Nanotechnologie dans la nourriture, cosmétiques et autres produits de consommation.

Des centaines d’entreprises conduisent des travaux de recherche et développement (R&D) sur l’utilisation des nanotechnologies afin de manipuler, transformer, emballer et distribuer des aliments jusque dans nos paniers à provisions et nos assiettes. Parmi elles, se trouvent des géants de l’alimentaire comme de minuscules entreprises en démarrage spécialisées dans les nanotechnologies.

[Bien entendu, les grosses crapules des multinationales sont de la partie… mais de « petites frappes » souhaitent aussi s’en mêler. On n’est pas sortis de l’auberge…]

Selon Jozef Kokini, directeur du Center for Advanced Food Technology de l’Université Rutgers (New Jersey, Etats-Unis), « chaque grande entreprise alimentaire a un programme de nanotechnologie ou compte en développer un ».

[NOTEZ BIEN CETTE PHRASE, QUI EST D’UNE IMPORTANCE ABSOLUE ! Bientôt, vous ne pourrez plus faire confiance à qui que ce soit en ce qui concerne ce que vous avalez ! ]

Un rapport publié en 2004 par Helmut Kaiser Consultancy, « Nanotechnology in Food and Food Processing Industry Worldwide », prédit que le marché des nanoaliments fera un bond spectaculaire, passant des 2,6 milliards de dollars américains actuels à 7 milliards de dollars en 2006 et à 20,4 milliards de dollars en 2010.

[Comme d’habitude, on nous assène des chiffres mirifiques qui semblent à eux seuls « justifier » le développement d’un secteur aussi terriblement dangereux et qui attiseront l’avidité sans fin des entreprises pourries.]

En plus d’une poignée de « nanoaliments » déjà présents sur le marché, plus de cent trente-cinq applications nanotechnologiques sont en cours de développement principalement dans les industries alimentaires et les cosmétiques.

[Attention à ce que nous bouffons…Mesdames, serez-vous toujours aussi empressées de vous étendre ces crèmes de beauté dont les composantes restent souvent douteuses – animaux en voie d’extinction – voire à présent carrément indéfinies – nanoparticules ? ]

Selon Helmut Kaiser, plus de deux cents entreprises dans le monde ont lancé des travaux de R&D sur l’utilisation des nanotechnologies dans l’alimentation. Parmi les vingt plus actives, on compte cinq des dix plus gros groupes de restauration du monde, la plus grande firme agroalimentaire d’Australie et le plus gros producteur japonais de poissons et fruits de mer et d’aliments transformés.

[Une bonne raison de plus d’éviter A TOUT PRIX les fast food et les « gros » fournisseurs]

Malgré l’enthousiasme évident pour les nanosciences et leurs applications en matière de manipulation et de transformation des aliments, l’industrie agro-alimentaire se montre généralement conservatrice et prudente sur le sujet.

[Ben voyons...]

La plupart de ses représentants interrogés par l’ETC Group ont refusé de préciser le degré de financement et les partenaires impliqués.

[Si l’on vous CACHE des choses et que l’on REFUSE de déclarer quoi que ce soit, c’est bien entendu pour que l’on aille pas fouiner trop loin dans le secteur, car il y a des choses que les gens ne DOIVENT pas savoir, et des secrets inavouables, comme le fait de mettre des choses DANGEREUSES dans les produits ! ]

Nous avons parlé à des scientifiques travaillant chez des géants tels que Kraft ou Nestlé ainsi qu’à des chercheurs et des représentants de petites entreprises qui se lancent dans les nanotechnologies.

[Vous pouvez déjà rayer d’office Kraft et Nestlé de la liste de vos produits d’alimentation.]

DES TRAVAUX DE R&D COÛTEUX MAIS DISCRETS

Après avoir essuyé le rejet massif des aliments génétiquement modifiés, l’industrie alimentaire risque de se montrer particulièrement réticente à avouer qu’elle poursuit des travaux de R&D sur les produits alimentaires « atomiquement modifiés ».

