Les gens oublient tellemet vite. Pendant qu'on vous gave le cerveau avec des mutations "surnaturelles" de gênes, virus et bactéries, auriez-vous fait le lien avec les décès des microbiologistes qui sont morts après l'attaque du 11 septembre. Coïncidences. En tout cas, le génocide eugénique fait à peine commencer. Les décès de microbiologistes saccumulent ... Dans la période de quatre mois, du 12 novembre 2001 au 11 février 2002, on a rapporté la mort de sept microbiologistes de classe internationale, dans diverses parties du monde. Six sont décédés de causes " non naturelles " et la mort du septième demeure suspecte. De plus, le 12 novembre, DynCorp, sous-contractant majeur du gouvernement en traitement informatique dans les opérations militaires et le travail de renseignement, se vit accorder un contrat de 322 $ millions pour développer, produire et mettre en réserve des vaccins pour le Département de la Défense. DynCorp et Hadron, tous deux fournisseurs de la Défense, associées à la classification des programmes de recherche sur les maladies contagieuses, ont également été liées à un programme de logiciel, connu sous le nom de Promis, qui peut permettre didentifier et cibler les victimes. Dans les six semaines précédant le 12 novembre, la mort de deux autres microbiologistes fut rapportée. Certains croient même quil y aurait eu cinq microbiologistes de plus dassassinés durant la période, élevant le total à 14. Ces deux à sept morts additionnelles ne sont toutefois pas au centre de ce récit. Cette même période vit aussi la mort de trois personnes impliquées dans la recherche médicale ou la santé publique. 12 novembre : Benito Que, 52 ans, est trouvé dans un état comateux dans la rue près du laboratoire où il travaille, à lÉcole de Médecine de lUniversité de Miami. Il meurt le 6 décembre. 16 novembre : Don C. Wiley, 57 ans, disparaît. Sa voiture de location est retrouvée abandonnée sur le pont Hernando de Soto, en dehors de Memphis, au Tennessee. Son corps est retrouvé le 20 décembre. 23 novembre : Vladimir Pasechnik, 64 ans, est retrouvé mort à Wiltshire, en Angleterre, près de sa maison. 10 décembre : Robert Schwartz, 57 ans, est trouvé assassiné dans sa maison de campagne de Loudoun County, en Virginie. 11 décembre : Set Van Nguyen, 44 ans, est retrouvé mort dans le sas dentrée dun réfrégirateur dans le laboratoire où il travaillait à Victoria State, en Australie. 8 décembre : Vladimir Korshunov, 56 ans, est trouvé sans vie dans une rue de Moscou. 11 février : Ian Langford, 40 ans, est trouvé mort dans son foyer de Norwich, en Angleterre. OUPS ! Avant ces décès, le 4 octobre 2001, un jet commercial, voyageant dIsraël à Novosibirsk, en Sibérie, fut abattu au-dessus de la Mer Noire par un missile ukrainien sol-air " perdu ", tuant tout le monde à bord. Le missile était à plus de 100 milles en dehors de sa course. Malgré que des dépêches de nouvelles lavaient rapporté très tôt comme étant un affrètement, le Vol Air Sibir 1812 était un vol régulier sur lhoraire. Selon plusieurs communiqués de presse, de même quun article de Barry Chamish écrit le 5 décembre et un autre par Jim Rarey, le 13 janvier (tous deux disponibles en anglais sur www.rense.com), nombreux sont ceux qui croient, en Israël, que lavion comptait jusquà cinq microbiologistes. Israël et Novosibirsk sont des foyers de recherche à la fine pointe de la microbiologie. Novosibirsk est reconnue comme la capitale scientifique de la Sibérie et le site de plus de 50 installations de recherche et 13 universités complètes pour une population de seulement 2,5 millions dhabitants. Au moment de lécrasement dans la Mer Noire, des journalistes israéliens sonnaient déjà lalarme en signalant que deux microbiologistes israéliens venaient dêtre assassinés, prétendument par des terroristes. Le 24 novembre, un vol de la Swissair, allant de Berlin vers Zurich, sécrasa à lamorce de latterrissage. Des 33 personnes à son bord, 24 furent tuées, incluant le chef du département dhématologie de lHôpital Ichilov dIsraël, comme aussi les directeurs du Département de Santé Publique de Tel Aviv et de lÉcole de Médecine de lUniversité Hébraïque. Ils étaient les seuls Israéliens du vol. Les noms de ces morts, comme il fut rapporté dans des nouvelles israéliennes subséquentes qui ne révélaient toutefois pas le titre de leurs fonctions, étaient Avishai Berkman, Amiramp Eldor et Yaacov Matzner. En