu'on fait en les créant, mais on fait du fric , avaient expliqué un épistémologue et un directeur de recherches français.

 

Devant la présidente Martine Scarcez, maître de Meese, avocat de Monsanto, avait déploré que cette contestation se soit exprimée par la violence plutôt que par un recours légal. Il avait souligné que l'action était mal à propos,
puisque les cultures dévastées « n'étaient pas » des OGM. Il réclamait 88.151 euros de dédommagement. Le substitut Hugues Marchal avait regretté cette forme de justice privée mais, pour la sanctionner, avait suggéré la suspension.

Quant aux défenseurs, ils avaient invoqué la nullité et l'irrecevabilité des poursuites, la sélection aléatoire de 13 inculpés, l'illégalité des cultures, l'état de nécessité en raison de la dangerosité des OGM Mme Scarcez a écarté tous ces arguments et constate qu'on ne lui apporte pas la preuve que les cultures de Franc-Waret étaient « illégales ». Elle note que le débat sur l'hypothétique dangerosité des OGM est ouvert. Il n'y a pas de preuve, dit-elle, qu'ils provoquent un dommage irréparable. Les prévenus disposaient d'autres moyens de recours, légaux ceux-là.

Reconnus coupables, douze des prévenus obtiennent la suspension du prononcé de la condamnation. Un seul, le Français René Riesel, qui faisait défaut au procès, est condamné à 1 mois de prison avec sursis et à une amende.

Monsanto, dont la réclamation est jugée surestimée et unilatérale, obtient cependant 1 euro provisionnel.

Nous sommes satisfaits de ce jugement, note Tom Mac Dermott, porte-parole de la multinationale. La culpabilité des fauteurs de trouble est reconnue et la porte est ouverte pour réclamer davantage de dommages.

Dans un communiqué, le parti Ecolo estime de son côté que le jugement ne fait pas avancer la discussion sur les moyens politiques, citoyens et militants qui peuvent être utilisés pour poser le sérieux problème des OGM dans l'agriculture belge. Lire aussi. Un « non, mais. »au colza transgénique http://www.lesoir.be/rubriques/belg/page_
5168_185222.shtml

Professeur de philosophie à l'Université libre de Bruxelles (ULB), Isabelle Stengers est une des treize personnes reconnues coupables par le tribunal correctionnel de Namur.-

Comment réagissez-vous face au jugement ?

Cela ne me surprend pas. Mais on n'est jamais surpris quand ce qui est probable gagne par rapport à ce qui est possible.

La juge n'a pas voulu que son jugement soit important. Elle nous a trouvés sympa, mais il ne s'agissait pas que ce type d'action réponde à une légitimité.

- Était-ce la mission d'un tribunal correctionnel de juger des faits de ce type ?

En jugeant comme un délit des actions de nature politique, le tribunal correctionnel est chargé de maintenir un ordre qui est politique par nature.

Il ignore des témoignages fondamentalement politiques. Il y a une dérive de la justice : on lui demande une tache qui n'est pas la sienne parce que ce terrain est nouveau et ne fait pas partie des modes de confrontation usuels.

Or, une manif' de routiers ou d'agriculteurs est souvent bien plus violente et coûte bien plus cher aux pouvoirs publics... Mais on décide volontairement de fermer les yeux par cela fait
partie des formes acceptées de protestation..

- Vous estimez que la justice n'a pas été impartiale ?
-Il n'y pas eu d'instruction préalable au procès. Nous avons spontanément fait des aveux sur les raisons de notre présence à la ferme de Franc-Waret mais nous n'avons pas tous reconnu les trois préventions relatives à l'effraction et au piétinement de pousses de betterave et decolza. En ce qui me concerne, je n'avais reconnu que deux des trois préventions.

Ce qui est frappant, c'est qu'on a retenu nos témoignages
pour nous inculper mais pas pour dire ce qui est vraiment établi, ou non, pour chacun des treize manifestants.

- Comptez-vous interjeter appel ?

Nous avons conçu notre attitude en tant que collectif. La première priorité est de ne pas nous diviser. Nous étudierons si la poursuite d'une action en justice nous permettra de trouver des prolongements intéressants dans notre combat.

Ce procès fut un moyen de continuer à faire exister les arguments contre les organismes génétiquement modifiés
et, sur ce plan-là, nous avons réussi à porter le débat sur la place publique....
« Le maintien d'un ordre politique par nature »
Entretien :C.Schoune
Journal « le soir

Salut NENKI,
beaucoup de respect pour votre site. Je suis en contact étroit avec le médecin de famille, j'ai pu obtenir des renseignements qui vont dans le sens de ce que tu dénonces depuis longtemps: oui, les épidémies que l'on qualifie de grippe sont en constante augmentation, de plus, ces grippes se manifestent de différentes facons , suivant , le sexe et l'âge de la victime. On dirait que la nature cible ses patients en fonction prioritaire de leur état de santé. Certes il en est de même lors de toutes épidémies, seulement, en plus, ici, les gens de même âge sont confrontés à des symptomes personnalisés... Pourquoi? La seule réponse possible résulte dans les choix génétiques des cobayes humains. Il n'est peut-être pas programmé dès le départ , mais le tri s'opère de lui-même. Cela voudrait dire qu'un virus pourrait s'adapter à la force réactive de son hôte et de là générer la réponse appropriée à sa survie.
Amitiés, Marc B.

Qui est Nihoul dans l'affaire Dutroux ?

Bien entendu, je connais Jean-Michel Nihoul plus communément appelé Michel NihouL J'ai assisté à trois de ses procès pour faits d'escroquerie, de faux et usage de faux etc... Il s'agissait d'une part d'une escroquerie à la charité, l'homme avait monté une association carritative "SOS Sahel", il avait organisé des concerts de Claude Barzotti et même Chantal Goya, deuc chanteurs populaires pour ramasserde l'argent, de l'argent qui n'a jamais été dans les projets de développement du Sahel mais dans sa poche.

