La micropuce sans fil
reliée votre cerveau
qui lui est reliée
à un moteur cybernétique !


L'homme bionique est au coin de la rue !

Chers amis,

Par ce message, je vous annonce l'émergence d'une NOUVELLE MICRO-PUCE SOUS-CUTANEE POUR HUMAINS QUI VA EFFECTUER LE LIEN ENTRE LE BIOLOGIQUE ET LE CYBERNETIQUE !!!

Cette micro-puce sous-cutanée "de la taille d'un grain de riz" (j'ai déjà entendu ça quelque part ), appelée BION, a été développée par la Alfred Mann Foundation, et sera employée dans un programme visant à créer des prothèses destinées à IMITER LE MOUVEMENT BIOLOGIQUE (bonjour, Terminator !). Tout ceci se déroule et est financé par le Masachusetts Institute of Technology, par la Brown University et par le Providence Veterans Affairs Medical Center (centre médical d'affaires des vétérans de guerre de Providence) !

Eh oui ! Les militaires sont encore dans le coup, et le projet ne consiste donc pas uniquement à faire remarcher des invalides !!!

Le nouvel ordre mondial nous dévoile donc la suite de ses immondes projets... Des micro-puces électroniques sous-cutanées et des micro-puces génétiques, on passe à la cybernétique, toujours dans des buts militaires et de contrôle total des populations, bien entendu !

Ce que je viens de vous expliquer est confirmé dans l'article que je vous ai traduit en français en exclusivité ci-dessous, article qui a été publié sur http://web.mit.edu/newsoffice/2004/limbloss.html

Bonne lecture, bonne réflexion et à plus tard,
Vic.

La recherche vise à reconstituer la fonction d'un membre d'un amputé

Le 10 décembre 2004

Un professeur du MIT (Massachusetts Institute of Technology) et des collègues de la Brown University et du Providence Veterans Affairs Medical Center (centre médical d'affaires des vétérans de guerre de Providence) ont commencé un projet de recherche multidisciplinaire de cinq ans afin de reconstituer les fonctions des bras et des jambes aux amputés.

Le travail recevra $7,2 millions de financement à partir du département des affaires des vétérans de guerre (VA). À la fin du projet, les scientifiques espèrent avoir créé des membres "biohybrides" qui utiliseront du tissu régénéré, des os allongés, des prothèses en titane et des senseurs implantables qui permettent à un amputé d'utiliser des nerfs et des signaux cérébraux pour bouger le bras ou la jambe.

Le but est donner à des amputés une meilleures mobilité et le contrôle de leurs membres et de réduire l'inconfort et les infections communs aux prothèses actuelles. La recherche du MIT, menée par le Professeur Assistant Hugh Herr, est conçue pour faire fonctionner des jambes artificielles comme des jambes biologiques. Lui et ses collègues se concentreront sur le but de créer des genoux actifs et des chevilles commandés par le propre système nerveux des amputés et actionnés par des dispositifs semblables aux muscles.

Herr a des rendez-vous dans le programme de Media Lab médias dans les arts des médias et des sciences et la Division de Harvard-MIT des sciences de la santé et de la technologie. Il est directeur du groupe Biomechatronics de Media Lab. Actuellement, les genoux et les chevilles prosthétiques peuvent arrêter le mouvement mais ne peuvent pas l'enclencher.

Herr construira des articulations qui peuvent créer la force mécanique requise pour marcher et grimper sans chute ni fatigue. Pour créer la rotation et la propulsion propres au genou, Herr emploiera des fluides spéciaux qui solidifient dans une pâte lorsqu'ils sont passés par un champ magnétique, et se reliquéfient ensuite quand l'énergie est enlevée. La force sera également commandée par un ressort semblable à un tendon actionné par un moteur électrique.

Le système de cheville utilisera un ressort semblable à un tendon ou à un muscle artificiel, fait de polymères electroactifs, qui transforment l'énergie électrique en travail mécanique.

Pour commander ces joints, Herr emploiera le BION ™, une micro-puce sans fil qui possède à peu près la taille d'un grain de riz, développée par la Fondation Alfred Mann. Les puces seront injectées dans le muscle existant de la jambe, où ils prennent des signaux des nerfs et envoient des instructions de mouvement au genou et à la cheville. Des senseurs additionnels, attachés au talon et à l'avant du pied d'une prothèse externe, transmettront par relais des informations sur les forces terrestres de réaction à un microprocesseur pour guider davantage le mouvement des articulations artificielles.

 Chers amis,

Comme une mauvaise idée est rarement développée dans un endroit isolé, voici (à quelques jours d'intervalle de la pucé génétique américaine, un malencontreux "hasard" de plus ) que nous apprenons aujourd'hui l'apparition d'une MICRO-PUCE GENETIQUE RUSSE !!!