plus quils soient tous des microbiologistes, six des sept scientistes qui sont morts dans lintervalle de quelques semaines, sont décédés de causes " non naturelles ". Et quatre des sept accomplissaient un travail de recherche virtuellement identique recherche dont la signification avait une portée politique et financière globale. QUE PASA ? Le bureau des relations publiques de lÉcole de Médecine de lUniversité de Miami se borna à dire que Benito Que était biologiste cellulaire, mêlé aux recherches oncologiques du département dhématologie. Ces recherches reposent en grande partie sur létude des séquences de lADN. Les circonstances de sa mort soulevèrent plus de questions quelles nen résolurent. M. Que avait quitté son travail à un laboratoire de recherche de LÉcole de Médecine de Luniversité de Miami et il se dirigeait apparemment vers son Ford Explorer stationné sur la 10ième Avenue NW. Le Miami Herald, qualifiant le décès " dincident ", rapporta quil navait pas de porte-monnaie sur lui et cita la police de Miami qui stipulait que sa mort résultait dune attaque à main armée. La police avançait cet énoncé tout en établissant, dun autre côté, que le corps de M. Que ne portait pas de trace de lésions. Parmi les amis et la famille de M. Que, lon croit fermement que le physicien a été attaqué par quatre individus, dont lun avait un bâton de base-ball. Le décès de M. Que est déclaré officiellement, aujourdhui, comme provenant de causes " naturelles " dues à un arrêt cardiaque. Le coroner du Comté de Dade, ainsi que la police de Miami ne veulent pas commenter le cas, se contentant de dire que le dossier est clos. MYSTÈRE À MEMPHIS Don C. Wiley, de lInstitut Médical Howard Hughes de lUniversité Harvard, était un des plus éminents microbiologistes du monde. Il avait remporté bon nombre des plus prestigieux prix dans le domaine, dont le Prix Albert Lasker 1995 de la Recherche Médicale Fondamentale pour ses travaux qui pouvaient permettre de réaliser les vaccins antiviraux. Il était impliqué de près dans la recherche sur les séquences de lADN. Wiley fut vu pour la dernière fois vers minuit, le 15 novembre, quittant le souper du Conseil de Recherches Infantiles Saint-Jude tenu à lHôtel Peabody de Memphis, au Tennessee. Les collaborateurs qui assistaient au souper affirmèrent quil ne montrait aucun signe dintoxication et aucun ne put admettre avoir bu en sa compagnie. Sa Mitsubishi Galant de location fut retrouvée environ quatre heures plus tard, abandonnée sur un pont traversant la Rivière Mississippi, tournée en direction de lArkansas. Les clés étaient encore dans le contact du démarreur, le réservoir dessence était plein et les doubles clignotants de détresse nétaient pas allumés. Le cadavre de Wiley fut trouvé, le 20 décembre, accroché aux branches dun arbre le long de la Rivière Mississippi, à hauteur de Vidalia, en Louisiane, à 480 kilomètres au sud de Memphis. Tant quon eut pas retrouvé son corps, le Dr. Wiley fut considéré comme personne disparue et la police nentreprit aucune vérification légale. Les premiers rapports concernant la disparition de Wiley ne firent pas mention des marques de peinture sur sa voiture, ni dun enjoliveur manquant, lesquels furent relevés dans des rapports subséquents. Le type daccident pouvant provoquer la perte denjoliveurs (en fait, une couverture de roue complète) installés sur les modèles Galant récents, aurait dû causer des dommages notables sur le revêtement métallique de chaque côté de la roue, et probablement à la roue elle-même. Aucun dommage à la carrosserie ou à la roue de la voiture ne furent enregistrés. La voiture de Wiley fut retrouvée à quelques minutes de lhôtel où il fut vu pour la dernière fois. Il y a une période de quatre heures, dans sa soirée, que lon ne peut retracer. Il ny a également aucune explication à savoir pourquoi il se dirigeait vers lArkansas si tard dans la nuit. Wiley demeurait dans la maison de son père, à Memphis. Le pont Hernando de Soto fait traverser la Route 40 Interstate de Memphis au-delà de la Rivière Mississippi, en direction de lArkansas. La circulation sur le pont était réduite à une voie unique dans chaque direction. Cela ralentissait le trafic en direction ouest de Memphis et le forçait à ne prendre quune voie. Nimporte quoi se trouvant sur les deux voies fermées aurait sauté aux yeux de tout passant. Il ny a aucun témoin ayant vu Wiley arrêter