[Entre nous, le « refus massif » des OGM est une fable, PUISQU’ON A IMPOSE HONTEUSEMENT l’utilisation des OGM dans la nourriture – et le tout SANS REVOLTE AUCUNE DU PEUPLE ! De « refus massif » il ne peut donc être question… Et on se rappellera que les aliments génétiquement modifiés sont DANGEREUX pour la santé des humains comme pour la santé des animaux. Si l’on prend tant de précautions et cache tant de choses au sujet de la nanobouffe, c’est sans doute que l’on IGNORE ou que l’on REFUSE de prendre en considération les dangers que celle-ci entraîne, bien évidemment. Du moment que l’argent rentre dans les caisses à une vitesse de dingue, le reste importe peu, y compris la santé des gens ! ABOMINABLE !!! ]

« L’industrie alimentaire est plus traditionnelle que d’autres secteurs comme l’informatique, où les nanotechnologies peuvent s’appliquer, explique Gustavo Larsen, professeur de génie chimique et ancien consultant chez Kraft. Je pense qu’il y a de bonnes opportunités et qu’elles sont souvent plus réalisables (dans le secteur alimentaire). On peut fabriquer des nanoparticules et les assimiler dans les aliments, on n’est pas obligé de les assembler d’abord. »

[Sous-entendu : la fabrication de nanoparticules que l’on inclut dans la nourriture est un peu plus simple, donc plus AVANCEE, que ce que l’on croyait…]

Quand on lui demande quels seront, à son avis, les premiers produits issus des travaux de R&D sur les nanotechnologies dans l’alimentation, Larsen répond que les consommateurs ont des chances de voir des nano-emballages avant des nano-aliments. « Je pense qu’il vaut mieux parier sur les emballages », conclut Larsen.

[On voit que ce type prend un maximum de précautions et MINIMISE systématiquement ce qui se passe au niveau alimentaire… C’est vraiment TRES louche ! ]

DES NANOMACHINES CONTRE LA FAIM…

« La synthèse des aliments pourra se faire directement, sans avoir à cultiver des champs ou élever du bétail ».

Certains affirment qu’à l’avenir, les manipulations moléculaires nous permettront de « cultiver » des quantités illimitées d’aliments sans sol, graine, ferme ni agriculteurs, éradiquant du même coup la faim dans le monde.

[ET VOILA ! Comme pour les OGM ou les puces RFID, on vient nous présenter les choses de façon propagandiste et nous chanter la berceuse - qui sonne faux – de la FACILITE (paresse), de L’HUMANISME et des « miracles » de la MODERNITE ! ]

Voyez plutôt :

• « Des nanomachines pourraient créer des quantités illimitées d’aliments par synthèse au niveau atomique, ce qui éradiquerait la faim », annonce Carmen I. Moraru, professeur de science alimentaire à l’université Cornell (Etats-Unis).
[A noter : les USA avaient DEJA utilisé cet argument faux ; abominable et fielleux pour les OGM…. Vous savez donc que penser de ce genre de déclaration honteuse. Dans les chiottes, et vite ! ]

• « La biosynthèse moléculaire et la reconstitution robotique permettront sans doute un remplacement rapide de la production, nous évitant ainsi d’être tributaires de systèmes centralisés pour cultiver et distribuer nos aliments. Au cours des premières étapes primitives de l’assemblage moléculaire, nous construirions des serres clés en main, radicalement différentes des serres actuelles, qui permettraient à des millions de gens qui ne connaissent rien à l’agriculture de devenir producteurs… Durant l’étape suivante de la fabrication moléculaire, la synthèse des aliments pourrait se faire directement, sans avoir à cultiver des champs ou à élever du bétail », explique le journaliste Douglas Mulhall.
[Ici, on nous endort avec une promesse de facilité – y compris pour les gens qui n’y connaissent rien en agriculture – et aussi une promesse d’emploi… On nous a tenu déjà ce genre de MENSONGE des centaines de fois… Serez-vous encore suffisamment STUPIDES que pour tomber dans le piège ? ]