L'homme était lobbyiste pour le PSC, le parti social chrétien francophone, l'une des principales composantes de la politique en Belgique, c'est l'équivalent du parti conservateur républicain aux USA. Il était de mêche avec Vanden Boeynants à un moment donné, un ancien ministre de la défense, avec des avocats etc...

Il a été impliqué dans un réseau d'immigration clandestine d'africains. Puis dans des affaires de trafics de drogues dans une affairede trafic d'extasy en liaison avec l'affaire Dutroux. Des mill
D'autre part, Nihoul est cité à de nombreuses reprises pardes témoins mais également parcertains autres accusés de l'affaire Dutroux

1) D'être présent sur les lieux des enlèvements de plusieurs filettes
2) De servir de fournisseur à des gens hauts placés consommateurs d'enfants, ce qu'il nie avec véhémence. Pourtant, il y a un faisceau de présomption.

Quant à l'affaire du château, ce n'est pas dans le château Solvay qui se trouve dans la banlieue bruxelloise et qui est un domaine d'état. C'est une fausse rumeur. Par contre, il y a eu des partouzes, sans doute avec minuers d'âge, peut être avec mise à mort d'enfantsn tortures etc dans le château de Faulx les Tombes, un château acheté par la commune d'Etterbeek, l'une des communes de l'aglomération Bruxelloises.

On parle également d'un domaine et d'un château situé à la frontière francobelge, appartenant à une famille proche de la famille royale, faisant partie de la dotation royale mais j'ai oublié le nom du château.

David Icke en parle dans son livre les enfantsde la matrice mais c'est vraiment très imprécis et cela n'a jamais été évoqué dicectement dans les enquêtes de la cellule de Neufchâteau, à savoir la cellule d'enquête chargée d'élucider l'affaire Dutroux et les disparitions d'enfants ( Neufchâteau est une petite localité des Ardennes belges sise près de la frontière française, localité qui a été citée.

Je comprends ton indignation. Mais si tu savais ce qui se passe ici, tu aurais un ulcère. Tu sais, c'est le monde à l'envers. Par exemple, l'une des mamans d'une des petites victimes de Dutroux qui demande des comptes à la justice à cause de dysfonctionnements, de froideur administrative, de lenteurs voirede corruption a été et sera encore citée devant un tribunal correctionnel pour diverses raisons obscures (recel de documents frappés par le secret de l'instruction, etc... etc...). C'est le monde à l'envers. Par contre, Dutroux bénéficie d'agents pénitentiaires qui vont faire pour lui des achats de produits de confort et de luxe dans les grands magasins (mesures auxquelles les prisonniers normaux n'ont pas droit!) .
Et si cela ne vas pas assez vite à son gout, il défèque et barbouille de merde les murs de sa cellule en signe de protestation.
A.G.

Controverse autour de l'innocuité du saumon d'élevage

Le saumon , le saumon, le saumon, on entend que ça le saumon!
Le goujon, le goujon, le goujon, personne n'en veut du goujon!
Comme dit mon pote Gilles, " moi j ' préfère la truite"!
Salmonelose ou saumon, prends plutôt une bonne cuite.
Chemtrails, puces élértroniques, vaccins, antibiotiques...
C'est ça les joies de notre ère superatomique.

LE MONDE | 22.01.04 | 13h31
Publiée par la revue "Science", une étude américano-canadienne fait état du caractère potentiellement cancérigène de ce poisson issu de l'aquaculture. De nombreux scientifiques, européens et américains, contestent vivement les conclusions de ces travaux.
La filière française poissons et coquillages (FFPC) l'a annoncé sans ambages, vendredi 16 janvier. Alliée aux professionnels européens de l'aquaculture, elle a mis en place une cellule de veille pour évaluer les dommages économiques causés par la récente publication dans la revue Science d'une étude pointant le caractère potentiellement cancérigène du saumon d'élevage (Le Monde du 10 janvier). "Nous étudions la possibilité de demander réparation en justice, explique François Falconnet, directeur scientifique de la FFPC. Nous attendons de voir si les répercussions économiques sont réelles, ce que nous saurons aux alentours du 10 février." Pour l'heure, les responsables de la FFPC ignorent si les déclarations rassurantes de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) et de ses homologues européennes (Le Monde du 13 janvier) limiteront la défiance des consommateurs.

Aux Etats-Unis comme en Europe, les conclusions du travail dirigé par Ronald Hites, chercheur à l'université d'Indiana, sont très contestées. Ses résultats amènent l'équipe de chercheurs à recommander de limiter toute consommation de saumon d'élevage - en provenance d'Europe en particulier - à une seule portion mensuelle (200 grammes). Selon l'étude, le saumon sauvage du Pacifique peut être consommé sans risque en quantité environ dix fois supérieure.

Une telle recommandation, drastique, se fonde sur l'analyse de 700 échantillons de saumons, prélevés en supermarché, en ferme piscicole ou pêchés en pleine mer. Les taux des diverses substances ciblées - dioxines, dieldrine, toxaphène, PCB (polychlorobiphényles) - ne sont pas, au demeurant, au centre de la controverse. "Ces mesures sont cohérentes avec les nôtres, précise le toxicologue François André, président du comité Résidus et contaminants de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa). Toutefois, les taux de PCB affichés sont une fois et demie à deux fois supérieurs aux nôtres. Cela provient de la prise en compte de l'ensemble des PCB et non des seuls PCB indicateurs'', suivant la méthode pourtant traditionnellement appliquée au niveau mondial."

Les conclusions du toxicologue américain Charles Santerre, professeur au département d'alimentation et nutrition de l'université de Purdue (Indiana), rejoignent celles de l'Afssa et des différentes agences de sécurité sanitaire - dont la Food and Drug Administration américaine (FDA). M. Santerre, qui participe à des programmes de recherche en collaboration avec les aquaculteurs canadiens, précise dans un communiqué que "les bénéfices de la consommation de saumon d'élevage sont supérieurs aux risques potentiels". Sans, pour autant, remettre en question les données publiées par Science.