son véhicule sur le pont. Le 14 janvier, presque deux mois après sa disparition, le coroner du Comté Shelby, O. C. Smith, annonça que son département avait déclaré la mort de Wiley " accidentelle ", résultat des blessures sévères quil avait subies dans sa chute du pont Hernando de Soto. Smith dit quil y avait des marques de peinture sur la voiture louée de Wiley similaires à la peinture des signaux de construction du pont, et que lenjoliveur avant droit du véhicule manquait. Il ny eut pas de rapport signifiant quels signaux de construction Wiley frappa. Ni dexplication, dailleurs, à savoir pourquoi cette preuve ne poussa pas la police de Memphis à considérer dautres possibilités que celle dun cas de " personne disparue ". Smith avança lhypothèse que Wiley sétait rangé dans la voie extérieure du pont (celle qui était fermée à la circulation à ce moment-là) pour examiner les dégâts causés à sa voiture. Les explications subséquentes de Smith au sujet de la chute exigent que certaines autres choses soient survenues simultanément : Wiley devait avoir eu lune des deux ou trois crises quil subissait par année dues à un désordre physique très rare connu seulement des membres de sa famille et de ses amis intimes, cette crise ayant été provoquée par lusage dalcool plus tôt dans la soirée ; le passage dun camion oocasionnant un gros déplacement dair et/ou un sursaut de la voie routière à cause du trafic lourd ; et Wiley devait se tenir dans la courbe suivant le garde-fou qui, à cause des 6 pieds et 3 pouces (1 m 90) de Wiley, ne lui venait quà mi-cuisse. Ces conditions auraient fait en sorte que le centre de gravité de Wiley dépassa le parapet du pont et que la crise lui ait fait perdre léquilibre pendant que le camion provoquait le sursaut et le coup de vent, tout cela faisant quil chuta du pont. LA SCIENCE, PLUS PUISSANTE QUE LÉPÉE ? Robert Schwartz était membre fondateur de lAssociation de Biotechnologie de Virginie et directeur exécutif à la Recherche et au Développement du Centre dInnovation Technologique de Virginie. Il était fort respecté en biophysique et considéré comme faisant autorité dans le domaine des séquences de lADN. Ses collaborateurs sinquiétèrent de ne pas le voir entrer au bureau, le 10 décembre. Il fut plus tard retrouvé mort chez lui. Les officiers du Shérif du Comté de Loudoun dirent que Schwartz avait été poignardé, le 8 décembre, avec une épée et arborait une coupure en forme de " x " à la base du cou. Clara, la fille de 19 ans de Schwartz, ainsi que trois autres personnes, ont été accusées dans cette affaire. On a dit quelles entretenaient toutes les quatre une sorte de fascination pour les mondes fantastiques, la sorcellerie et loccultisme. Kyle Hulbert, 18 ans, que lon suppose avoir commis le meurtre, a un passé daliénation mentale et lon a rapporté, dans le Washington Post, quil aurait tué Schwartz pour empêcher lassassinat de Clara. À la requête des avocats de Clara Schwartz, le 13 février, la juge Pamela Grizzle a ordonné que lon appose les scellés sur toute nouvelle preuve présentant son rôle dans laffaire. La juge a également émis une injonction de clôture temporaire couvrant le dossier complet chez la police, ainsi que les avocats de la couronne et de la défense. RESPIRE À FOND ET PORTE UN GROS BÂTON Set Van Nguyen a été retrouvé mort, le 11 décembre, dans les installations pour maladies animalières de lOrganisation de Recherches Scientifiques et Industrielles du Commonwealth, à Geelong, en Australie. Il y travaillait depuis 15 ans. Selon un article paru au www.rense.com et écrit par Ian Gurney, en janvier 2001, le magazine Nature publia de linformation à leffet que deux scientistes de cet aménagement, employant la manipulation génétique et les chaînes de lADN, avaient créé une forme incroyablement virulente dune sorte cousine de la variole. Les chercheurs étaient très inquiets quune manipulation similaire puisse être effective sur la variole même, pouvant ainsi en faire une arme terrible. Selon la police de Victoria, Nguyen est mort après être entré dans une installation dentreposage réfrigéré. " Il ignorait que la chambre était remplie dun gaz mortel qui sétait échappé du système de refroidissement par azote liquide. Incapable de respirer, Nguyen seffondra et mourut, " stipula le rapport officiel. Lazote nest pas un gaz " mortel ", cest un composant de lair. Une surabondance extrême dazote