• « Pourquoi l’être humain n’est-il pas capable d’imiter la méthodologie de la nature ? Au lieu d’aller récolter glucides et protéines dans les céréales et le bétail, des nanomachines (nanobots) pourraient assembler le steak ou la farine désirée à partir des atomes de carbone, d’hydrogène et d’oxygène présents dans l’air sous forme d’eau et de dioxyde de carbone. Les nanobots présents dans les aliments pourraient circuler dans le sang, en nous débarrassant de nos dépôts adipeux et en tuant les pathogènes », précise Dr Marvin J. Rudolph, directeur de DuPont Food Industry Solutions.
[A présent, on tente de nous faire croire carrément à une nouvelle forme de magie – ou de sorcellerie ? - ET SURTOUT, QUI VOUS DIT QUE CETTE TECHNOLOGIE NE SERA PAS UTILISEE AFIN DE CREER DES ARMES MOLECULAIRES QUI TUERONT VOS CELLULES SAINES AU LIEU DES CELLULES MALADES ET DES VIRUS ET MICROBES (agents « pathogènes ») ? Seuls les gros naïfs à l’esprit empesé croiront aux déclarations du Dr Rudolph… ]

Produire des aliments par manipulation moléculaire est l’objectif le plus ambitieux des nanotechnologies et celui qui a le moins de chances de se concrétiser dans l’immédiat. Pour ceux qui ont suivi le débat sur les biotechnologies au cours des vingt dernières années, les affirmations enthousiastes selon lesquelles une nouvelle technologie nourrira les affamés est un refrain creux et rebattu. Les nano-optimistes voient l’avenir à travers les lunettes roses (et vertes) de la biotechnologie : d’après eux, désormais, ce sont les nanotechnologies qui éradiqueront la faim en augmentant la production agricole, en améliorant la teneur nutritionnelle des aliments et en éliminant le risque d’allergènes alimentaires.

[Et bien, vous voyez ? Même les auteurs de l’article reconnaissent que tous ces arguments sont des pièges à con. ]

DES ALIMENTS CREES EN LABORATOIRE ?

L’ETC Group conclut qu’à leur stade actuel, « les nanotechnologies dans l’alimentation » suivent la même voie que d’autres travaux de R&D sur l’échelle nanométrique, dont les toutes premières applications se trouvent dans le domaine des capteurs et des matériaux « intelligents ». Des applications plus révolutionnaires, telles que la modification atomique des aliments, se feront peut-être davantage attendre. Mais il faut tout de même savoir que quelques scientifiques ambitieux essaient de créer des aliments en laboratoire.

[Bien entendu, on tentera de vous faire croire, POUR VOUS RASSURER, que cette révolution est encore « lointaine » (quelques décennies), alors que pourtant, on y travaille DEJA de façon CONCRETE (et secrète) ! ]

Des ingénieurs tissulaires du Touro College (New York) et de la faculté de médecine de Caroline du Sud (Etats-Unis) essaient de cultiver de la viande en « faisant mariner » des cellules satellites (muscle) de poisson dans des milieux nutritifs liquides afin d’inciter les cellules à se diviser et à de multiplier toutes seules. Le premier objectif est de nourrir les astronautes envoyés dans l’espace.

[Une « petite » chose avant de refermer cet article : AVEZ-VOUS LU QUELQUE PART QUE L’ON ETUDIAIT L’IMPACT DE CETTE BOUFFE NANOTECHNOLOGIQUE SUR LA SANTE OU QUE L’ON EN CONNAISSAIT LES CONSEQUENCES ? NON, PAS DU TOUT !!!
ET POURTANT, ON COMMERCIALISE DEJA CERTAINES APPLICATIONS DANS VOTRE NOURRITURE !
CONTINUEREZ-VOUS DONC D’AVALER COMME DES VEAUX TOUT CE QUE L’ON VOUS DONNE SANS JAMAIS POSER DE QUESTION, SANS JAMAIS REFUSER QUOI QUE CE SOIT?
Le choix est VOTRE, mais je ne peux que vous conseiller une REACTION VIVE, et VITE !