Non, il ne s'agit pas d'une blague, ni d'une mauvaise plaisanterie, ni même d'une mauvaise interprétation de ma part : l'article ci-dessous, publié sur http://english.pravda.ru/science/19/94/379/14765_chip.html et que je vous ai traduit en exclusivité en français, vous le prouve.

Je me suis permis d'ajouter mon commentaire en rouge dans l'article (l'article est en jaune). Vous remarquerez déjà le titre raccoleur et qui nous annonce d'entrée de jeu que l'on va encore une fois utiliser les arguments médicaux bien "humanistes", que l'on va tirer sur la corde sensible des gens afin qu'ils se mettent la tête sur le billot eux-même !

Bonne lecture, bonne réflexion et à plus tard, Vic.

 

La biopuce russe marque une percée révolutionnaire dans le diagnostic médical

Le 27 décembre 2004 15:16

La puce a la taille d'un timbre poste, mais elle peut remplacer un laboratoire entier, son personnel, des centaines de tubes à essai.
Rien qu'avec ce sous-titre, on peut déjà craindre des vagues prochaines de chômage au niveau des laborantins...

L'un des derniers développements des scientifiques russes, c'est une micro-puce qui est capable d'identifier des centaines de bactéries et virus pathogènes, de détecter des mutations génétiques et la disposition des personnes à certains types de cancer et qui a été récemment certifiée. Le dispositif supplémentaire pour la puce a reçu un certificat d'état aussi. La biopuce officiellement reconnue est devenue un accomplissement significatif en termes d'image internationale de l'industrie de pointe russe.

Des potentialités étendues, mais aussi potentiellement MORTELLES pour les libertés, comme on peut se l'imaginer. Evidemment, "on" nous présente encore une fois la "bête" sous son meilleur jour, mais quid des applications liberticides ou totalitaires (qui, rappelons-le, sont à la "mode" pour l'instant !) ??? Et notez bien que L'ETAT EST AU COURANT ET A DEJA SIGNE A 2 MAINS !!! LES GOUVERNEMENTS SONT DONC, ENCORE UNE FOIS, COUPABLES

Le certificat a marqué le succès d'un travail de 15-ans qui a commencé à la fin des années 80. La création de la biopuce russe, comme on appelle l'invention dans les états étrangers, est directement liée avec feu le directeur de l'institut de biologie moléculaire de l'académie russe des sciences, Andrei Mirzabekov. De nombreux scientifiques ont cru dans ces années (les années '80) qu'il serait impossible d'effectuer ce travail. Andrei Mirzabekov croyait que l'on devrait conquérir l'impossible. Il pensait que faire quelque chose de possible n'était pas intéressant, a dit le docteur en sciences biologiques Viktor Barski.

Le paragraphe ci-dessus nous montre clairement et de façon indéniable et indubitable que cette technologie existe déjà depuis DES ANNEES et qu'elle a été mise au point à l'abris des regards, au fond de sombres laboratoires, grâce à quelque savant-fou...

L'idée de créer une puce biologique, dont la taille et les capacités de travail seraient semblables à une puce électronique, s'est développée chez trois scientifiques dans le monde en Grande-Bretagne, en Yougoslavie et en URSS. Le groupe yougoslave a été invité à travailler aux Etats-Unis, bien qu'il n'ait pas acquis de résultat jusqu'à présent. Le scientifique britannique a vendu l'idée à une compagnie de réalisation de diagnostic, qui a décidé de mettre le travail de côté et d'attendre de meilleures périodes à venir. Quand il est devenu notoire que les Russes avaient trouvé une voie plus courte et plus efficace vers le succès, les Etats-Unis ont offert à Mirzabekov de diriger un centre américain des biopuces. Le scientifique a accepté l'offre, mais il est également parvenu à préserver le centre russe de recherches. Les spécialistes russes ont dû travailler dans deux laboratoires jusqu'en 2001.

Comme je vous le disais, une idée (même mauvaise) se développe toujours dans plusieurs endroits à la fois... ET CERTAINES COMPAGNIES ATTENDENT LE BON MOMENT, TAPIES DANS L'OMBRE, POUR COMMERCIALISER LEUR POISON !