dans latmosphère immédiat de quelquun causerait un souffle court, de létourdissement et de la fatigue conditions quun biologiste reconnaîtrait à coup sûr. De plus, une fuite suffisante pour remplir la chambre dazote aurait inévitablement déclenché lalerte et aurait été si monumentale quelle aurait certainement occasionné une perte complète de refroidissement, entraînant lélévation de la température, ce qui aurait aussi décollé lalarme dont ces systèmes sont habituellement équipés. UN RUSSE, LE RENSEIGNEMENT BRITANNIQUE ET DE VIEUX CADAVRES En 1989, Vladimir Pasechnik passa de lancienne Union Soviétique (URSS) à la Grande Bretagne lors dun voyage à Paris. Il était alors le plus important scientiste du programme de guerre biologique de lURSS, lequel programme dépend en grande partie des séquences de lADN. Le New York Times rapporta que la mort de Pasechnik était survenue le 23 décembre. La nécrologie du Times indiquait que lannonce du décès de Pasechnik avait été faite aux États-Unis par le Dr Christopher Davis, de Virginie, qui signala quune attaque cardiaque était à lorigine de son décès. Davis était le membre du Renseignement britannique qui fit faire un compte-rendu au Dr Pasechnik à lépoque de sa défection. Davis dit avoir quitté le Service de Renseignement en 1996, mais, quand on lui demanda pourquoi cétait un ancien membre du Renseignement britannique qui annonçait la mort de Pasechnik aux médias américains, il rétorqua que cétait arrivé à loccasion dune conversation avec un reporter envers qui il entretenait des relations depuis longtemps. Le reporter que Davis a nommé nest pas lauteur de lannonce nécrologique du Times, et Davis se refusa à dévoiler pour quelle branche du Renseignement britannique il travaillait. Aucun compte-rendu de la mort de Pasechnik napparut en Grande Bretagne pendant plus dun mois, jusquau 29 décembre, où parut alors une notice nécrologique dans le London Telegraph qui ne mentionnait pas la date du décès. Pasechnik passa les dix années suivant sa défection à travailler au Centre de Microbiologie Appliquée et de Recherches au Département de la Santé du Royaume-Uni, à Salisbury. Le 20 février 2000, on annonça que, en compagnie de son partenaire Caisey Harlington, Pasechnik avait formé une entreprise appelée Regma Biotechnologies Ltd. La Regma se décrivait comme " une nouvelle compagnie de produits pharmaceutiques uvrant à fournir une puissante alternative aux antibiotiques ". Comme trois autres microbiologistes décrits dans cet article, Pasechnik était impliqué de très près aux recherches sur les séquences de lADN. Au cours de la panique causée par lanthrax, lautomne passé, Pasechnik offrit ses services au gouvernement britannique afin de venir en aide par tous les moyens possibles. Or, malgré que la Regma possédait un département de relations publiques qui a livré de nombreux items à la presse ces deux dernières années, la compagnie navait pas annoncé la mort de lun de ses deux fondateurs... FÉVRIER, SANGLANT FÉVRIER Le 9 février, le journal la Pravda rapporta que Victor Korshunov avait été assassiné. À ce moment-là, Korshunov était à la tête du sous-aménagement de microbiologie de lUniversité de la Médecine dÉtat russe. Il fut retrouvé mort sur le pas de sa porte avec une blessure crânienne. La Pravda rapporta que Korshunov avait probablement inventé, soit un vaccin pour se protéger contre les armes biologiques, soit une arme biologique en elle-même. Le 12 février, un journal de Norwich, en Angleterre, raconta la mort, la veille, de Ian Langford, chercheur senior à lUniversité dEast Anglia. Le récit continuait en disant que la police " ne considérait pas la mort comme suspecte ". Le jour suivant, le Times britannique rapportait que Langford fut trouvé coincé sous une chaise, dans " sa maison éclaboussée de sang et apparemment fouillée de fond en comble. " Le récit du 12 février du Eastern Daily Press fit état demployés dun magasin près de chez Langford qui affirmèrent que celui-ci venait tous les jours acheter " une grosse bouteille de vodka ". Deux des employés du personnel du magasin attestèrent que Langford était venu au magasin, deux jours plus tôt, portant " seulement une vareuse et une paire de souliers ". Aucun des employés du magasin na voulu révéler son identité. Il est difficile de comprendre comment un homme qui a atteint les plus hauts sommets daccomplissement dans le domaine