Sinon, il vous arrivera sans doute ce qu’il arrive au bétail : nourri sans poser de questions, mangeant des horreurs contre nature (farines animales) qui lui donnent des maladies, pucé et surveillé de la naissance à la mort et finalement éliminé, TUE à l’abattoir ! A bon entendeur…]

En surfant sur un forum, j'ai découvert cet extrait QUI NOUS PROUVE DE FACON DEFINITIVE QUE LE CONTROLE MENTAL EST UNE REALITE, ET QUE CERTAINES ONDES PRECISES PERMETTENT DE CONTROLER LE COMPORTEMENT !

C'est ABSOLUMENT VRAI pour les puces sous-cutanées ou pour les puces neurales et cérébrales, mais c'est aussi vrai de façon UNIVERSELLE, et notamment pour... les GSM (téléphones cellulaires portables), ces modificateurs de comportement qui jouent en permanence avec les ondes cérébrales de leurs possesseurs !

Il est en tout cas de PLUS EN PLUS CLAIR ET CERTAIN qu'il y a une GUERRE SECRETE POUR CONTROLER LE COMPORTEMENT DES GENS.

Et si les GSM en sont le fer de lance (dû au nombre ETOURDISSANT d'utilisateurs - 1 humain sur 6 ! ), la MICRO-PUCE SOUS-CUTANEE POUR HUMAINS AINSI QUE LES PUCES NEURALES ET CEREBRALES FONT PARTIE DES EXEMPLES LES PLUS EXAGERES ET CRAPULEUX, mais aussi des technologies LES PLUS DANGEREUSES DE CETTE GUERRE POUR LE CONTROLE TOTAL ET LA SURVEILLANCE PERMANENTE DES INDIVIDUS !

Voici donc l'extrait que j'ai trouvé sur la page http://www.onnouscachetout.com/forum/index.php?showtopic=7351 dans un extrait d'un article repris du magazine Nexus n° 30 de janvier-février 2004.
Vic.

Source : magazine Nexus n° 30 de janvier-février 2004, extrait de l'article "Téléphones portables : pollution électromagnétique ou guerre secrète ?".

Modification du comportement

On sait depuis longtemps que la modification de l'EEG (électroencéphalogramme) altère le comportement. Il y a près de quarante ans que le neurophysiologiste espagnol José M. R. Delgado a découvert comment modifier significativement le comportement, voire la personnalité de sujets humains, à l'aide de stimulations électriques. Par exemple, des jeunes filles convenables et réservées étaient rendues sexuellement agressives par la stimulation électrique de certaines zones cérébrales.
Le chercheur a identifié les zones précises dans lesquelles une stimulation électrique produit la peur, l'anxiété, le plaisir, l'euphorie ou la rage chez des sujets humains. Au cours d'expériences réalisées avec des patients psychiatriques, ces derniers rapportaient que leur modification de comportement ne provenait pas de leur propre volonté mais de leur incapacité à contrer la puissance du signal électrique.
Delgado a également effectué des recherches sur les animaux. Sa démonstration la plus célèbre, la vidéo d'un taureau arrêté en pleine charge par un signal radio émis à distance vers des récepteurs implantés dans la tête de l'animal, a fait le tour du monde. Mais le livre dans lequel il relate ses expériences, Physical Control of the mind : Toward a psychocivilized society (1969), n'a jamais été publié en français [11].

