Trilatérale
& Synarchie Française
Article du Ringardus
La présente
fenêtre d'opportunité, durant laquelle un ordre
mondial pacifique et interdépendant peut-être construit,
ne sera pas ouverte pour très longtemps.
Nous sommes à l'orée d'une transformation globale.
Tout ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée,
et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial."
David Rockefeller, 23 septembre 1994.
_________________
Synarchie par-ci, Trilatérale
par là,
l'on y perdra sa liberté, avant son latin.
Le Ringard du Trimard, à
force de causer de Trilatérale ; Non, rassurez-vous, cela
n'est pas une règle à mesurer les coins perdus,
ni la quadrature du cercle restreint de ses amis.
Mais dîtes comme ! Cela a-t-il une incidence sur ma puberté
? Ou sur mon porte-monnaie?
Ah! mais dîtes donc,
faut pas les insulter ses grands hommes à la noblesse
bien noire et à l'âme soumise à la prédation
de l'espèce des minables non-élus, mais encore
plus servile qu'eux.
Cela ne nous dit pas ce que
cela est ! Il y a quelque temps, fin 2005, des articles sur la
Synarchie furent soumis à la sagacité des lecteurs
du "mot dans le vide" du Ringard et suite à
leurs diffusions sur le Net pas vraiment net ; là ou le
vide régnait, et l'indifférence crasse de l'ignorance
faisait son office, de nombreux sites ont commencé à
parler de ces sociétés qui gouvernent le monde
en douce.
Le seule problème sur
le Net reste le copier coller, et l'on ne retrouve souvent que
les mêmes textes. Mais cela s'en vient. Les Martinistes
sur leurs différents sites commencent à se réveiller
et diffusent la réalité de celui qui fut à
l'origine de la ressurgence de la synarchie. Saint-Yves d'Alveydre
fut celui par qui le mot synarchie devint une réalité.
MAis la perversion de quelques uns a transformé la belle
idée en cauchemar à venir. L'on ne saurait trop
conseillé à ceux qui étudient ces documents
de ne le faire que lorsque, au fil du temps, la sagesse, l'altruisme,
la compassion à gagner le coeur. Sinon, le coté
obscur submerge le dévot.
http://www.initiation.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=14&Itemid=42
http://solidariteetprogres.online.fr/Dossiers/Histoire/Synarchie.html#Commentaire
_________
http://www.conspiration.cc/conspir/synarchie_pacte.html
http://www.conspiration.cc/conspir/synarchie_financiere.pdf
Vous pouvez les retrouver
sur un site qui fit grand cas de ses trouvailles. Pour information,
ces documents étaient introuvables à la misère
que nous sommes avant la publication soumettant à la curiosité
populaire le pacte synarchique.
Et puis comme cela est bon,
voici une rediffusion de l'introuvable Pacte synarchique (enfin
plus depuis que le trois fois maudit Lenculus, l'a soumis à
la populace).
Voici donc pour votre ouverture
d'esprit ; pour que certains comprennent que le vote qu'ils s'apprêtent
à effectuer en douce dans une cahute, derrière
un rideau que certains revendiquent (j'en suis) où s'isolant
un moment, non pas pour satisfaire au cycle naturel de la mixtion,
mais plutôt pour offrir notre pays à un homme, ou
une femme (?).
La réflexion guidée le plus souvent par la manipulation
médiatique perd pied devant le doute de l'avenir incertain,
(vous me direz cela est mieux ainsi, cela fait moins mal au corps,
qu'un coups de pied dans le fondement); glisser une feuille de
papier recyclé (important le recyclage jetable), avec
dessus le nom du (de la) futur(e) comique que l'on ridiculisera
pendant 5 ans, pendant que sa clique, engeance apatride, nous
pèlera et plumera nos dernières économies
et autres libertés.
Alors par souci didactique
voici quelques petits noms de ceux qui servent Mamon ; à
lire sur un air de "Ah que la soupe est bonne !"