scientifique puisse boire " une grosse bouteille de vodka " sur une base quotidienne et se balader dans son voisinage presque nu. Le 14 février, dans un autre volet du récit du Eastern Dailey Press, lon dit que la police croit que Langford serait mort davoir subi " une ou plusieurs chutes ". Elle exprime que ces chutes seraient responsables de ses blessures à la tête et de la grande quantité de sang répandu sur la scène du décès. LINSTITUT MÉDICAL HOWARD HUGHES UN AUTRE MAILLON ? Il y a un autre lien intriguant entre trois des cinq scientifiques américains qui sont morts. Wiley, Schwartz et Benito Que travaillaient pour des installations de recherche médicale qui recevaient des subventions de lInstitut Médical Howard Hughes (IMHH). LIMHH finançait un nombre énorme de programmes de recherche dans des écoles, des hôpitaux et des installations de recherche, et lon suppose depuis longtemps des " opérations noires " de recherches biomédicales pour des organisations de renseignement, incluant la CIA. La physicienne Patricia Dole, qui enquête depuis longtemps dans le domaine de la guerre biologique, rapporte un récit de personnes reliées à lIMHH qui ont été assassinées. En 1994, José Trias rencontra un ami à Houston, au Texas, et planifiait de rendre public ce quil savait personnellement des subventions de " façade " de lIMHH qui, par la " porte arrière ", servaient aux opérations noires de la biorecherche. Le lendemain, Trias et son épouse furent trouvés morts dans leur demeure de Chevy Chase, dans le Maryland. LIMHH a son quartier général à Chevy Chase. La police décrivit le double meurtre comme le fait de professionnels. Tsunao Saitoh, qui travaillait anciennement dans un laboratoire de lUniversité Columbia subventionné par lIMHH, a été fusillé à mort, le 7 mai 1996, alors quil était au volant de sa voiture, dans la cour de sa maison, à La Jolla, en Californie. La police a également décrit ceci comme luvre dun professionnel. AU-DELÀ DE LA BIZARRERIE Au début doctobre, on rapporta que des scientistes britanniques planifiaient dexhumer les corps de 10 victimes londoniennes de lépidémie de grippe de type-A de 1918, mieux connue sous le nom de grippe espagnole. Un compte-rendu du 7 octobre de The Independant, UK, dit que les victimes de la grippe espagnole avaient été frappées par " le virus le plus mortel du monde ". Les scientistes britanniques, selon ce récit, espéraient découvrir la composition génétique du virus pour quil soit plus facile de le combattre. Le professeur John Oxford, de lÉcole de Médecine Queen Mary de Londres, conseiller du gouvernement britannique en matière de grippe, reconnaît que lexhumation et létude subséquente des corps doit se faire avec dextrêmes précautions pour que le virus ne soit pas relâché et quil cause une autre épidémie. La découverte de la structure génétique de lagent pathogène constitue exactement le travail queffectuait Pasechnik chez Regma. Pasechnik mourut six semaines après que lexhumation fut annoncée. Le besoin de déterrer des cadavres laisse présumer quaucun échantillon du virus de la grippe de type-A nexiste dans quelque laboratoire que ce soit dans le monde. Une dépêche lancée sur les ondes de MSNBC, le 6 décembre, faisait paraître bizarre le plan dexhumation britannique. Le récit se référait à un article qui devait être publié le lendemain dans le magazine hebdomadaire Science rapportant que lon avait récemment trouvé la séquence ARN du virus de la grippe de 1918. Des chercheurs avaient retracé et obtenu des échantillons du virus à partir de tissus conservés de poumons ayant appartenus à des soldats de la Première Guerre, ainsi que dune femme inuit qui avait été enterrée dans le permafrost dAlaska. AIDE DEMANDÉE, ESPIONS ET UN LIEN AVEC Promis Presque immédiatement au début de la panique entraînée par lanthrax, ladministration Bush passa un contrat avec Bayer Pharmaceuticals pour obtenir plusieurs millions de doses de Cipro, un antibiotique qui traite lanthrax. Cela fut fait en dépit de nombreuses personnes de la communauté médicale certifiant quil y a plusieurs alternatives plus économiques et meilleures que le Cipro, lequel na jamais démontré son efficacité contre lanthrax inhalé. Le Centre de Contrôle des Maladies (CCM) stipule, dans son propre site Internet, préférer lantibiotique doxycycline au Cipro en ce qui a trait à lanthrax inhalé. Le CCM exprime sa crainte de voir