Une biopuce est un minuscule petit carré sur une plaque brillante. La puce possède la taille d'un timbre poste, mais elle peut remplacer un laboratoire entier, son personnel, des centaines de tubes à essai et des douzaines de dispositifs variés. Le fonctionnement de la biopuce est basé sur les lois de la biologie moléculaire. Un robot applique des micro-gouttes de divers constituants et enfonce des molécules sur la plaque. Ces molécules sont soit des fragments d'ADN ou certaines protéines. Elles peuvent appartenir aux familles des bactéries, aux virus, aux toxines, etc... Les plaques sont alors exposées au rayonnement ultraviolet:les gouttes sont polymérisées dans des micro-cellules de piégeage. Il peut y avoir jusqu'à 4.000 d'entre elles sur une puce, a dit le Dr. Alexander Zasedatelev. Le laboratoire produisait dix puces par jour. ¨Plus tard, les scientifiques ont développé un robot, ce qui a augmenté la productivité à 70 puces par heure et a simplifié le processus détecteur de microbes. Les chercheurs ajoutent une matière fluorescente dans le liquide analysé (une goutte de sang, de plasma, etc). Quand le liquide est appliqué sur la puce, les molécules recherchent des molécules semblables sur la puce et se combinent avec elles. La matière fluorescente fait briller les virus et les gènes défectueux. L'identification peut être effectuée facilement, sous un microscope. Il est également possible de faire un zoom et d'imprimer l'image de l'analyse. L'image avec les cellules fluorescentes réduit le coût et simplifie les analyses très compliquées.

Le sempiternel refrain "productivité, rentabilité, profit" n'a pas été oublié, comme vous pouvez le constater !

L'institut central de la tuberculose de l'académie russe des sciences a déjà testé les biopuces. Une analyse biologique comme celle-là dure de deux semaines à deux mois dans les laboratoires ordinaires. Cela prend à des virologues quelques heures pour identifier les organismes pathogènes de maladies aussi dangereuses que la peste, le choléra, la variole. La biopuce peut diagnostiquer la leucose très rapidement, ce qui est un aspect très important, parce qu' elle donne aux médecins beaucoup plus de chances de sauver des patients.

Le prétexte fourbe de l'aide médicale "incontrounable" et de l'humanisme se montre ici sous son jour le plus mielleux et le plus sournois...

La biopuce peut également déterminer la qualité du sang du donneur, caractériser les cultures de grippe aviaire, qui ont soulevé des inquiétudes mondiales pendant les dernières années, détecter les mutations génétiques d'un foetus, identifier une personne et exécuter une variété d'autres analyses criminelles, et ainsi de suite et ainsi de suite.

Nouveaux arguments "imparables" : lutte contre les nouvelles maladies préoccupantes (grippe aviaire), détecter des anomalies chez les foetus, et, quelle surprise, la sécurité, toujours et encore, puisque l'on pourra identifier TOUTE PERSONNE, surtout les criminels (DU MOINS, AU DEBUT !!!). Nous voyons ici encore toute l'étendue des dérives et dangers de telles technologies liberticides : que fera-t-on lorsque l'on détectera les anomalies chez les foetus ? Conseillera-t-on l'avortement ??? Ou essaiera-t-on de créer un monde sans "rebuts", sans anomalie, bref un monde "uniforme" de créatures "parfaites" (comme le voulait Hitler) ?

Nous constatons encore une fois que ce type de technologie a été créé pour servie des buts totalitaires de CONTROLE TOTAL: contrôle de la population tout entière (après les criminels, vous verrez, on appliquera la technologie aux autres citoyens, aux victimes, aux malades, bref à tout le monde ! Le triste exemple de la micro-puce sous-cutanée pour humains nous le montre bien : tous les arguments sont bons pour justifier l'emploi "incontournable" de cette saleté. Et connaissant le petit monde de la mafia pharmaceutique, nous sommes réellement en droit de craindre le pire !).

Le diagnostic de la biopuce est plus rapide et beaucoup moins cher que d'autres méthodes bien connues, quoique chères, comme la réaction en chaîne de polymérase (PCR). La puce russe est 30 fois moins chère en comparaison des puces de production étrangère. Une production industrielle en série de la puce la rendra encore meilleur marché, comme l'académicien Mirzabekov l'a cru. Les biopuces russes et l'équipement pour leur analyse fonctionnent actuellement dans des laboratoires de recherches des Etats-Unis, de la France et de la Corée.

Les Russes défendent ici leur croûte : leur saleté de puce génétique est bien moins chère chez eux (normal, les salaires là-bas sont dérisoires, les scientifiques sont sous-payés... vive l'éthique !).

Enfin, dernière mauvaise surprise (et non la moindre !) : la FRANCE est engagée dans cet ignoble processus !!! Combien de temps avant une application dans nos pays, hein ? Ne me dites pas que vous n'y croyez pas, ce serait se masquer stupidement la réalité : si la France (et la Belgique aussi, qui sait ?) a pris part aux expériences, ce n'est CERTAINEMENT PAS pour laisser dormir cette "poule totalitaire aux oeufs d'or liberticides" !

Conclusion : un mouvement populaire de réveil des consciences, d'opposition et de révolte est mille fois justifié et plus que nécessaire si nous voulons éviter de tomber au fond du trou, dans le piège infâme que le nouvel ordre mondial nous a tendu de toutes parts !
"REAGISSEZ OU CREVEZ" : le message a l'avantage d'être clair! À nous de prendre nos responsabilités en mains, une fois pour toutes !!!

Vic.