ÉVALUATIONS DES RISQUES

Comment, à partir de résultats bruts similaires, des conclusions aussi opposées peuvent-elles être tirées ? "Le premier élément de réponse, explique le biostatisticien Jean-Luc Volatier, responsable de l'Observatoire des consommations alimentaires de l'Afssa, tient à ce que les auteurs de l'étude ont pris en compte les effets additifs supposés de trois molécules : le toxaphène, les PCB et la dieldrine." Ces effets cumulatifs ne sont toutefois pas bien documentés et font l'objet de recherches. En outre, ajoute M. Volatier, le modèle d'évaluation des risques utilisé par Ronald Hites et ses collègues n'est exploité par aucune institution officielle, à l'exception de l'Agence américaine de l'environnement (EPA).

Outre le choix de ce modèle, son exploitation fait également l'objet de critiques. "Les auteurs calculent une quantité maximale de contaminants à ne pas dépasser, explique M. Volatier. Mais ils le font en prenant le saumon comme seul aliment vecteur." Les auteurs ont donc raisonné à partir de l'hypothèse de travail que le saumon est l'unique source de dioxines, de dieldrine, de toxaphène et de PCB dans l'alimentation. "Cela est contraire à toute approche de sécurité alimentaire dont l'objectif est d'évaluer un risque en tenant compte de toutes les sources potentielles, poursuit M. Volatier. Bien sûr, on peut penser que leur démarche a amené à une sous-estimation des risques... mais s'ils n'avaient pas exclu toutes les autres sources de contaminants, ils seraient peut être arrivés à la conclusion qu'il ne faut plus rien manger !" Ils auraient alors été amenés à questionner la validité du modèle utilisé et, en tout cas, la pertinence de son utilisation dans le cadre précis de l'étude.

CHOIX DISCUTABLES

D'autres lacunes sont pointées. Pour la plupart des spécialistes français que nous avons interrogés, la partie d'interprétation de l'étude n'avait pas sa place dans une revue comme Science. Le choix des échantillons, par exemple, est jugé discutable. A partir des analyses de saumons prélevés dans seulement trois supermarchés parisiens, les auteurs tirent, par exemple, une conclusion sur le taux moyen de contamination de ces poissons en vente à Paris...

Pour l'heure, Donald Kennedy, directeur de la rédaction de Science, oppose une fin de non-recevoir aux nombreuses critiques adressées à l'article publié. Comme tout autre article de recherche, dit M. Kennedy, celui-ci a subi "une robuste relecture par les pairs", ajoutant que "les auteurs sont des membres respectés d'institutions universitaires". La fondation Pew Charitable Trusts, qui a financé l'étude, "n'a pas demandé à relire le texte avant sa publication", poursuit M. Kennedy. Le directeur de la rédaction de Science ajoute que ses colonnes accueillent volontiers "tout débat scientifique sur les recherches publiées".

Stéphane Foucart

• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 23.01.04

Les personnes de plus de 30 ans devraient être mortes (intéressant).

Selon les régulateurs d'aujourd'hui et les bureaucrates, les gens qui étaient enfants pendant les années 50, 60 et 70 ne devraient pas avoir survécu pour les raisons suivantes :

Nos berceaux étaient couverts de couleurs vives sur base de plomb.
Rien ne nous empêchait d'entrer une fourchette dans une prise électrique.
Il n'y avait pas de couvercles ou bouchons à l'épreuve des enfants sur les bouteilles de médicaments, portes, armoires.
Lorsque nous nous promenions en bicyclette, nous ne portions pas de casques. (Sans parler des risques que nous prenions lorsque nous faisions de l'autostop sur une route 10 fois plus risquée qu'aujourd'hui).
Nous buvions de l'eau directement du tuyau d'arrosage du jardin et non d'une bouteille. Horreur!
Nous mangions des gâteaux, du vrai pain, du beurre, des liqueurs avec du vrai sucre mais nous n'étions jamais obèses parce qu'on passait tout notre temps à jouer dehors.
Nous partagions une bouteille avec quatre de nos amis, buvant directement de la bouteille et personne n'en est mort.
Nous passions des heures à bâtir des go-carts à partir de scrap et ensuite nous descendions une grande côte pour s'apercevoir arrivé en bas, que nous avions oublié les freins.
Après être entrés dans les buissons un bon nombre de fois, nous apprenions à résoudre le problème.
Nous sortions de la maison le matin et jouions toute la journée dehors et nous étions de retour avant que les lampadaires s'allument. Personne ne pouvait nous joindre de la journée. Pas de téléphone portable.
Impensable!
Nous n'avions pas de Playstations, Nintendo 64, X-Box, pas de jeux vidéo du tout, pas 99 canaux sur le câble, pas de vidéos, même pas de TV couleur et encore moins de DVD,pas de portables personnels, pas d'ordinateurs ou de "chat" internet.
Nos disques faisaient un bruit d'enfer mais nous les écoutions souvent sans nous abimer les oreilles .
Les grands fumaient sous le nez de leurs enfants sans aucune retenue
Nous avions des amis! Nous allions dehors et les trouvions (même sans portable !)
Nous avions le grill pain et le toaster 100% amiante, l'eau saturée de plomb,
le mercure de Chimie 2000 dans le 4 heure, le sniffage des peintures Heller.
Nous tombions des arbres, avions des coupures, nous nous brisions quelques os et dents et il n'y avait aucune poursuite sur les responsabilités de ces accidents.

Et vous êtes un de ceux-là! Félicitations !.

Journal l'Humanité
Rubrique Politique
Article paru dans l'édition du 19 janvier 2004.