Autre découverte majeure des années 60, l'invention du Neurophone. Cet appareil capable de transformer des sons (mots et musique) en impulsions électriques, permet de les faire entendre en courtcircuitant l'appareil auditif. Après six ans de tentatives infructueuses, son inventeur, l'américain Patrick Flanagan, a réussi à obtenir un brevet après avoir fait entendre un employé du service des brevets atteint de surdité. Cette découverte a été classée 'confidentiel défense' par l'armée américaine après qu'il l'ait perfectionnée en développant un système sonore holographique en 3-D dans lequel les 'sons' pouvaient provenir de n'importe où dans l'espace, alors que la première version nécessitait un contact physique. Le trop génial inventeur s'est alors vu interdire de continuer ses travaux et même d'en parler pendant quatre années consécutives [12].

Comme vous allez pouvoir le constater, on en est déjà BIEN PLUS LOIN que ce que l'on veut bien vous faire croire au niveau de la nanotechnologie, et notamment en ce qui concerne la traçabilité !

Ce genre de traçabilité nanotechnologique possède cet inconvénient MAJEUR : il est INVISIBLE A L'OEIL NU (taille MOLECULAIRE), donc peut être effectué A L'INSU de la personne, et donc il est pratiquement non repérable !

Autre problème important : la traçabilité par nanotechnologie s'effectue non plus sur mais A L'INTERIEUR DU PRODUIT !

Je vous laisse à présent lire l'article ci-dessous, qui parle des tags RFID et des NANOCODES-BARRES...

Bonne lecture,
Vic.

Source : Magazine « Nexus » de novembre-décembre 2005, p. 29-30

NANOTECHNOLOGIE : ETIQUETAGE ET TRACABILITE

L’identification par radiofréquence et les nanocodes-barres constituent les principaux systèmes d’étiquetage nanométrique. Point commun : ils se placent à l’intérieur du produit, et non plus seulement sur l’emballage et sont donc susceptibles de transmettre des informations sur le consommateur, bien après l’achat…

Une étiquette d’identification par radiofréquence (IDRF) [ou RFID en version anglaise, pour les connaisseurs] est une petite puce sans fil avec circuit radio et code d’identification intégrés. Quels sont ses avantages par rapport aux étiquettes analysables, comme les codes-barres CUP (code universel des produits) [code UCP, en anglais] actuellement collés sur la plupart des biens de consommation ? Elle est suffisamment petite pour être intégrée dans le produit lui-même, pas seulement sur son emballage ; elle peut contenir beaucoup plus d’informations, peut être analysée à distance (et à travers des matériaux tels que des boîtes ou autres conditionnements) et l’on peut analyser de nombreuses étiquettes en même temps.

Les étiquettes IDRF, fixées à l’oreille de l’animal ou implantées dans son corps, sont déjà utilisées pour suivre la trace du bétail. La puce tout entière peut atteindre la taille d’un grain de poussière, plus proche de l’échelle microscopique que de l’échelle nanométrique, même si elle contient des nanocomposants. Ceux qui développent cette technologie rêvent d’un monde où ils pourraient « identifier automatiquement n’importe quel objet, n’importe où ».

Les étiquettes IDRF pourraient être utilisées sur les emballages alimentaires pour effectuer des tâches relativement simples, comme permettre aux caissiers de supermarché de compter tous les achats d’un client à la fois ou alerter les consommateurs si les produits ont atteint leur date de péremption. Elles sont controversées parce qu’elles peuvent même transmettre des informations une fois qu’un produit a quitté le supermarché.

Les défenseurs de la vie privée craignent que les spécialistes en marketing aient un accès encore plus vaste aux données sur le comportement du consommateur. Ils souhaitent que les étiquettes soient désactivées à la caisse (opération connue sous le nom d’ »élimination des étiquettes ») afin d’être sûrs que les sonnées personnelles ne pourront pas être recueillies et conservées. Wal-Mart aux Etats-Unis et Tesco au Royaume-Uni ont déjà testé l’étiquetage IDRF sur certains produits dans certains magasins.