__________________
La division européenne de la Commission trilatérale,
la plus importante association mondialiste, a tenu sa réunion
annuelle,à huis clos, à Porto fin octobre. A cette
occasion, nous avons réussi à récupérer
la liste intégrale de ses membres. La section française
se compose ainsi (après les départs de plusieurs
personnalités comme Raymond Barre, Jacques Attali ou Thierry
de Montbrial) :
Edmond Alphandery, président
de la Caisse nationale de prévoyance, ancien PDG d'électricité
de France, ancien ministre UDF de l'Economie et des Finances
;
Francois Bayrou, président de l'UDF et ancien candidat
à l'élection présidentielle (qui fait donc
son entrée) ;
Georges Berthoin, ancien président international du Mouvement
européen et de l'Association Jean Monnet (1) ;
Jean-Louis Bourlanges, député européen UDF
(et ex-RPR) et ancien président de la section française
du Mouvement européen ;
Francois Bujon de l'Estang, PDG de Citigroup France, ancien ambassadeur
de France aux Etats-Unis ;
Hervé de Carmoy, ancien président de la Banque
industrielle et mobilière privée et ancien directeur
général de la Société générale
de Belgique ; administrateur de Rhone Group ;
Bertrand Collomb, PDG de Lafarge (et patron de la section française
du Groupe de Bilderberg);
Michel David-Weill, président de Lazard LLC, président
du collège des associés-gérants de Lazard
Frères ;
Laurent Fabius, ancien Premier ministre socialiste et ancien
ministre de l'Economie et des Finances, premier présidentiable
du PS (2);
Denis Kessler, PDG de la SCOR, ancien président de la
Fédération française des assurances, ancien
n°2 du Medef ;
Anne Lauvergeon, PDG d'ArEvA et de la Cogema ;
Pierre Lellouche, député UMP-RPR de Paris
Dominique Moist, conseiller spécial du directeur général
de l'Institut français des relations internationales ;
Benoit Potter, PDG de L'Air liquide (nouveau membre) ;
Henri Proglio, PDG de Veol,a Environnemen. (nouveau membre) ;
Jean-Philippe Thierry, PDG des Assurances générales
de France (nouveau membre) ;
Serge Weinberg, président de Pinault-Printemps-Redoute,
président de l'Institut français des relations
internationales, ancien conseiller de Laurent Fabius. Est actuellement
en congé, car exerçant des fonctions publiques
;
Patrick Devedjian, ministre UMP-RPR des Libertés locales.
(Nous pouvons envoyer la copie intégrale - 15 pages -
des membres de la Commission trilaterale à jour à
octobre 2003, pour 7 euros port compris) (3).
___________________
(1) [Note du Ringard] - Voilà un des fondateurs de la
synarchie, façon ENA.
(2) [Note du Ringard] - Ce document date de Novembre 2003 et
la vicissitude de la prestitude à nous imposer une nullitude
n'était pas encore au programme des agences de communications.
(3) Faits
& Documents - 15 au 30 Novembre 2003, page 3. (bimensuel)
BP 254-09, 75424 Paris cedex 09 - Tel : 01 40 16 80 92.
_______________
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UNE NOUVELLE SYNARCHIE Internationale
La Trilatérale domine les nations et asservit les peuples
Voici ses agents secrets dans le monde...
A peine la France avait-elle été contrainte de
signer l'armistice de 1940, que de mystérieux personnages
s'employaient à prendre en main les leviers de commande
de l'Etat français.
Dans le dos du maréchal Pétain qui dénonçait
publiquement " la puissance des trusts et leur pouvoir de
corruption ", que les complices ou les agents d'un financier
international entreprenaient la conquête du pouvoir à
Vichy.
Ces hommes, qu'unissait une même ambition, étaient
les affiliés d'une très discrète société
dont l'existence devait être révélée
par le rapport d'un policier de haut rang, nommé Chavin,
inspecteur général de la Sûreté nationale.
Ce document, connu sous le nom de Rapport confidentiel sur la
société secrète polytechnicienne dite M.S.E.
(Mouvement synarchiste d'Empire) ou C.S.R. (Convention synarchique
révolutionnaire), révélait que ledit mouvement
avait été accaparé par des groupes qui ne
se bornaient pas à vouloir remplacer le gouvernement parlementaire
par un gouvernement autoritaire, mais qui comptaient instaurer
un régime dans lequel
" tous les pouvoirs seraient concentrés entre les
mains du grand patronat et des représentants dûment
mandatés des groupes bancaires, spécialement désignés
pour chaque pays.
" En gros, ajoutait-il, le moyen envisagé consiste
à donner à chaque pays une constitution politique
et une économie nationale de structure particulière,
organisées conjointement en vue
R 1° de placer le pouvoir politique directement entre les
mains de mandataires des groupes intéressés;
" 2° de réaliser une concentration maximum dans
chaque branche d'industrie, afin d'y supprimer toute concurrence;
" 3° d'être maître absolu des prix de toutes
marchandises;
"4° d'enfermer l'ouvrier dans un cadre juridique et
social ne permettant plus de sa part aucune action revendicatrice
".
Les plus hauts fonctionnaires, voire des ministres de Vichy,
étaient mis sur la sellette, notamment Jacques Barnaud,
ancien directeur adjoint du Mouvement général des
fonds, associé de la Banque Worms (et ami de Jean Coutrot,
le promoteur de la Synarchie), Jacques Guérard, Pierre
Pucheau, ministre de l'Intérieur.