Ils ont osé le faire "Les toilettes d'American Airlines" !

Franck Moulet vit un cauchemar. L'année avait pourtant bien commencé pour cet étudiant de vingt-sept ans, originaire des Bouches-du-Rhône : trois semaines de vacances idylliques avec sa fiancée sur les plages de sable fin de l'île de Saint-Domingue. Le 10 janvier, les amoureux s'apprêtent à regagner leurs pénates lorsque Franck est interpellé par la police new-yorkaise. Chef d'inculpation : " fausse alerte à l'attentat ". Rappel des faits. Lors du vol American Airlines Saint-Domingue-New York, Franck se sent mal. Il va, comme le commun des mortels, aux toilettes. Trop, apparemment, au goût de l'hôtesse de l'air, qui viendra frapper à la porte des cabinets et qui le gardera à l'oil tout au long du vol. Excédé, Franck lâchera à sa sortie de l'avion : " Vous ne croyez quand même pas que j'ai posé une bombe ? " Depuis, le Français est en prison ; il encourt une peine de quatre ans ferme. Ce n'est ni un canular ni une sitcom de série B made in USA. Franck Moulet est la victime de la psychose entretenue à l'attentat terroriste.

On savait qu'au pays de l'Oncle Sam il fallait éviter d'être pauvre, progressiste, noir ou encore originaire de pays arabes. Quelques nouvelles mesures de précaution s'imposent désormais si vous devez vous rendre aux États-Unis : évitez le regard fuyant ou insistant ; abstenez-vous d'être indisposé ; sachez que le temps " au petit coin " vous est compté ; et surtout n'ayez pas recours à la plaisanterie ou à l'agacement pour expliquer que vous êtes malade. Parce qu'aux States on ne badine pas avec l'humour.

Cathy Ceïbe

Cher Nenki,

VOICI UN ARTICLE QUI SE PASSE DE TOUT COMMENTAIRE QUANT A LA FOLIE FURIEUSE
DE PRETENDUS "SAVANTS" OU "MEDECINS" !!!!!!!

Il n'y a de nouveau aucune preuve... alors, info ou intox ? Mais peut-être nous cache-t-on les résultats et les bébés dans un but bien précis ?

L'article ci-dessous... A plus tard,
Vic.

Un médecin affirme avoir implanté le premier embryon humain cloné
samedi 17 janvier 2004,

LONDRES (AP) - Un médecin américain a provoqué l'indignation générale et le scepticisme de la communauté scientifique en affirmant samedi à Londresavoir implanté le premier embryon humain cloné dans l'utérus d'une femme de
35 ans, sans fournir la moindre preuve.

Dans une annonce habilement mise en scène, le Dr Panos Zavos a lancé sa petite bombe à l'issue d'une conférence de presse consacrée à un autre sujet. "Nous avons implanté le premier embryon il y a deux semaines", a déclaré ce spécialiste de la lutte contre la stérilité, travaillant
habituellement à Lexington, dans le Kentucky.

Le médecin a toutefois jugé prématuré de dire si cette implantation allait déboucher sur une naissance, voire même sur une grossesse. Il a évalué à 30% la probabilité de voir cette femme tomber effectivement enceinte.

Le Dr Zavos a refusé de donner l'identité ou la nationalité de la mère porteuse et de dire où s'étaient déroulés le clonage et l'implantation de l'embryon, opérations illégales en Grande-Bretagne. Il a simplement précisé que l'expérience n'avait été réalisée ni en Europe ni aux Etats-Unis.

L'embryon a été cloné à partir de cellules de peau provenant du mari de la mère porteuse, et l'implantation dans l'utérus a été filmé, a affirmé le médecin. A l'exception de "quelques modifications", le procédé utilisé est similaire à celui ayant permis de créer la brebis Dolly, premier mammifère à avoir été cloné à partir d'une cellule adulte, a ajouté le Dr Zavos, sans
toutefois apporter la moindre preuve pour étayer son annonce.

En revanche, le médecin américain a assuré que, si la grossesse réussissait et débouchait sur une naissance, des tests ADN seraient réalisés sur la mère, le père et l'enfant et rendus publics afin de prouver l'authenticité de ce clonage.

L'annonce du Dr Zavos a immédiatement provoqué un tollé dans les milieux politique, scientifique et religieux. Des experts ont accusé le médecin de chercher à exploiter le désespoir de couples stériles et l'ont défié de prouver ses dires.

Le secrétaire britannique à la Santé, John Reid, a rappelé que son "gouvernement partage l'aversion générale de l'opinion publique pour les tentatives de clonage humain et considère cela comme une utilisation manifestement abusive de la génétique". Et d'ajouter avec force: "Il n'y aura pas de bébés clonés en Grande-Bretagne tant que je serai secrétaire à
la Santé".

La Royal Society s'est déclarée "extrêmement sceptique" et l'un de ses porte-parole a accusé le Dr Zavos de chercher à se faire de la publicité. "Les travaux doivent être présentés dans les revues et les conférences scientifiques, et pas lors de conférences de presse hautement théâtrales", a-t-il ironisé.

"J'ai la vague idée que cet homme exploite la charge émotionnelle de parents cherchant désespérément à avoir des enfants", a renchéri Wolff Reik, expert en clonage à l'Institut Babraham de Cambridge. "Dans chaque expérience, 99% des clones meurent dans l'utérus et le pourcent restant a des problèmes. Par conséquent, il est toujours aussi irresponsable de le faire sur un humain."

Patrick Cusworth, du groupe de pression Life, a estimé que le médecin américain était venu faire son annonce à Londres dans le but de lui donner "le maximum de retentissement".

Il ne s'agit pas de la première annonce de clonage humain. L'an dernier, la société Clonaid liée à la secte des Raéliens, avait déjà annoncé la naissance du premier bébé cloné, une affirmation qui n'avait jamais été démontrée par la suite.