lutilisation largement répandue du Cipro faire en sorte que dautres bactéries deviennent immunisées contre les antibiotiques. Il fut annoncé, le 21 janvier, que le directeur du CCM, Jeffrey Koplan, démissionnera le 31 mars. Six jours plus tôt, il a été annoncé que le Chirurgien Général David Satcher démissionne également. Et il ny a actuellement pas de directeur à lInstitut National de la Santé lINS est présentement dirigé par un directeur intérimaire. Ces récentes démissions laissent simultanément vacants les trois postes médicaux les plus importants du gouvernement fédéral. Après six mois de rapports contradictoires, il est maintenant officiel, selon des sources militaires américaines, que lanthrax qui a tué plusieurs Américains depuis le 5 octobre est relié aux recherches de la CIA. Le FBI énonce que seules dix personnes pouvaient y avoir accès ; cependant, en même temps, il rapporte dincroyables brèches à la sécurité du laboratoire de guerre biologique de Fort Detrick, au Maryland des infractions telles que des expériences nocturnes non autorisées et des spécimens de laboratoire portés manquants. Lanthrax militaire employé par les USA a été développé par William C. Patrick III qui détient cinq brevets secrets sur le procédé. Il a travaillé à Fort Detrick ainsi quaux Terrains dExpérimentation Dugway, dans lUtah. Patrick est maintenant consultant privé en guerre biologique pour le compte de lArmée et de la CIA. Il a développé le procédé par lequel les spores de lanthrax peuvent être concentrés à un niveau dun trillion de particules par gramme. Selon un rapport du 31 janvier fait par Barbara Hatch Rosenberg de la Fédération des Scientistes dAmérique, lanthrax qui a été lâché sur lest des États-Unis, lautomne dernier, était concentré à un trillion de particules par gramme... Ces dernières années, Patrick a travaillé avec Kanatjan Alibekov. Aujourdhui connu sous le nom américanisé de " Ken Alibek ", il passa aux États-Unis en 1992. Avant sa défection, Alibek était le numéro deux du programme de guerre biologique de lancienne Union Soviétique. Son patron était Vladimir Pasechnik. Actuellement, Ken Alibek est président des Biosystèmes Avancés Hadron, une filiale dAlexandria, en Virginie, de Hadron Inc.. Hadron se décrit comme une compagnie spécialisée dans le développement de solutions techniques pour les agences de renseignement. En tant que chef scientiste de Hadron, Alibek donna un ample témoignage à la Chambre du Comité des Services Armés sur les armes biologiques, le 20 octobre 1999 et encore le 23 mai 2000. Hadron annonça, le 20 décembre que, jusquà cette date, la compagnie avait reçu 12 $ millions de fonds pour ses recherches en biodéfense médicale, argent provenant de lAgence des Projets de Recherches Avancées pour la Défense, les Recherches Médicales et Commandes Matérielles de lArmée des États-Unis, et lInstitut National de la Santé. Hadron dit que tout fonctionnait dans le cadre dune immunité non déterminée. Dans les années 1980, Hadron fut fondée et dirigée par le Dr Earl Brian, docteur en médecine, vieil ami de Ronald Reagan et associé à lancien procureur-général Edwin Meese. Brian fut condamné, dans ces mêmes années 1980, sous des accusations de fraude. Hadron ainsi que Brian avaient été, dans des documents de la cour et de nombreux rapports crédibles, confirmés depuis le 11 septembre, étroitement reliés au vol du précieux logiciel Promis de son propriétaire, la Corporation Inslaw. Promis est un programme informatique hautement sophistiqué capable dintégrer une grande varitété de données informatiques. Ces dernières années, le logiciel aurait été couplé à lintelligence artificielle. Promis est connu depuis longtemps pour avoir été modifié par des agences de renseignement grâce à une porte arrière qui permet lextraction clandestine de données emmagasinées. [Pour de plus amples informations au sujet de ce que Promis peut faire et son historique, veuillez utiliser le moteur de recherche au http://www.copvcia.com/]. Étant donné sa capacité unique et les liens antérieurs de Hadron avec Promis, il est possible que le logiciel, en pénétrant dans les données informatiques utilisées par chacune des victimes, puisse avoir identifié les quelconques chaînes de recherches qui menaçaient de compromettre une opération voilée plus large, plus sinistre, mais encore non identifiée. UN MODÈLE ? Le travail sur les séquences de lADN