Ces hommes qui en
savaient trop:
le Colonel Corso et Roswell
Pour ceux qui sont familiarisés
à l'Ufologie, le Colonel Corso est très certainement
la figure mythique la plus intrigante et la plus fascinante de
ce petit monde. En effet, Corso est l'un des premiers hauts gradés
du Pentagone a s'être exprimé aussi complètement
et en plus dans un livre sur le problème des soucoupes
volantes, des extraterrestres et des programmes secrets d'armements
de l'armée américaine.
Dans son livre "The Day After Roswell",
Corso qui occupa jusqu'à sa retraite une fonction dirigeante
au sein d'un département "recherche et développement"
se consacrant au "reversed technology" du Pentagone
a révélé au grand public que l'incident
de Roswell, à savoir le crash et la récupération
d'un vaisseau extraterrestre et de ses occupants, était
un fait historique, réel et fondamental dans l'histoire
et les progrès scientifiques réalisés par
les militaire. Sans ce crash, l'humanité n'aurait pas
connu aussi tôt la fibre optique, le laser, le transistor,
la micropuce, les appareils de vision nocturne, la furtivité
etc...
Preuve en est selon Corso que la plupart
de ce progrès sont soudains, sans étapes intermédiaires,
sans échecs, bref sans histoires longues et chaotiques
comme le possèdent les innovations technologiques habituelles.
Il ny'a qu'à vérifier, affirme-t'il encore (ce
qu'un ingénieur informaticien américain a fait
au sujet de l'histoire du développement du microchips
et ses conclusions sont édifiantes et confortent la thèse
de Corso. Mais c'est une autre histoire...dont nous reparlerons).
Ci-joint, l'une premières interviews que Corso accorda
à la journaliste Paola Harris en juillet 1997, une interview
mythique à maints égards. D'abord parce que ce
bref entretien révèle certains faits que Corso
ne mentionna jamais dans son livre. Il s'agit donc de propos
totalement indédits. Ensuite, comme c'est souvent le cas
dans cette rubrique de "ces hommes qui en savaient trop",
le protagonniste de cette entrevue est décédé...
de mort, parait-il naturelle. Le Colonel Corso est mort le 16
juillet 1998. Corso nous révèle des aspects tout
à fait inattendus de l'affaire Roswell.
Karma One
Harris: Revenons-en à l'accident
de Roswell. Que s'est-il passé au sujet de ce portail
à propos duquel vous affirmez qu'il se trouvait dans cette
région? (je pense qu'il faisait référence
à des pilliers d'une sorte de porte dimensionnelle électromagnétique)
Corso: La nuit au cours de laquelle cet accident eut lieu, Brazel
dit qu'ily a eut un éclair de lumière. Wilber Smith,
un physicien canadien m'a affirmé certaines choses à
propos de ces pilliers électromagnétiques chargés
électriquement. Si un avion ou encore un navire naviguant
dans l'eau venaient à heurter ces portes, les liaisons
atomiques (ndtr ce qui tient la matière en semble en un
tout cohérent) se séparent. Et lorsque ces pilliers
électromagnétiques bougent et que quelque chose
les heurtent, cela crée des boules de feu, des arcs électriques.
Les portes sont invisibles et donc, si les liaisons atomiques
et électriques (entre les atomes) se rompent, même
un être humain peut alors disparaître.
A l'occasion de cette nuit particulière, il étaient
trois, il y avait trois vaisseaux et alors il y a eu toute cette
tempête, cette agitation. Ils ont du passer à travers
les portes et les heurter. Ils se sont manifestés successivement,
l'un après l'autre dans l'intervale d'à peine une
seconde. Il n'y avait plus de séquence temporelle, et
l'un des vaisseaux est en fait devenu double, deux vaisseaux
et s'est manifesté, est arrivé 10 ans plus tard!
Je l'ai vu de mes yeux. J'y étais.
Harris: Dix ans plus tard?
Corso; j'ai vu tout cela juste là dans le désert
juste à côté de Trinity Site. J'ai posé
ma main là dessus. Ceette chose s'est volatilisée
puis est revenue. Ma trajectoire... enfin, mon radar a tout identifié,
tout suivi.
Harris: Vous avez vu le vaisseau? Comment avez-vous su qu'il
fallait vous rendre là bas?
Corso: J'ai d'abord survolé l'endroit en avion. Ensuite,
j'avais emporté un véhicule puissant du type Command
Car avec moi. J'ai traversé le désert dans le Command
Car par moi-même. Je ne me suis pas approché tout
à côté. J'avais un petit peu peur. Donc,
j'ai pris des morceaux de cactus, je les ai lancé dessus
et ils s'y sont écrasés. C'était solide.