LES NANOCODES-BARRES

Ce système d’étiquetage ou de contrôle se rapproche davantage du code CUP, mais à l’échelle nanométrique. Un type de nanocode-barres, mis au point par Nanoplex Technologies, consiste en une nanoparticule faite de bandes métalliques sur lesquelles l’information est encodée grâce aux variations dans la disposition des bandes.

Nanoplex change la longueur et la largeur des particules ainsi que le nombre, la largeur et la composition de chaque bande pour créer des milliards de combinaisons. Jusqu’à présent, on a placé des nanocodes-barres dans de l’encre, du tissu, des vêtements, du papier, des explosifs ainsi que sur des bijoux. Ces codes peuvent être lus grâce à un lecteur optique portable ou à un microscope qui mesure les différences de réflectivité des bandes métalliques. L’argent et l’or réfléchissent la lumière différemment, par exemple, et ce sont les diagrammes de réflexion qui confèrent à chaque particule son code unique. En plus de l’or et de l’argent, Nanoplex fabrique des codes en platine, palladium, nickel et cobalt.

Nanoplex fabrique aussi des étiquettes « Senser » (Silicon Enhanced Nanoparticles for Surface Enhanced Raman Scattering, des nanoparticules de métal de 50 nanomètres qui présentent des codes uniques semblables aux nanocodes-barres. Les étiquettes « Senser » peuvent également être intégrées dans les emballages et lues par un lecteur jusqu’à un mètre de distance, permettant aux articles d’être enregistrés à une caisse comme les étiquettes IDRF ou de façon plus discrète.

L’étiquetage des emballages implique que les aliments pourront être contrôlés de la ferme à l’assiette, durant leur transformation, pendant le transport, dans les restaurants ou sur les rayons des supermarchés et, en fin de compte, même après avoir été achetés par le consommateur. Associés à des nanocapteurs, ces mêmes emballages pourront permettre de détecter des pathogènes, des variations de température, des fuites, etc.

L'article que je vous ai traduit en français ci-dessous vous prouve que la recherche bat son plein en ce qui concerne la création de vie synthétique, c'est-à-dire créée par l'humain.

On sait déjà qu'une recherche FORT PROCHE vise à créer des "âmes" ou des consciences synthétiques...

Bref, le temps des véritables Frankenstein est arrivé. Créer des vies, des consciences, des âmes : des prouesses scientifiques que l'on prétendra bien évidemment régler tous les problèmes de santé et de société. Mais la grande question qui reste est : DANS QUEL(S) BUT(S) REEL(S) SONT MENEES CES RECHERCHES ??? ET POUR QUI ?

L'article ci-dessous semble nous indiquer que l'on en est aux tout premiers balbutiements dans ces domaines... Personnellement, je crois que l'on en est déjà BIEN PLUS LOIN que ce qu'on veut bien nous révéler.

On remarquera que l'on nous parle d'applications COMMERCIALES (ce qui peut déjà nous faire froid dans le dos lorsqu'on sait ce à quoi mène la recherche du profit dans les applications scientifiques). Mais il ne faut jamais oublier que les mêmes recherches sont souvent menées incognito au niveau MILITAIRE LONGTEMPS AUPARAVANT. La nanotechnologie, curieusement, n'est pas citée dans l'article alors que des applications en sont prévues dans TOUS les domaines. Etrange, ne trouvez-vous pas ?

Je vous laisse imaginer d'ailleurs les types de dangers TITANESQUES que l'on courrait en laissant le résultat de telles expériences entre les mains d'industriels ou de militaires, surtout lorsque l'on sait que l'on court vers la modification de l'être humain, la création de nouveaux organismes pathogènes destructeurs, la surveillance permanente, le contrôle des populations et la suppression des droits et libertés...

Un domaine qu'il va falloir surveiller de près !

L'article, ci-dessous...
Vic.