effectué par les quelques microbiologistes mentionnés plus haut, visait à développer des produits pharmaceutiques qui combattront les agents pathogènes en se basant sur le profil génétique de ces derniers. Ce travail aspire également à développer éventuellement des produits pharmaceutiques qui uvrent en coopération avec le code génétique dune personne donnée. En théorie, un produit pourrait être développé pour chaque individu bien spécifique. Si cest le cas, il devient évident que lon pourrait descendre les marches et un produit pourrait effectivement être développé qui serait en mesure de traiter une plus grande classe de gens partageant un même signe génétique. Le procédé entier pourrait aussi être inversé pour développer un agent pathogène qui pourrait affecter un large éventail de gens partageant un même patrimoine génétique. Ce pourrait être un groupe tel quune race, ou les gens aux yeux bruns... LA VARIOLE Le 17 octobre, un article dans le USA Today rapporta que le gouvernement des États-Unis voulait commander 300 millions de doses de vaccin contre la variole. Apparemment, ce vu a été exaucé. Le 28 novembre, un fabricant britannique de vaccins, Acambis, annonça quil avait reçu 428 $ millions pour fournir 155 millions de doses de vaccin contre la variole au Département américain de la Santé et des Services Humanitaires (DSSH). Cétait le deuxième contrat dAcambis. La compagnie procède déjà à la production de 54 millions de doses. Le gouvernement américain possède 15,4 millions de doses mises en stock, et le DSSH planifie de les diluer dans des proportions de cinq pour un. Les deux contrats et le programme de dilution amèneraient le total des stock du DSSH à 286 millions de doses. La variole fut officiellement déclarée éradiquée par lOrganisation Mondiale de la Santé en 1977, après que lon eut traité le dernier cas connu à Merca, en Somalie. APMUS FASCISME MÉDICAL Une réunion du Centre pour la Loi et la Santé Publique (CLSP) fut convenue, le 5 octobre. Ce groupe est dirigé conjointement par lÉcole de Droit de lUniversité Georgetown et lÉcole de Médecine Johns Hopkins, et fut fondé sous les auspices du Centre de Contrôle de la Maladie (CCM). Le CLSP fut formé un mois avant les élections présidentielles de 2000. Le but de la réunion doctobre était détablir une législation pour réagir à la menace bioterroriste du moment. Après avoir travaillé seulement 18 jours, le 23 novembre, le CLSP émit un document de 40 pages appelé Actes des Pouvoirs des Modèles dUrgence Santé (APMUS). Cest une loi " modèle " que le Département de la Santé et des Services Humanitaires (DSSH) suggère voir décrétée par les 50 états afin de contrôler les futures urgences en santé publique, comme le bioterrorisme. Une version révisée fut émise le 21 décembre, contenant une définition plus précise de " lurgence en santé publique " qui caractérise le bioterrorisme et les agents biologiques, et comprend des clauses pour les états qui veulent utiliser cet acte dans les cas de désastres chimiques, nucléaires ou naturels. Selon lAssociation des Physiciens et Chirurgiens Américains (APCA), après quon ait déclaré un " état durgence en santé publique ", et sans avoir à consulter les autorités en santé publique, lapplication de la loi, la législature ou la cour, un gouverneur détat qui utilise lAPMUS, ou quiconque quil ou elle décide de nommer en pouvoir, peut, entre autre : exiger que chaque individu soit vacciné, un refus constituant un crime entraînant la quarantaine ; exiger que chaque individu subisse un traitement médical spécifique, un refus constituant un crime entraînant la quarantaine ; saisir toute propriété, incluant un immeuble, de la nourriture, des médicaments, de la gazoline ou des vêtements quun officier juge nécessaires pour contrôler lurgence ; saisir et détruire toute propriété susceptible dêtre dangereuse ; il ny aura ni compensation ni recours; vous affecter, vous et/ou votre entreprise, au service de létat ; imposer le rationnement, le contrôle des prix, le contrôle des quotas et du transport ; suspendre nimporte quelle loi détat, règle ou réglementation que lon croira interférer à la maintenance de létat durgence déclaré. Lorsque le gouvernement fédéral voulut que les états mettent en vigueur la limite de vitesse de 90 km/h, il contraignit les états en utilisant la menace de supprimer les argents fédéraux. La même tactique sera probablement