La paix revenue, il fut beaucoup question de la Synarchie, à
laquelle maints journalistes ou écrivains consacrèrent
alors articles ou études. Puis, ce fut le silence, hormis
les diatribes de Roger Mennevée, dans la revue Les Documents
politiques. et le livre Les technoci,ites t,t 1<! Synarchie
paru dans les années 60.
Avait-elle disparu totalement ?
Il semble que non et que la relève ait été
assurée, cette fois aux Etats-Unis, par le CACHER. (Courrait
on Foreign Relations). fondé en 1921, dont les affiliés
les plus influents ou les plus huppés, notamment le banquier
David Rockefeller, ont créé en 1976 la Trilatérale
commission.
Cette mystérieuse et puissante société,
dont les adeptes appartenant aux très hautes sphères
politiques, économiques et financières, se réunissent
loin des regards indiscrets pour débattre de l'avenir
des nations. fut démasquée pour la première
fois en France par Lectures françaises. Le Monde diplomatique,
peu après, soulignait à son tour le rôle
considérable de la Trilatérale dans l'ascension
fulgurante d'un modeste marchand de cacahuètes qui venait
d'être porté à la Maison Blanche
" La candidature de M. Jimmy Carter, expliquait ce journaliste,
a ,été préparée de longue main et
soutenue jusqu'à la victoire par des hommes qui représentent
le plus haut niveau de puissance. Parmi eux, les présidents
de la Chase Manhattan Bank, de la Bank of America, de Coca-Cola.
Bendix, Caterpillar, Lehman Brothers, Sears and Roebuck, Texas
Instruments, Exxon, Hewlett-Packard, CUBES. etc. Ces hommes,
avec quelques universitaires, des syndicalistes (aciérie,
automobile) et seulement dix hommes politiques - dont bien entendu
M. Jimmy Carter et le nouveau vice-président, M. Walter
Mondale -, constituent la branche américaine de la "Commission
trilatérale", créée en 1973 par M.
David Rockefeller et dirigée, jusqu'à une date
récente, par le professeur Zbignew Brzezinski, principal
conseiller de M. Jimmy Carter. "
Regroupant les hommes qui comptent sur notre planète -
et due les tireurs de ficelles de la politique jugent capables
de collaborer à la réalisation du grand dessein
mondialiste, tant en Amérique et au Canada qu'en Europe
et au Japon -, la Trilatérale, société élitiste
par excellence, entend bien se servir du système démocratique
p% pour établir sa domination sur les peuples.
Mais elle estime que les démocraties occidentales tendent
à devenir a ingouvernables". Les hommes de la Trilatérale
le disent clairement dans leur rapport, The crisis o f Democracy
a Plus un système est démocratique, plus il est
exposé à des menaces intrinsèques 2. "
La Trilatérale cache à terme sa préférence
pour une " population marginale ", qui n'aurait pas
voix au chapitre, ne participerait pas à la vie politique.
Souhaiterait-elle un nouveau prolétariat formé
d'immigrés, mal payé et plus docile ?
" Cette marginalisation est, en elle-même, antidémocratique,
mais elle fut l'un des facteurs qui ont permis à la démocratie
de fonctionner normalement s " (lisez : qui ont permis aux
oligarchies de régner sans partage).
Constatant que l' " autorité fondée sur la
hiérarchie, la compétence et la fortune (...) a
été soumise à une rude attaque' ",
elle regrette visiblement que la grande bourgeoisie, au pouvoir
en France depuis la Révolution de 1789, ne soit plus l'assise
du système et que les classes moyennes et populaires acceptent
mal, désormais, sa tutelle. Elle ne redoute pas "
une subversion intérieure de droite ou de gauche, bien
que ces deux risques puissent exister ", mais elle s'inquiète
du danger que représente " la dynamique interne de
la démocratie elle-même dans une société
hautement scolarisée, mobilisée et participante
Il importe donc de mettre un terme, d'urgence, à cette
situation dangereuse. De même qu'il y a " des limites
potentielles désirables à la croissance économique
", il y a " des limites potentiellement désirables
à l'extension indéfinie de la démocratie
politique' ".
Que faire ? Tout simplement, bâillonner les individus qui,
par la parole ou par l'écrit, s'en prennent au système
établi par la démoploutocratie
" Un défi important, souligne le rapport de la Trilatérale,
est lancé par les intellectuels et par les groupes proches
d'eux, qui affirment leur dégoût de la corruption,
du matérialisme et de l'inefficacité de la démocratie,
en même temps que de la soumission des gouvernements démocratiques
au capitalisme de monopole. "
Les ploutocrates se sentent plus menacés aujourd'hui par
ces critiques indépendants qu'ils ne l'ont été,
dans le passé, " par les cliques aristocratiques,
les mouvements fascistes et les partis communistes"".