L'Autorité britannique d'embryologie et de fertilisation humaine, chargée d'agréer et de contrôler toutes les recherches sur les embryons humains menées dans le pays, a rappelé que l'implantation d'embryon humain cloné est illégale en Grande-Bretagne et passible d'une peine de 10 ans
d'emprisonnement.
AP

Protection de la vie privée: les étiquettes électroniques au coeur de la polémique

Par ZDNet France
27/8/2021
URL: http://www.zdnet.fr/actualites/technologie
/0,39020809,39116084,00.htm

Face aux protestations des défenseurs de la vie privée, plusieurs tests exploitant les "radio tags" -ou RFID- auprès d’usagers ont été stoppés cet été. D'autres projets sont à l’étude, dont celui d'intégrer cette technologie dans les passeports européens.

Mi-août, la chaîne de magasins britanniques Tesco a choisi de mettre fin à de très impopulaires tests de RFID (Radio Frequency Identification) ou "radio tags", qu'il menait avec le groupe américain Gillette.

Ces étiquettes électroniques, qui se présentent sous la forme de minuscules balises métalliques, réagissent aux ondes radio et transmettent ainsi des informations à distance. Le rayon d'action de ces codes barres de nouvelle génération est pour l'instant de seulement 1,5 mètre, mais avec des capteurs répartis sur tout un bâtiment il est possible de tracer leur parcours.

Gillette, l'un des acteurs les plus actifs sur l'expérimentation de cette technologie, étudie leur utilisation comme identifiant électronique de produits de grande consommation, afin notamment d'automatiser la gestion des stocks. Mais l'étude des comportements des consommateurs semble également est un centre d'intérêt.

Les RFID au service de la surveillance des clients?

En juillet dernier, le collectif américain Caspian (Consumers Against Supermarket Privacy Invasion and Numbering - nocards.org), a ainsi révélé qu'un test de Gillette mené avec Tesco, associait RFID et caméras vidéo afin de surveiller les clients. L'association a alors appelé au boycott des produits du groupe.

Moins d'un mois après, Tesco a choisi de mettre fin aux tests. La chaîne de magasins se défend de vouloir atteindre à la vie privée de ses clients, et prétend qu'il s'agissait d'expérimenter un nouvel outil pour lutter contre le vol. «Il n'y a pas de lien entre les protestations et la fin de ces essais», a par ailleurs affirmé à notre rédaction américaine, un porte-parole de la société.

Le revirement de Tesco n'est pas le premier du genre. En juillet, les supermarchés américains Wal-Mart ont annoncé qu'ils n'utiliseront pas de radio tags dans leurs magasins (lire notre article du 10/07/03), mais uniquement dans leurs entrepôts pour gérer les stocks.

Reste que d'autres projets sont toujours en cours. Tesco n'a pas totalement renoncé à l'exploitation de cette technologie. La société nous a précisé qu'un autre système RFID était actuellement testé dans certains de ses magasins, sans l'utilisation de caméra. De son côté, un porte-parole de Gillette nous a informé que le groupe menait un test similaire avec la chaîne de magasins allemande Metro.

page 2 - Des projets au-delà de la sphère commerciale

Des projets au-delà de la sphère commerciale

Au-delà du secteur industriel et de la grande consommation, les RFID sont également à l'étude dans d'autres domaines. Par exemple, les aéroports internationaux comme le Changi Airport de Singapour, le Schiphol d'Amsterdam ou le John F. Kennedy de New York, prévoient de tester le marquage des bagages par des radio tags. Ces balises radio intéressent également la Banque centrale européenne (BCE); elle aurait ainsi passé un accord avec Hitachi pour intégrer des balises RFID dans les prochains billets d'euros (lire notre article du 22 mai 2003).

En projet également: l'intégration de technologies «d'identification assistée par la machine», dont les RFID, dans les futurs passeports des résidants de l'Union européenne. Si à Bruxelles où siège la Commission, personne n'a pu nous renseigner sur ce projet, l'organisation internationale de standardisation (ISO) ainsi que l'organisme regroupant les acteurs de l'aviation civile, l'Internation Civil Aviation Organisation (ICAO), se sont réunis les 22 et 24 juillet dernier à Londres pour réfléchir au sujet.

Risque de vol d'identité

Ce dernier projet n'est pas non plus sans inquiéter le collectif Caspian. «Rendre les passeports lisibles par des machines ajoutera une inquiétante dimension de surveillance aux fonctions de ce document», explique à ZDNet, Katherine Albrecht, fondatrice et responsable de Caspian. «Des passeports marqués par des RFID contiendraient des informations sur l'identité de son porteur qui pourraient être lues à distance sans son consentement, et sans même qu'il en ait connaissance. Une opération susceptible d'être réalisée par n'importe qui doté du matériel approprié. Cela inclut les voleurs d'identité, les pickpockets, des marchands peu scrupuleux ou des gouvernement oppresseurs», poursuit-elle.

Caspian s'oppose donc à toute utilisation des RFID dans les passeports, comme dans tout moyen d'identification humaine. A tout prendre, le collectif privilégie l'utilisation de codes barres qui «garantit au moins le consentement de la personne», conclut sa responsable.

Pour une réglementation des RFID

Reste qu'il manque à cette technologie un cadre légal qui précise ses conditions d'utilisation. C'est justement ce qu'ont demandé Capsian et d'autres organismes de défense des libertés individuelles le lundi 18 août, lors d'une audition sur le sujet organisée au Sénat américain. La réunion était présidée par le sénateur démocrate, Debra Bowen, qui a fait de la défense de la vie privée un des ses chevaux de bataille. Elle est ainsi à l’origine de la première loi californienne limitant le spam (e-mail non sollicité) adoptée en 1998. Une réunion dont «l'objectif n'est pas d'interdire leur utilisation», a précisé Bowen à notre rédaction américaine.

