via le Patriot Act Voici ci-dessous l'article qui place George W. Bush (dit Caligula n°2) comme étant DEFINITIVEMENT un dictateur. Car en effet, lorsqu'on évince, espionne,surveille et que l'on fait finalement mettre derrière les barreaux les citoyens de votre pays qui vous critiquent et qui ne sont pas du même avis que vous, le SEUL mot qui peut vous définir est bien le mot "DICTATEUR" ! Vous remarquerez ci-dessous que les psychiatres américains considèrent le comportement "perturbateur" des protestataires comme devant être incorporé aux soins prodigués aux patients (donc, une maladie, quoi !)... SURTOUT, N'OUBLIONS PAS QUE NOS PAYS SUIVENT EXACTEMENT LE MEME MOUVEMENT QUE LES USA (cf. les horribles lois liberticides qui ont été décrétées un peu partout en Europe dernièrement, y compris dans nos pays ! ). L'article que j'ai traduit pour vous ci-dessous en français... Bonne lecture, Vic. Source: http://www.rense.com/general69/dissent.htm Bush va criminaliser les protestataires via le Patriot Act Par le Patriot Daily News Clearinghouse Le 13/01/2021 Bush veut créer le nouveau criminel à partir du "perturbateur" qui peut être emprisonné pour le crime "de comportement perturbatif." Une "disposition peu remarquée" dans la dernière version du Patriot Act autorisera les services secrets d'arrêter les protestataires pour le nouveau crime "de perturbation d'événements importants comprenant les conventions politiques et les Jeux Olympiques." Les services secrets seraient également autorisés à arrêter les personnes pour "avoir ouvert une brèche dans la sécurité" et pour "être entré dans un secteur restreint" qui correspond à l'endroit "où le président ou toute autre personne protégée par les services secrets se trouvent ou seront en train de visiter temporairement." En bref, soyez sûr de rester dans ces zones de libre discours entourées de barbelés et clôturées. Journal du Patriot Daily News Clearinghouse : Qui est le "perturbateur"? L'histoire de l'équipe de Bush nous indique que le perturbateur est un citoyen américain ayant l'audace d'assister aux événements de Bush en portant un t-shirt qui critique Bush; ou un membre de groupes de droits civiques, environnementaux, pacifistes ou de contre-recrutement qui contestent les politiques de Bush; ou une personne qui envahit la bulle de Bush en critiquant ses politiques. Un perturbateur est également une personne qui interfère dans l'activité de quelqu'un d'autre, comme par exemple interrompre Bush quand il parle à une conférence de presse ou pendant une interview. Quels sont les paramètres du crime "de comportement perturbateur" (disruptif) ? Le dictionnaire définit "disruptif" comme "caractérisé par l'agitation ou le désordre ou l'insubordination." L'American Medical Association (association médicale américaine) définit le comportement perturbateur comme "un style d'interaction" avec les gens qui est incorporé aux soins à prodiguer aux patients, et peut inclure un comportement tel que "un langage ordurier; des commentaires grossiers, bruyants ou offensants; et l'intimidation des patients et des membres de la famille." Quelles sont les règles de l'enclenchement pour les "perturbateurs"? Une certaine histoire de l'équipe Bush concernant leur traitement (réservé aux) perturbateurs fournissent quelques indices sur la façon dont cette administration traitera les perturbateurs à l'avenir. (1) Les gens perçus comme des perturbateurs peuvent être éjectés des événements de façon préventive avant qu'ils s'engagent dans toute conduite perturbatrice. Au commencement de cette guerre contre les perturbateurs, des Américains furent éjectés d'événements financés par le contribuable où Bush parlait. D'abord, ces événements étaient des rassemblements de campagne pendant l'élection, et ensuite la politique d'expulsion des trublions fut étendue afin d'inclure les événements dans le style de la campagne post-électorale de Bush concernant des questions de politique publique dans son emploi du temps , telles qu'informer le public sur la réforme des assurances-maladies et des choses semblables. Si les gens se rendaient à l'événement