employée avec lAPMUS. Alors que jécris ceci, la loi a été adoptée au Kentucky. Selon lAPCA, elle a été introduite en législation en Arizona, en Californie, au Delaware, en Illinois, au Massachusetts, au Minnesota, au Mississippi, au Michigan, au Nebraska, au Nevada, au New Jersey, au Nouveau-Mexique, dans létat de New York, en Pennsylvanie et au Tennessee. On sattend à ce quelle soit prochainement introduite au Colorado, au Connecticut, à Hawaii, au Maine et au Wisconsin. LAPMUS est présentement évalué par les branches exécutives en Caroline du Nord, en Ohio, en Oklahoma, en Caroline du Sud, au Texas, en Virginie et à Washington, DC. Les recherches que les microbiologistes effectuaient auraient pu développer des méthodes de traitement des maladies, comme lanthrax et la variole, sans les vaccins et les antibiotiques conventionnels. Les contrats pharmaceutiques passés pour soigner ces maladies auront atteint un total de centaines de millions de dollars, sinon des milliards. Si les épidémies pouvaient être traitées de manière non conventionnelle, lAPMUS pourrait savérer non nécessaire. Considérant les actions du gouvernement annulant de nombreuses libertés civiles, depuis septembre, lAPMUS semble être une loi se cherchant une excuse pour être décrétée. Peut-être les microbiologistes barraient-ils la route à lagenda de certaines gens ou certaines entreprises... Nous savons également que la recherche sur les séquences de lADN peut être employée pour développer des agents pathogènes qui ciblent des groupes spécifiques génétiquement reliés. Une compagnie, DynCorp, manipule le processus de données informatiques de nombreuses agences fédérales, comprenant le CCM, le Département de lAgriculture, certaines branches du Département de la Justice, lAdministration de la Nourriture et Produits Pharmaceutiques (ANPP) et lInstitut National de la Santé (INS). Le 12 décembre, DynCorp annonça que sa filiale, DynPort Vaccine, sétait vue accorder pour 322 $ millions de contrats pour développer, produire, tester et emmagasiner des vaccins sous licence de lANPP à être utilisés par le Département de la Défense. Il serait incroyablement facile pour DynCorp de cacher de linformation concernant la structure exacte, la sécurité, lefficacité et le dessein des produits pharmaceutiques et des vaccins que le gouvernement américain a commandés. Les raisons de soupçonner DynCorp de comportement criminel ne sont pas difficiles à trouver. La reporter denquête, Kelly O Meara, du magazine Insight, dans un article datant du 4 février, divulgua une massive enquête militaire américaine dévoilant de quelle manière les employés de DynCorp, en Bosnie, étaient impliqués dans un réseau largement étendu desclaves sexuels, marchandant des enfants, pouvant être aussi jeunes que 8 ans, et enregistrant sur vidéo des relations sexuelles forcées. O Maera passa en revue des documents du gouvernement et interviewa des enquêteurs de lArmée ayant scruté les activités qui pullulaient dans les opérations contractuelles de DynCorp pour offrir des services dhélicoptères et de fournitures dentrepôt aux militaires américains. Des vidéos et autres preuves de ces crimes sont en possession de lArmée. Et, dans un récit du 23 février, le vétéran journaliste, Al Giordano, de www.narconews.com, rapporta quune poursuite en procès avait été enregistrée à Washington, DC., par plus de 10 000 fermiers équatoriens et une union syndicale contre DynCorp pour son épandage effréné dherbicides qui ont détruit les récoltes, affaibli lécosystème et provoqué plus de 10 000 cas documentés de maladies. Le président actuel de DynCorp, Paul Lombardi, a réagi à la poursuite en expédiant des lettres intimidantes dans linutile tentative de forcer les plaignants à se retirer. DynCorp a aussi été directement reliée au développement et à lutilisation du logiciel Promis par son créateur, Bill Hamilton de lInslaw. Lancien président de DynCorp, et actuel membre du comité de direction et principal investisseur de la Société Capricorn, est Herbert " Pug " Winokur. Ce dernier était, jusquà tout récemment, président du Comité de Finance de Enron. Il clama son ignorance face aux frauduleuses activités financières du Comité de direction dEnron, même sil était chargé de leur surveillance..." Et on se demande pourquoi les jeunes ne veulent pas se diriger en science...
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