Source: http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/
RTGAM.20051219.wxlife19/BNStory/specialScienceandHealth/

Créer la première forme de vie synthétique

Par CAROLYN ABRAHAM

Lundi, 19 décembre 2005 Posté à 2:49 AM EST

Globe and Mail Update

Le travail sur la première espèce créée par les humains est bien dans un complexe de recherches situé à Rockville, Md., et des scientifiques au Canada ont tranquillement entrepris des expériences pour aider à amener une telle créature à la vie.

Robert Holt, chef du séquençage pour le Genome Science Centre (centre de la science du génome) à l'université de Colombie Britannique, mène des efforts à son laboratoire de Vancouver afin de jouer un rôle majeur dans la production de la première forme de vie synthétique -- un microbe créé à partir de zéro.

Le projet est guidé par le scientifique américain Craig Venter, qui a gagné la célébrité dans son ancien travail en tant que directeur de Celera Genomics, laquelle a accompli une carte du génome humain possédée de façon privée en 2000.

Le Dr. Venter, 59 ans, a depuis lors décalé son centre d’attention depuis la détermination des séquences chimiques qui codent la vie vers une tentative de le concevoir et de la construire : "Nous allons de la lecture à l’écriture du code génétique," a-t-il dit lors d’une interview.

Ce travail est un exemple extrême d'un nouveau champ bourgeonnant en science connu sous le nom de biologie synthétique. Il se fonde sur les avancées en informatique qui permettent l'assemblage facile des particules chimiques, connues sous le nom de nucléotides, qui composent l'ADN.

Plusieurs groupes scientifiques essayent de créer des gènes qui n'existent pas dans la Nature, dans l’espoir de construire des microbes qui exécutent des tâches utiles, telles que produire des produits chimiques industriels, de l’énergie propre ou des médicaments. Le Dr. Venter et ses collègues repoussent la technologie jusqu’à ses limites en essayant d’assembler un génome entièrement synthétique.

"Nous avons ces codes génétiques que nous avons déterminés, donc une partie de la preuve [ qu’ils codent un organisme ] consiste à reproduire le chromosome et à voir s’il produit le même résultat," a-t-il dit.

Le gouvernement et les corps scientifiques aux Etats-Unis ont étudié des sauvegardes pour la nouvelle technologie, étant donné son potentiel de rapporter de nouveaux microbes pathogènes en tant qu’armes de bioterrorisme. Les spécialistes en éthique ont soulevé des inquiétudes concernant les humains qui sont en train de changer "la nature de la nature."

Mais les partisans sentent que les nombreux avantages de remodeler les micro-organismes pour faire de l'offre pour les humains sont de loin supérieurs aux risques.

L'équipe de Venter commence doucement, travaillant pour construire une version plus simple de la bactérie connues sous le nom de mycoplasma genitalium, un résidant commun de la région reproductrice humaine. Ils espèrent déterminer le nombre minimum de gènes requis pour insuffler la vie dans un organisme.

Le m. genitalium est une bactérie unicellulaire qui comporte juste un chromosome et 517 gènes. Mais l'équipe de Venter décortique la recette et croit que sa version pourra survivre avec seulement 250 à 400 gènes – qu’ils créent l’un après l’autre, un morceau chimique à la fois.

"J’ai grandi en le faisant avec des voitures et des horloges et des radios et des choses comme ça," a dit le Dr. Venter. "Vous les démontez pour les comprendre, et ensuite vous essayez et voyez si vous pouvez les assembler à nouveau."

Mais même si l'équipe peut assembler les 500.000 produits chimiques de l'ADN de la bestiole (approximativement 35.000 a été le record jusqu'ici), personne ne sait si l'organisme sera viable. Synthétiser une substance chimique suffira-t-il à faire naître la vie ?

"Personne ne l'a jamais faite auparavant, donc c’est absolument un obstacle principal," a dit le Dr. Venter.

Le Dr. Holt, un natif de Vancouver qui a travaillé aux Etats-Unis avec le Dr. Venter jusqu'en 2002, l’a décrit comme le problème « du poulet et de l'œuf ».