Leurs dirigeants regrettent que la presse, par exemple, échappe
trop souvent à leur contrôle et que des journalistes
" tendent à s'organiser pour résister à
la pression des intérêts financiers et gouvernementaux'
". Pour éviter ces inconvénients majeurs,
il faut donc agir de telle sorte que le gouvernement, influencé
par les forces politico-financières, conserve " le
droit et la possibilité pratique de retenir l'information
à sa source
En clair, la Trilatérale souhaite que la presse libre
soit muselée comme le sont déjà les grands
journaux quotidiens et magazines, étroitement domestiqués
par la publicité, c'est-à-dire par les oligarchies
financières qui leur fournissent les subsides sans lesquels
ils ne pourraient vivre. Si bien que la Trilatérale préconise
une loi spéciale, analogue à la loi antitrust qui
existe dans certains pays.
Quelque
chose de comparable apparaît maintenant nécessaire
en ce qui concerne les médias
Certes, n'importe quel ploutocrate voulant jouer les penseurs
aurait pu écrire ce qui précède. Mais ses
opinions personnelles n'auraient qu'une importance relative.
Ici, il ne s'agit pas d'un homme isolé. mais d'un groupe
puissant, réunissant des personnalités de premier
plan, représentant elles-mêmes des groupes sociaux
ou professionnels considérables.
Vous allez juger de l'importance exceptionnelle de cette mystérieuse
organisation (dont les réunions et les discussions demeurent
secrètes), en examinant attentivement la liste de ses
affiliés. Rappelons que ceux-ci ne sont élus par
aucune assemblée, délégués par aucune
convention publique ; ils sont désignés secrètement
par les autres membres à la façon d'une académie
dont les membres sont cooptés.
" Le recrutement des membres, explique une circulaire d'avril
1988, s'effectue dans chaque pays par co-optation (sic)... Les
ressources financières de la commission sont exclusivement
régionales et proviennent des cotisations des membres
(entreprises privées ou publiques, fondations, instituts
de recherches, donations, personnes privées) et parfois,
mais rarement, des subventions publiques (ministères des
Affaires étrangères)...
Les noms des banques, des trusts, des consortiums que représentent
la plupart des affiliés donnent une idée de la
puissance dont dispose la mystérieuse société
qui veut faire de notre univers un monde de robots dominé
par une oligarchie de technocrates et de financiers.
A l'époque où, coup sur coup, deux inconnus affiliés
à la Trilatérale étaient portés à
la direction des affaires de deux grands pays occidentaux, les
Etats-Unis avec Jimmy Carter, et la France avec Raymond Barre,
Le Monde diplomatique, qui fut, rappelons-le, l'un des tout premiers
journaux à révéler l'existence de cette
colossale et inquiétante entreprise, notait
" Parmi les soixante-quatorze membres nord-américains
se trouvent trente-deux chefs ou hauts responsables de diverses
entreprises, y compris sept présidents de banque ; vingt
intellectuels, y compris dix professeurs. six chefs d'institutions
de recherche ou d'enseignement, les éditeurs de trois
publications, y compris Time et Foreign Policy, et un journaliste,
Carl Rowan, qui semble être le " Token Black n (Noir
symbolique) de l'organisation ; trois hauts fonctionnaires ;
trois syndicalistes; quatorze hommes politiques, dont un parlementaire
canadien, dix membres du Congrès américain et trois
anciens gouverneurs d'Etat ; le président du Conseil national
des coopératives agricoles et une ancienne présidente
de la League of Women Voters. Intellectuels, fonctionnaires ou
hommes d'affaires, ce sont en général des hommes
de l'establishment qui se trouvent un jour dans le conseil d'administration
des grandes sociétés et, le lendemain, dans les
hauts conseils du gouvernement, ou bien parfois dans une chaire
d'université '1. "
Emanation
du fameux CFR américain, la Trilaterale Commission compte
plus de trois cents affiliés appartenant à quatorze
pays.
Son annuaire confidentiel - selon la photocopie que m'a transmise
un journaliste américain qui fut longtemps le conseiller
d'un homme politique influent - indique que cette discrète
congrégation est actuellement dirigée par trois
satrapes: Isamu Yamashita, " Japanese Chairman", Georges
Berthoin, " European Chairman", et David Rockefeller,
" North American Chairman " .
La personnalité exceptionnelle de ce dernier mérite
qu'on s'y arrête.