Il faisait 110° Farhenheit en plein soleil. J'ai posé
ma main dessus (ndtr: sur le vaisseau). Et c'était aussi
froid que de la glace. Juste là, en plein désert
à côté de Trinity Site!
Harris: Etiez-vous seul? Est-ce que quelqu'un d'autre a vu ce
que vous avez vu. Etait-ce l'intuition qui vous avait poussé
à vous rendre sur les lieux?
Corso: J'étais seul mais lorsque j'ai tout raconté
à "mes" scientifiques allemands et puis à
Wilber Smith, il m'a dit: "vous avez fait l'expérience
de l'un des évéments les plus véritablement
importants qui s'est un jour déroulé dans notre
monde". J'ai rencontré l'une de ces choses, l'un
de ces êtres dans une mine d'or. (j'avais dégaîné
mon arme mais je l'ai rengainée). Est-ce que vous connaissez
le message qu'il m'a laissé? Je vais vous l'écrire
ici pour vous: "un nouveau monde si vous en êtes capable!"
Il m'a demandé de grimper à bord du vaisseau.
Je lui ai répondu: "je sais ce que vous faîtes
subir à mon peuple" (ndtr: Corso fait sans doute
référence aux expériences scientifiques
douloureuses dont parlent les abductés). Donc, très
humainement, je lui ai demandé: "qu'avez-vous à
m'offrir". Il m'a répondu: "un monde nouveau
si vous pouvez le supporter". Il m'a alors demander que
j'éteigne mon radar pour une dizaine de minutes, 10 minutes
peuvent être une éternité. Comment diable
cette chose, cette entitée savait que j'étais le
seul qui avait la compétence pour donner cet ordre (ndtr:
d'éteindre le radar)?
Harris Est-ce que c'était un gris? (ndtr: sorte d'extraterrestre)
Corso: Il portait un casque transparent avec des bandes argentées
avec une sorte de pierre précieuse rouge, de rubis ou
encore un détecteur en son milieu. Est-ce que vous savez
ce que cela veut dire? Un monde nouveau si vous pouvez le supporter?
Harris: Non. Mais est-ce que vous en avez parler dans votre livre?
Coros:Non
Harris: Colonel, vous vous comportez comme si tout cela était
normal. Vous n'aviez pas du tout peur?
Corso: J'étais en situation de combat. Si vous ne vous
comportez pas normalement en situation de combat, vous êtes
dans le pétrin. Ou encore, vous perdez la tête.
Vous savez ce que je lui ai d'abord dit lorsque j'ai sorti mon
arme? "Ami ou ennemi?". Devinez quelle a été
la réponse?
Harris: Ni l'un ni l'autre.
Corso: Tout juste. Ni ami, ni ennemi. A monde nouveau si vous
en êtes capable. J'ai demandé à Jacques Vallée
ce que cela pouvait dire. Bon, donc je revenais de ces souterrains,
j'avais éloigné mon arme et mon couteau et je retournais
vers la Jeep. J'ai pris la radio, j'ai contacté le quartier
général et j'ai donné l'ordre suivant: "Capitaine
Williams, c'est ici le Colonel qui vous parle. Veuillez éteindre
le radar pour 10 minutes. Je répète, éteignez
le radar". Alors, je me suis retournée et la chose
se trouvait toujours à l'entrée de la mine d'or.
Que diable soit cette chose, elle se trouvait à l'entrée.
Je 'lai regardée et je l'ai saluée.
Harris: Et il vous a laissé partir? Parfois, ils essaient
de prendre le contrôle de vos pensées.
Corso: Oui mais je suis capable de fermer mon esprit à
toute influence télépathique. J'ai appris cela
au cours de la guerre ou encore, comment faire pour passer au
travers? Lorsque j'étais sur le chemin de retour vers
le QG, le sergent a dit: "Colonel, vous feriez bien de vérifier
vos instruments dans le secteur E.... Sur l'écran, il
y a quelque chose qui doit voler à trois ou 4000 miles
par heure (4500 à 6000km/h). Alors que j'étais
encore en vol, j'ai vu une grosse lumière verte qui clignotait
et j'ai entendu dans mon esprit : "je vous salue en retour".
Etait-ce le fruit de mon imagination ou bien cette chose pensait
également en soldat? Ou elle se moquait de moi?
Postcript de l'auteur: J'ai toujours
été très proptectrice à l'égard
du Colonel. Car même si il m'a accordé cet entretien
à Roswell en 1997, j'ai décidé de ne pas
le publier de peur du ridicule. Cependant, le Colonel s'est rendu
à deux reprises en Italie afin de s'exprimer au cours
de conférence. Il a raconté alors cette histoire
à de nombreuses personnes. C'était important pour
lui de la raconter à cause du contenu du message qui y
est délivré.
Traduit par Karma one
website:
http://utenti.tripod.it/paola-harris/
pour le texte complet de cette interview. |