Une action similaire est également menée au Royaume-Uni. Le député travailliste Tom Watson a déposé fin juillet une motion sur la réglementation des RFID, qui sera débattue au Parlement en septembre prochain.

RFID: Carrefour s’investit dans un projet mené par Intel
Par
ZDNet France
13/1/2021
URL: http://www.zdnet.fr/actualites/business/0,39020715,39136786,00.htm

Les "radio tags" ou puces à radiofréquences (RFID) sont bien destinées à devenir les successeurs des codes-barres dans la grande distribution. Carrefour se joint à la fête, au sein d'un projet qui réunit déjà Intel et ses concurrents Metro et Tesco.

Qui pourra donc y échapper? Pour l'instant pas grand monde. Car les étiquettes de type Radio Frequency Identification (RFID) deviennent au fil des mois les meilleurs candidats au remplacement des codes-barres pour identifier tout produit industriel dans la chaîne logistique. Et chacun cherche à placer ses pions.

Cette fois, c'est le géant des processeurs Intel qui tient à faire savoir qu'il a monté un groupe de travail avec trois des plus grands distributeurs européens, Carrefour, Metro et Tesco. Ce groupe interprofessionnel (Electronic Product Code Retail User's Group) s'est donné «l'objectif d’accélérer l’adoption de la technologie d’étiquettes radiofréquences EPC (Electronic Product Code) afin d’optimiser le contrôle des stocks, et ainsi réduire les charges d’exploitation et relever les marges». Dans son communiqué, il estime par ailleurs «qu’on peut envisager [ces étiquettes] comme les successeurs des codes-barres».

Promesse de réduction des coûts pour les distributeurs

Intel vient de terminer une série de tests validant l'ensemble de ses produits professionnels dans le cadre de la gestion logistique d'une grande surface. Il s'agit des processeurs Itanium 2 (gestion des bases de données en "back-office"), mais aussi de ses deux technologies destinées aux produits mobiles, Centrino (pour l'aspect réseau radio Wi-Fi) et XScale (architecture processeur).

Pour les distributeurs, la réduction des coûts promise par ces technologies dans la chaîne logistique (approvisionnements facilités grâce à la détection, dans le magasin, de tout produit sortant des linéaires) ne peut que les intéresser. Jeremy Hollows, directeur des activités B-to-B pour le groupe Carrefour, est cité ainsi dans le mémo diffusé par le fondeur: «Si Carrefour participe à cette initiative, c’est pour veiller à ce que ces nouvelles technologies très porteuses soient mises en œuvre de manière mondiale et rentable pour les fournisseurs et les distributeurs, afin d’améliorer la disponibilité des produits pour les consommateurs, avec un rapport qualité/prix plus intéressant.»

Pour les professionnels du secteur IT, les enjeux sont considérables, car lorsque les RFID, et tout le matériel de lecture/détection correspondant, seront consacrés comme le nouvel identifiant commun à toute la distribution, le renouvellement des équipements constituera un nouveau marché très lucratif.

Microsoft également très actif sur ce marché naissant

Ce qui explique qu'il y a quelques jours, l'autre géant de l'informatique Microsoft a également montré son vif intérêt pour les RFID. Comme l'ont rapporté lundi nos collègues de CNET News.com, l'éditeur s'est invité au récent congrès annuel du syndicat national de la grande distribution (National Retail Federation). Objectif: promouvoir son rôle en matière de logistique dans la distribution et, donc, de gestion des "radio tags".
Microsoft a déjà uni ses forces avec le consultant Accenture (promoteur de quelques projets pilotes) comme avec la SSII Cap Gemini Ernst & Young, et ses partenaires IT de toujours, Dell, HP et Intel. Du côté des distributeurs, il a séduit les sociétés américaines 7-Eleven, Circuit City Stores et Radio Shack.

Intel France nous indique qu'en l'état actuel des choses, Microsoft ne fait pas partie de son groupe de travail monté avec les trois distributeurs européens. Mais le géant de Redmond s'est déjà imposé au sein du projet pilote de "supermarché du futur" monté par Metro en Allemagne, aux côtés, justement, d'Intel, de l'éditeur de progiciels SAP, et du groupe Philips (qui fournit les puces RFID).

En revanche, concernant les risques de "traçage" des consommateurs, les intentions de chaque acteur restent encore très floues. Il est en effet possible de désactiver la puce à tout moment, pour éviter que la logistique RFID ne suive le client final jusqu'à son domicile, par exemple. De telles possibilités d'intrusion dans la vie privée sont prises très au sérieux en Europe et aux Etats-Unis. Au point que Metro, comme Marks et Spencer au Royaume-Uni, ont dû s'engager à ne pas utiliser les RFID en dehors de leurs chaînes logistiques – c'est-à-dire hors de leurs magasins, après l'achat. Sur ce point particulier, le communiqué commun d'Intel, Carrefour, Metro et Tesco reste étrangement silencieux.

LA BONNE NOUVELLE ?

Les consommateurs pourront désactiver le tatouage électronique de leurs achats

Par Richard Shim
CNET News.com
9/5/2021
URL: http://www.zdnet.fr/actualites/technologie/
0,39020809,2134386,00.htm

Le principe du consentement préalable va être appliqué aux étiquettes électroniques de type RFID, sur lesquelles travaillent des industriels pour tatouer des produits de grande consommation. Un "interrupteur" irréversible leur sera intégré.

Les consommateurs pourront désactiver le tatouage électronique de leurs achats

Les puces d'identification dotées de la technologie des "radio tags" ou RFID (Radio Frequency Identification), conçues pour intégrer à l'avenir des vêtements ou des emballages de produits alimentaires, pourront être désactivées à la demande. Les consommateurs auront ainsi la capacité de les réduire au silence définitivement grâce à une sorte d'interrupteur incorporé.