Le nom de Rockefeller, nous l'avons vu (chapitre XXXIII), est
synonyme de richesse et de puissance. Depuis un siècle,
cette famille personnifie la ploutocratie internationale. La
fortune de ses membres dépasse plusieurs dizaines de milliards
de dollars.
Pour conforter leur position financière et mieux asseoir
leur puissance économique, les Rockefeller sont devenus
banquiers. John D. avait acheté la Chase Bank et William
la National City Bank. Lorsque la première fusionna avec
la Manhattan Bank de Warburg pour former la Chase Manhattan Bank,
ils possédèrent l'un des colosses bancaires du
monde - un colosse qui possède une succursale à
Moscou, place Karl-Marx, n° 1, inaugurée par David
Rockefeller lui-même, en mai 1973.
Les Rockefeller actuels sont tous immensément riches.
A partir d'une certaine fortune, rares sont les héritiers
qui deviennent des clochards.
Les sueurs, Simpson Thorn et Aby Rockefeller Simpson, possèdent
ensemble 400 millions de dollars, John Davison IV Rockefeller,
Sandra Terry Rockefeller, Hope Aldrich Rockefeller et Alida Rockefeller
Dayton disposent ensemble de 800 millions de dollars.
Les soixante-quinze descendants de William Rockefeller (18411922)
se sont partagé l'héritage. La fortune actuelle
de Roberts Ann Clark Rockefeller, de sa sueur Mary Morgan, de
ses frères Rodman Clark et Steven Clark Rockefeller est
estimée à 600 millions de dollars (chacun), soit
2 milliards 400 millions pour les quatre héritiers les
plus connus du frère et associé de John D.
Quant à feu Nelson Rockefeller, qui occupa plusieurs postes
importants dans les administrations Roosevelt, Truman et Eisenhower
avant de devenir sous-secrétaire à la Santé
et à l'Education, gouverneur de New York et vice-président
des Etats-Unis, il a laissé à ses héritiers
une fortune évaluée à 770 millions de dollars
(après le prélèvement du fisc).
Personnellement, David Rockefeller est à la tête
d'un milliard de dollars. Mais comme président ou administrateur
de sociétés financières, industrielles et
commerciales, comme chairman du Rockefeller Brothers Fund, dont
l'actif atteint 172 millions de dollars, et comme principal dirigeant
de diverses entreprises familiales possédant des actifs
estimés à 1.300 milliards de dollars, c'est une
masse énorme de capitaux qu'il gère et qui contribue
à faire de lui l'un des richissimes potentats de la planète.
Le " chairman " japonais, Isamu Yamashita, préside
l'East Japan Railway Company et anime la Mitsui Engineering and
Shipbuilding Co., ainsi que plusieurs grandes firmes nippones.
Quant au Français Georges Berthoin, fils de Jean Berthoin,
ancien trésorierpayeur général de l'Isère
(nommé par le gouvernement du maréchal Pétain),
puis de la Seine (sous la IV* République), qui devint
sénateur radicalsocialiste et ministre de l'Education
nationale de Mendès-France, puis ministre de l'Intérieur
du général De Gaulle il fut le secrétaire
de Jean Monnet. L'influence conjuguée du sénateur
radical, du père spirituel de "l'Europe des Douze
p et de son grand-père maternel, Mourgnot (de Paribas),
rapprocha Georges Berthoin du Parti radical-socialiste et de
la franc-maçonnerie ; la protection de Monnet lui ouvrit
les portes de cette synarchie internationale -qui a fabriqué
l'Europe des banquiers, et le patronage du banquier l'introduisit
dans les milieux d'affaires de la capitale.
Né à Nérac (Lot-et-Garonne) le 17 mai 1925,
le " chairman " européen de la Trilatérale
entra dans le sérail gouvernemental après la Libération.
Il fut attaché de cabinet du ministre des Finances (1948-1950),
puis sous-préfet et adjoint de l'Igame de la VI' Région
(1950-1952). Jean Monnet le prit à son service à
la C.E.C.A. (19501955) et en fit son chef de cabinet. Désormais
introduit dans la haute synarchie technocratique internationale,
il fut le chef adjoint de la Délégation de la Communauté
européenne à Londres (19561975) et son chef (1971-1973).
C'est alors qu'il pénétra dans la fameuse Trilatérale
qui venait d'être constituée aux Etats-Unis: il
fit d'abord partie de son comité exécutif (1973-1975),
puis fut nommé président européen de la
mystérieuse société (il l'est toujours).
Dès lors, Georges Berthoin eut la haute main sur les milieux
européistes, en particulier le Mouvement européen,
dont il devint le président international en 1978.