dans une voiture comportant un autocollant sur le pare-choc qui critiquait les politiques de Bush ou portaient des t-shirts démontrant une critique semblable, ils étaient des perturbateurs qui pouvaient être éjectés de l'événement du contribuable avant même qu'ils se soient engagés dans un comportement perturbateur. Le secrétaire de presse de la Maison Blanche McClellan a défendu de telles évictions comme étant des frappes préventives appropriées contre des personnes qui peuvent perturber un événement: "Si nous pensons que les gens viennent à l'événement pour le perturber, évidemment, on leur demandera de partir." (2) L'équipe de Bush peut vérifier sa vaste batterie de banques de données pour (repérer et ) "cueillir" ces personnes qu'elle considère comme ayant un potentiel de perturbateur et ensuite placer ces personnes sur une liste noire par rapport aux événements. La Maison Blanche possède même une liste de personnes qu'elle considère comme pouvant être "perturbatrice" lors d'un événement et met ensuite ces personnes sur une liste noire (les empêchant) d'assister à des événements financés par le contribuable et où Bush parle. On dirait bien que Bush a non seulement le pouvoir de désigner unilatéralement des personnes en tant que "combattants ennemis" dans la "guerre globale contre le terrorisme," mais aussi de désigner unilatéralement des Américains comme étant des "perturbateurs" dans la guerre domestique contre le discours libre. (3) L'utilisation de la surveillance, de l'écoute et des actions juridiques contre les perturbateurs. La guerre de Bush contre les perturbateurs fut ensuite transformée en surveillance, en écoutes, et en actions juridiques contre les organisations de perturbateurs. Le FBI mène une surveillance politique et obtient de l'intelligence (des dossiers) classés dans sa base de données sur les critiques de l'administration Bush, tels que les groupes de droits civiques (par exemple, l'ACLU), les groupes pacifistes de protestation (par exemple, le groupe United for Peace and Justice - "Unis pour la paix et la justice") et les groupes environnementaux (par exemple, Greenpeace). Cette surveillance de citoyens américains exerçant leurs droits constitutionnels a été effectuée sous le prétexte des activités de contreterrorisme entourant les protestations de la guerre en Irak et de la Republican National Convention (convention nationale républicaine). Le FBI soutient qu'il n'a pas l'intention de surveiller les activités politiques et que son rassemblement de surveillance et d'intelligence "est prévu pour empêcher l'activité perturbatrice et criminelle lors des manifestations, pas pour réprimer la liberté d'expression." La surveillance des agitateurs potentiels s'est ensuite changée en actions judiciaires en tant que frappe préventive contre le comportement perturbateur potentiel lors d'événements publics. En plus de l'écoute et de la surveillance des groupes juridiques et des activités légales, le FBI a publié des citations pour que les membres apparaissent devant les grands jurys, citations basées sur l'"intention" du FBI visant à empêcher "des protestations perturbatrices des conventions." Le département (= ministère) de la Justice a ouvert une enquête criminelle et a cité des registres de messages provenant d'Internet et postés par des gens qui critiquaient Bush. Et le département de la Justice a même inculpé Greenpeace pour une protestation qui était si boîteuse que le juge fédéral a rejeté l'affaire. Donc à présent, le Patriote Act, qui a été discuté avant son établissement comme une mesure visant à combattre les terroristes étrangers, est modifié afin de rendre bien clair le fait qu'il s'applique également aux citoyens américains qui ont l'audace de perturber le Président Bush là où que sa bulle puisse voyager. Si cette disposition est transformée en loi, alors Bush aura une loi sur laquelle il pourra se baser pour augmenter les catégories de personnes qui constituent des perturbateurs et les types d'activités qui constituent des activités perturbatrices. Et pour les jeter ensuite toutes en prison. Patriot Daily News Clearinghouse |