Ils devront simplement le signaler lors du passage en caisse, a précisé à CNET News.com le professeur Sanjay Sarma, fondateur et directeur de la recherche du centre Auto ID. Centre qui pilote cette expérience et dont sont membres plusieurs industriels de gros calibres (des fabricants d'étiquettes et de lecteurs, mais aussi des géants de la grande consommation comme Gillette, Procter & Gamble et Unilever).

«Nous prenons très au sérieux le respect de la vie privée depuis trois ans; nous cherchons un moyen d'ajouter une option du genre "opt-in" et "opt-out" à nos puces», poursuit-il, en référence aux deux concepts employés pour désigner le consentement préalable ("opt-in") ou a posteriori ("opt-out") des destinataires de publicités par e-mail. La fonction de désactivation n'a pas été incluse dans les puces plus tôt car personne ne l'avait demandée, se justifie Sarma aujourd'hui.

Un traçage électronique aux applications domestiques

Le centre Auto ID a indiqué que des fabricants comme Philips Semiconductor, Alien Technology et Matrics proposeront dès cet été des puces dotées de cet "interrupteur". Philips, qui dispose de prototypes, prévoit de les produire à grande échelle d'ici à la fin de l'année, affirme de son côté Dirk Morgenroth, responsable marketing des étiquettes électroniques au sein de l'entreprise néerlandaise. L'ajout de cette fonctionnalité ne devrait pas surélever le coût des puces, poursuit-il.

Mais la désactivation de ces étiquettes électroniques restera optionnelle, car elles peuvent également avoir des applications très utiles dans les foyers. Ainsi, une puce intégrée à un vêtement pourrait indiquer au lave-linge les différents réglages de lavage adaptés, ou préciser au four à micro-ondes, si elle se trouve sur un emballage alimentaire, le minutage et la température de cuisson appropriés.

La technologie RFID suscite de plus en plus l'intérêt des commerçants, qui voient en elle un moyen de réduire leurs coûts. Gillette et la chaîne américaine de supermarchés Wal-Mart, comme sa concurrente britannique Tesco, planchent sur un système d'étagères capables de comprendre les ondes radio émises par des puces intégrées, par exemple, dans des rasoirs. Fin avril, la chaîne de distribution allemande Metro a annoncé l'ouverture prochaine d'un «magasin pilote du futur», en partenariat avec l'éditeur SAP et du fondeur Intel.

Cher Nenki,

Voici un article (avec mon commentaire) que j'ai lu récemment. Je pense qu'il vaut la peine d'être mis à la connaissance de tous... Bonjour !

Le nucléaire est l'une des puissances les plus destructrices jamais découvertes par l'homme.

Malgré les dangers IMMENSES de cette forme de production d'énergie et de ces armes, on continue à utiliser le nucléaire, peu importe si cela provoque des retombées TRES nocives sur l'environnement (déchets, radiations) ou si les armes nucléaires représentent un danger ENORME pour la planète elle-même !

L'article qui suit en est une belle illustration : alors que d'autres formes d'énergie existent (et que nos dirigeants le SAVENT !) comme l'énergie éolienne, l'énergie solaire ou même les énergies libres, on persiste dans l'erreur et on produit...de l'énergie nucléaire !!!

Les projets actuels sont même encore plus fous, puisque l'on tente à présent de reproduire l'énergie...du soleil !!!!!!! Cela se fera sur un site situé soit au Japon, soit...en FRANCE !!!!!!!

En Belgique, on avait décidé de "sortir du nucléaire d'ici 2015"...sans doute pour mieux rebondir vers du "super nucléaire" qui sera éventuellement installé dans un pays proche ???????

Et ce projet de fous a été initié depuis...1985 !!!

Quel que soit le site choisi, on ne peut que frissonner à l'idée d'un tel projet digne (encore une fois) de savants fous proches de Frankenstein ! On notera aussi au passage que ce reptilien de Philippe Busquin, ancien ministre belge et actuel commissaire européen de la recherche, est encore
mêlé à l'affaire... Décidément, il y a certaines personnes qui sèment toujours dans leur sillage les odeurs méphitiques du fiel, de la conspiration, du nouvel ordre mondial et de la mort...

Voici donc cet article qui est paru dans le "Metro" du vendredi 16 janvier 2004, en page 14 :

REPRODUIRE SUR TERRE L'ENERGIE DU SOLEIL

Bruxelles - Les physiciens en rêvent et peut-être que le projet ITER le fera. Réussir à produire de l'énergie en imitant la fusion thermonucléaire, telle qu'elle se déroule au coeur d'étoiles comme le soleil. Cette entreprise aux enjeux considérables en est encore au stade de l'expérimentation. Mais à présent, les pays impliqués dans ce projet doivent
choisir entre deux sites, l'un en France, et l'autre au Japon, pour construire un réacteur thermonucléaire.

Cette infrastructure sera-t-elle implantée dans le Sud de la France, à Cadarache, ou à Rokkasho-Mura, dans le nord du Japon ? Les partenaires du projet ITER (International Thermonuclear Experimental Reactor) se sont
réunis à la fin du mois de décembre dernier afin de faire leur choix, mais ont finalement opté pour des "évaluartions supplémentaires de manière à pouvoir prendre une décision basée sur le consensus". Cette rencontre, à laquelle avait participé Philippe Busquin, le commissaire européen à la
Recherche, devrait se prolonger sur une nouvelle réunion, en principe au cours du mois de février. Pour l'instant, le site français de Cadarache a les faveurs de l'Union européenne, de la Russie et de la Chine, alors que les Etats-Unis, le Japon et la Corée du Sud privilégient celui de Rokkasho-Mura.