Créé en 1958 sous le contrôle de Jean Monnet,
" l'Imperator x de la nouvelle Synarchie", le Mouvement
européen groupe les diverses tendances politiques favorables
à l'Europe unie.
L'historique du Mouvement européen que donne le Dictionnaire
de la Politique française" mérite d'être
mieux connu
" Organisation créée en 1958 sous le contrôle
de Jean Monnet, groupant les diverses tendances politiques favorables
à l'Europe unie. Au congrès extraordinaire tenu
à Cannes en 1965, particulièrement important en
raison de la qualité des participants et de ce qui s'y
est dit, François Mitterrand déclara
- Nous sommes venus ici, moi en particulier. afin de témoigner
pour l'Europe, chacun à sa façon, chacun selon
sa préférence, mais pour l'Europe telle qu'elle
existe et telle que nous voulons qu'elle se parachève.
Après avoir rappelé qu'il se trouvait à
La Haye au premier congrès qui en 1948 lança l'idée
européenne, "époque où l'adversaire
était dehors, alors qu'aujourd'hui il est dedans",
le député de la Nièvre dénonça
les maux qui assaillent l'union européenne et qui sont
essentiellement, selon lui, le nationalisme, l'opportunisme et
l'indifférence.
- M. Maurice Faure, poursuit-il, le disait ce matin en ouvrant
nos débats : ici sont réunies les familles socialiste,
libérale et démocrate chrétienne. Oui, monsieur
Maurice Faure, vous avez raison. L'Europe est trop belle et trop
grande pour appartenir à un clan ou à une fraction
politique. Confisquer l'Europe serait la trahir.
Outre le futur leader du Parti socialiste, assistaient à
ce congrès: Maurice Faure, l'un des chefs radicaux-socialistes,
André Philip, socialiste de gauche, Gaston Defferre, chef
du socialisme phocéen, Pierre Uri, représentant
en France de la banque Lehman Brothers de New York, Etienne Hirsch,
président de l'Euratom, René Mayer, ancien directeur
de la banque de Rothschild frères et ancien président
du Conseil, et plusieurs centaines de personnalités politiques
et économiques de diverses tendances.
En octobre 1977, une Convention pour l'Europe s'est réunie
à Versailles. Après le discours d'ouverture du
président du conseil général des Yvelines,
Tenaillon, et une allocution du professeur Leprince-Ringuet,
président de l'organisation française du Mouvement
européen, les délégués de huit partis
et syndicats ont pris la parole
MM. Chinaud, pour le P.R., de Lipkowsky, pour le R.P.R., Daillet,
pour le C.D.S., Mauroy, pour le P.S., Calvez, pour la C.G.C.,
Rouzier, pour Force ouvrière, Tessier, pour la C.F.T.C.
(chrétiens), et Y. Chotard, pour le C.N.P.F. Le P.C.F.,
la C.G.T., la C.F.D.T., les autres confédérations
syndicales et les mouvements de la droite traditionnelle s'étaient
abstenus ou n'avaient pas été invités. L'année
suivante, Georges Berthouin, ancien chef de cabinet de Jean Monnet,
a été porté à la présidence
du conseil fédéral international du Mouvement européen;
il est l'un des dirigeants pour l'Europe de la Trilatérale.
"
Les personnes informées auront remarqué au passage
que nombre des personnalités du Mouvement européen
sont affiliées à cette autre société
politico-financière discrète, le Bilderberg Group,
dont Rockefeller et plusieurs autres affiliés de la Trilatérale,
comme Edmond de Rothschild, sont les animateurs.
Association internationale dont les interventions et les activités
sont tenues secrètes, le groupe de Bilderberg eut pour
promoteur un Polonais d'origine juive, Joseph Reitinger, dont
le comportement rappelle celui du chevalier de Ramsay ou du fameux
Cagliostro à la veille de la Révolution. Comme
eux, c'était un " initié " : il appartenait
à la franc-maçonnerie suédoise et eut un
rôle important dans la haute politique européenne.
C'est en mai 1954, à une réunion organisée
à Oosterbeck, dans les salons de l'hôtel Bilderberg
- d'où son nom -, que l'organisation fut créée
A la suite du scandale des pots-de-vin de Lockheed, le prince
Bernhard, mari de la reine des Pays-Bas, quitta la présidence
du Bilderberg Group. Mais l'organisation n'en poursuivit pas
moins ses activités, son a patron" véritable
n'étant pas le prince, mais le banquier David Rockefeller,
principal dirigeant de la Trilatérale
Raymond Barre et Simone Veil sont les poissons pilotes de la
puissante Trilatérale en Europe.
Né à Saint-Denis (La Réunion) en 1924, au
foyer d'un commerçant malchanceux, Raymond Barre fut professeur
de droit et de sciences économiques à Caen et à
Paris; il enseigna à l'Institut d'études politiques
de Paris avant de devenir le collaborateur du ministre de l'Industrie,
J.-M. Jeanneney, et de diriger son cabinet (1959-1962). Il fut
ensuite, pendant quelque temps, membre du conseil du Centre d'études
des revenus et des coûts auprès du commissariat
général au Plan, vice-président français
de la Commission unique des Communautés européennes
(Marché commun) et responsable des affaires économiques
et financières de la Communauté. Il présidait
la commission d'étude de la réforme du financement
du logement lorsqu'il fut nommé ministre du Commerce extérieur
dans le gouvernement Chirac, qui venait d'être remanié.
14. Lire la brochure Le monde secret de Bilderberg dont la première
édition est parue en 1986, complétant la brochure
de Robert Camman : Les véritables maîtres du monde
; sa quatrième édition est toujours en vente (des
centaines de noms d'affiliés de Bilderberg figurent dans
la première de ces brochures).
15. Jacques Bordiot (aujourd'hui décédé)
fut pendant de longues année; le principal rédacteur
de Lectures Françaises (revue mensuelle publiée
par D.P.F. à Chiré-enMontreuil, 86190 Vouillé)
; il a consacré plusieurs chapitres de ses ouvrages au
Bilderberg Group, notamment : Une main cachée dirige et
Le Pouvoir invisible.
La présence de cet affilié de la Trilatérale
auprès du président Giscard d'Estaing s'explique
d'autant mieux que ce dernier ne cache pas son zèle pour
cette mystérieuse société.
Raymond Barre n'a pas que du goût pour les sociétés
technocratiques: il affectionne aussi les sociétés
secrètes initiatiques. Sans être franc-maçon,
il entretient avec la Grande Loge de France des relations d'amitié
que ne désavouait pas l'Elysée : tout comme Valéry
Giscard d'Estaing, il a été reçu avec tous
les honneurs rue Puteaux, par le Grand Maître et les hauts
dignitaires du Rite Ecossais (mars 1977) ; ceux-ci l'invitèrent
même àparticiper à leurs "c agapes fraternelles
" . Cela fait partie, naturellement, d'un ensemble, d'une
vaste manaeuvre qui tend à faire de la franc-maçonnerie
le ciment des hommes politiques du centre-droit et du' centre-gauche.
Donnant un nouveau gage à la franc-maçonnerie,
Raymond Barre a fait entrer au Parlement un de ses affiliés
lyonnais, le docteur Jean Baridon, qu'il avait pris comme suppléant
en mars 1978 et qui fut proclamé député
du Rhône lorsque le député titulaire fut
confirmé dans les fonctions de Premier ministre.
Naturellement, Raymond Barre a renforcé ses liens avec
la francmaçonnerie. D'autant que ses positions politiques
se sont, depuis les élections législatives de 1988,
très nettement rapprochées de celles de la nouvelle
majorité, sans qu'on puisse affirmer que cette manoeuvre
sera durable.
Quant à ses attaches avec la haute finance internationale,
elles aussi se sont resserrées: Raymond Barre est entré,
entre-temps, au conseil politique international de la Banca Nazionale
del Lavoro, l'un des plus grands groupes financiers européens,
où il retrouve plusieurs affiliés de la Trilatérale:
Edmond de Rothschild, le magnat de la Haute Banque, Léon
Lambert, cousin des Rothschild et banquier belge influent, Henry
Kissinger, ancien ministre du président des Etats-Unis,
et David Rockefeller (voir fac-similé cicontre).
Cet engouement de Raymond Barre pour les oligarchies financières
est conforme à ses convictions profondes de mondialiste.
Dans l'interview qu'il a donnée au journal Le Monde, il
y a quelques années, il déclarait
a L'homme politique, a-t-il dit, doit à la fois énoncer
les valeurs auxquelles il se réfère, se montrer
responsable en choisissant de défendre l'intérêt
général (lisez: l'intérêt supérieur
de la Trilatérale), même au détriment des
intérêts de classes sociales qui l'ont porté
au pouvoir ou peuvent l'y porter le. x
Pauvres classes moyennes, petits commerçants en détresse,
infortunés petits industriels, malheureux travailleurs
des villes et des champs qui lui faites encore confiance, connaissez-vous
le fond de sa pensée ?