Une nouvelle forme d'énergie

Le porjet ITER a toutefois des implications bien plus vastes que les retombées économiques dont bénéficiera la région (voire le pays) choisie pour la construction du réacteur thermonucléaire. Si les scientifiques réussissent à atteindre leur but, l'humanité pourra peut-être exploiter, dans la seconde moitié de ce siècle, une nouvelle forme de production d'énergie, basée sur la fusion des atomes.
Comme le fait remarquer Jean Jacquinot, directeur de recherdchezs au Centre d'études atomiques déjà implanté à Cadarache, le gaz et le pétrole risquent à l'avenir de devenir des denrées rares. D'où l'intérêt de rechercher dès à présent des sources d'énergie alternatives. Le grand atout de la fusion thermonucléaire est de pouvoir être réalisée à partir de substances présentes en abondance sur notre planète : le deutérium, extrait de l'eau de mer, et le tritium, présent à la fois dans la croûte terrestre et les océans. Ce processus se base sur le fait que lorsque - placés dans certaines conditions - deux petits noyaux atomiques fusionnent, cela libère une énorme quantité d'énergie, comme au sein du soleil ou des autres étoiles de notre univers.
Reste néanmoins à prouver que la fusion thermonucléaire peut, d'un point de vue scientifique et technique, être bien contrôlée et utilisée à grande échelle pour produire de l'électricité.

Un anneau créé par des champs magnétiques

Le projet ITER, initié en 1985, a donc pour objectif de mener une expérience de fusion thermonucléaire capable de dégager une importante quantité d'énergie qui, lors d'une étape ultérieure, pourrait alimenter une centrale de production électrique. D'un coût total estimé à $ 10 milliards, cette
ambitieuse entreprise passe donc à présent par le choix d'un site (en France ou au Japon) pour l'implantation d'un réacteur thermonucléaire de type "tokamak". A l'intérieur de celui-ci, des champs magnétiques créent un espace en forme d'anneau, à l'intérieur duquel on injecte un mélange gazeux
de deutérium et de tritium. Porté à environ 200 millions de degrés, il passe à l'état de plasma : quand la densité et la température sont suffisantes, la fusion des atomes se déclenche, s'auto-entretient et peut être contrôlée.
L'énergie ainsi libérée pourrait être ensuite être convertie en chaleur et en vapeur, avant de rejoindre le circuit traditionnel d'une centrale électrique. Mais nous n'en sommes pas encore là... "On peut estimer que les premiers kilowatts électriques produits par un prototype de réacteur thermonucléaire verront le jour à l'horizon 2050", souligne le site internet www.iter.gouv.fr
Et seulement "l'étape suivante consistera en la construction d'un réacteur industriel générant de l'électricité".

Inquiétude des antinucléaires

"L'avantage de la fusion thermonucléaire est que son iompact environnemental sera relativement bas et que cette (technique) pourra être mise en application à très long terme", est-il en outre précisé sur le site www.iter.org.

"Le moindre dysfonctionnement des installations conduit à une "extinction du plasma" et "il n'y a aucune réaction en chaîne", peut-on également y lire.
D'après le scientifique Jean Jacquinot, il n'existe aucune possibilité d'emballement du réacteur ITER. D'autre part, la fusion thermonucléaire n'engendre aucun gaz à effet de serre, contrairement aux énergies fossiles (pétrole, charbon...).

L'éventuelle implantation de ce réacteur à Cadarache a en tout cas suscité une levée de boucliers parmi les antinucléaires français. Le réseau "Sortir du nucléaire", qui regroupe 650 associations, syndicats et partis politiques, critique l'ampleur des investissements nécessités par le projet
ITER et estime que sa mise en oeuvre n'offre aucune perspective intéressante pour la planète.

Mais pour les scientifiques, la fusion thermonucléaire - qui s'effectue sans rejet dans l'atmosphère de dioxyde de carbone (un des gaz à effet de serre) - est une piste méritant d'être explorée si on veut assurer l'avenir énergétique de l'humanité.

Sources : http://www.iter.gouv.fr
http://www.iter.org
http://www.sortirdunucleaire.org

MON AVIS SUR LA QUESTION : un projet SI civil, SI ambitieux, SI dangereux (n'oublions pas qu'il s'agit de températures extrêmes et jouant avec le nucléaire, QUOI QUE L'ON EN DISE !), pour lequel on se montre SI motivé,
avec une prévention et tant arguments "RASSURANTS" pour ENDORMIR les "alarmistes", et dont le résultat est à SI long terme... moi je dis que cela PUE L'ARNAQUE, LE DANGER AUX CONSEQUENCES IRREVERSIBLES et même le PROJET MILITAIRE ET D'ETAT CAMOUFLE !!! Car en effet, ne soyons pas naïfs : si une telle technologie est atteinte, les applications militaires SUIVRONT OBLIGATOIREMENT '(voire même en premier lieu) : il suffit de regarder ce qui s'est passé par exemple avec le projet HAARP en Alaska (mêmes discours rassurants, mêmes objectifs pétendument "civils", alors que le projet est militaire et un danger mondial jamais atteint auparavant !) !

Enfin, ne nous laissons pas endormir par ce que de pseudo-scientifiques à la solde du nouvel ordre mondial nous racontent : l'article précise bien au début que l'on ignore si "la fusion thermonucléaire peut, d'un point de vue scientifique et technique, être bien contrôlée et utilisée à grande échelle
pour produire de l'électricité" ! Et si on l'ignore, c'est que l'on joue encore une fois avec le feu, sans prendre garde à se brûler !!!!!!!

TOUS LES PAYS ENVIRONNANTS (Espagne, Belgique, Luxembourg, Allemagne, Pays-Bas) devraient se sentir concernés par ce projet et soutenir les antinucléaires français dans leur OPPOSOTION TOTALE A CE PROJET !!! C'est en tout cas MON opinion face à un projet aussi dingue...

Bonne journée et à plus tard,
Vic.

Les liens entre Bush et Bin Laden sont très bien démontré dans ce clip vidéo sur Clearing House. Cela en vaut la peine. 43 minutes de documentaire. Anglais.

http://www.informationclearinghouse.info/article5103.htm