Certes, Raymond Barre n'est pas le premier à agir de la
sorte. D'autres que lui, et avant lui, ont fait des promesses
pour se faire élire et ont pris le contrepied de ce qu'ils
s'étaient engagés à faire ; l'histoire de
la politique française fourmille d'exemples de promesses
fallacieuses de politiciens. Mais, sauf erreur, aucun politicien
n'avait annoncé publiquement qu'il entendait agir contre
les légitimes espoirs de ceux qui lui font confiance et
qui l'ont élu.
Avec plus de finesse, Simone Veil est l'homologue parfait de
Raymond Barre. Comme lui, elle était totalement inconnue
du public lorsque, sur l'intervention des forces discrètes
qui assurent son avenir, elle fut promue ministre de la Santé,
en attendant d'être portée à la présidence
du Parlement européen.
Magistrat, ancienne collaboratrice du garde des Sceaux et, dit-on,
inspiratrice de la loi sur le racisme que celui-ci fit voter
en 1972, elle est née à Nice en 1927. Déportée
en Allemagne avec ses parents pendant la guerre, elle occupa,
à partir de 1970, le poste de secrétaire général
du Conseil supérieur de la magistrature. Ministre de la
Santé dans les gouvernements Chirac et Barre, elle a fait
voter par le Parlement les mesures légalisant l'avortement
(" loi Veil ").
Ardente sioniste, elle prit part à divers congrès,
tant à Tel-Aviv (Congrès des médecins juifs,
197.5) qu'à Washington (Congrès juif mondial, 1978).
" Je suis une juive, a-t-elle déclaré... Mon
identité est davantage une fidélité qu'un
attachement religieux... J'ai conscience d'appartenir à
une minorité 17. "
Elle manifeste, à l'endroit de la franc-maçonnerie,
une attirance égale à celle de son collègue
et complice Raymond Barre. Comme lui, elle fréquente les
loges et apporte aux francs-maçons son concours le plus
empressé. Sans appartenir à une organisation maçonnique
quand on est " de la Trilatérale ", il est bien
inutile de se faire " initier a -, elle est étroitement
liée aux enfants d'Hiram, elle est des leurs.
Lorsqu'elle va parler aux frères .'. des loges Anatole
France, Confiante Amitié, Locarno 72, Fraternité
Universelle de Salomon, Le Progrès, Chantier des Egaux,
Raphaél Bliard, et aux sueurs .'. des loges Phoebus, Ergane,
Serpent vert, Flora Tristan, ou à plusieurs autres assemblées
secrètes de francs-maçons (comme le déjeuner
de Carrefour de l'Amitié), elle manifeste discrètement,
mais sûrement, son attachement à la franc-maçonnerie
internationale: ses desseins " humanitaires " ne sont-ils
pas proches des visées mondialistes de la Trilatérale
?
Comme Barre, Mme Veil est devenus un agent actif des oligarchies
financières. Ce n'est pas la Banca Nazionale del Lavoro
qui l'a attiree, mais un groupe financier non moins puissant
, hollandais celui là, Robeco c'est à dire Rotterdamsche
Beleggins Consortium, qui possède des participations ,
des intérêts et des ramifications dans les cinq
continents.
Simone Veil siège au conseil de surveillance de ce trust
en compagnie de plusieurs affiliés de la Trilatérale,
notamment Robert McNamara, ancien président de la Banque
Mondiale (World Bank), qui fut secrétaire d'état
à la Défense du gouvernement américain,
et le japonais Saburo Okita , ancien ministre des affaires étrangères
du Japon, qui fut remplacé peu après par son ami
Yusuke Kashiwagi, président de la Banque du Japon.
Malgré l'appui de ces oligarchies, l'ancienne présidente
du Parlement européen a subi un échec assez humiliant
aux élections de juin 1989. Conduisant la liste des centristes,
elle n'obtint aux élections européennes que 8%
des suffrages exprimés. Lectures Françaises s'est
demandé si le revers ne provenait pas de l'hostilité
et de la méfiance des militants démocrates chrétiens,
qui acceptaient ma la présence d'une non catholique à
la tète de la liste patronnée par leur parti, le
C.D.S.
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Le savoir pour eux
La connerie pour nous
http://www.un.org/french/aboutun/dudh.htm
Article 19 (revu façon Nouvel Ordre Mondial)
" Tout individu n'a pas le droit à la liberté
d'opinion et d'expression, ce qui implique, pour lui, le droit
d'être inquiété pour ses opinions et celui
de la fermer, de recevoir et de subir, sans considération
pour sa personne, les informations et les idées correctes
par quelque moyen d'expression que ce soit. "
Articles 14 & 15 de la
Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789
:
" Les citoyens ont le doit de constater, par eux-mêmes
ou par leurs représentants, la nécessité
de la contribution publique, de la consentir librement
" ;
" La société a le droit de demander compte
à tout agent public de son administration " |