« Vous avez besoin d'un oeuf pour créer le poulet, mais vous avez besoin également du poulet pour fabriquer l'oeuf, » a dit le Dr. Holt.

« Donc, le problème profond est ce que vous faites de cet ADN une fois que vous l'obtenez ? Comment le transformez-vous en un véritable organisme? Vous avez besoin du génome pour coder et créer l'organisme.

"Mais de la façon dont la biologie fonctionne, vous avez besoin de l'organisme pour créer le génome."

Le Dr. Holt et son groupe de l’université de Colombie Britannique abordent ce problème précis.

Une option pour faire naître la vie dans un génome fabriqué en laboratoire, a-t-il expliqué, consiste à transplanter l'ADN synthétique dans la coquille d'un microbe existant. Mais à la différence d'une cellule humaine, le matériel génétique d’une bactérie n'est pas contenu de façon nette dans un noyau qui peut être enlevé et simplement remplacé par un autre.

"Leur ADN chromosomique flotte dans l'organisme tout entier," a dit le Dr. Holt.

Et donc, le groupe de Vancouver recherche l'utilisation de l'électricité à haute tension pour ouvrir basiquement via l’électricité une bactérie hôte et y infuser lentement avec de petits fragments d’ADN nouveau.

Aucune méthode n'existe pour insérer de grands fragments d'ADN. L'expérience de l’université de Colombie Britannique implique de décomposer l'ADN d’une bactérie de Haemophilus, une bestiole commune de la région respiratoire supérieure, en 19 morceaux séparés et de les insérer dans la coquille d'un E. coli, généralement trouvée dans l'intestin humain.

"C’est la stratégie, bien que nous ne sachions pas si cela fonctionnera," a dit le Dr. Holt.

"J’ai pensé que c'était un des problèmes les plus importants et un sur lequel nous devrions travailler ici."

Le problème, a dit le Dr. Venter, vaut la peine d’être résolu d'abord avec des bactéries.

Après avoir lancé une compagnie appelée Synthetic Genomics, le Dr. Venter croit que "le monde entier est ouvert" en termes d'applications commerciales pour pouvoir construire ou remodeler des micro-organismes pour des tâches spécifiques.

Il insiste sur le fait que le but principal de son projet pour construire la première forme de vie synthétique, cependant, est de comprendre l'essence de la vie, comment elle a évolué et les éléments essentiels qui la soutiennent.

"Ici, nous essayons de comprendre le génome humain avec quelque 24.000 gènes étranges et 100 trillions de cellules et nous ne savons pas comment 300 ou 400 gènes travaillent ensemble pour rapporter une simple cellule vivante," a-t-il dit.

"Ainsi, si nous avons un espoir de pouvoir comprendre notre propre génome, nous devons commencer par quelque chose que nous pouvons réellement déchirer, décomposer et reconstruire. Donc, nous commençons avec un moteur à quatre cylindres au lieu d'une navette spatiale."

Source : http://news.tf1.fr/news/economie/0,,3275234,00.html

Les agents chargés du contrôle des chômeurs pourront désormais obtenir des documents de l'administration fiscale, "en cas de présomption de fraude". Le secrétaire général de Force ouvrière considère que le décret a un côté "big brother" et est "stigmatisant" pour les chômeurs.

Créé le 26 décembre 2005
Mis à jour le 26 décembre 2005 à 22h15

Un décret permettant aux agents chargés du contrôle des chômeurs d'obtenir des documents de l'administration fiscale, "en cas de présomption de fraude", a été publié samedi au Journal Officiel. Daté du 22 décembre, ce décret permet à ces agents, "sur leur demande", de "se faire communiquer par les administrations fiscales, en cas de présomption de fraude, toutes données et documents nécessaires à l'accomplissement de leur mission".

L'article ajoute que les agents de contrôle ont également accès aux documents "détenus par les administrations sociales". L'article précise que les agents "vérifient les déclarations souscrites par les personnes inscrites sur la liste des demandeurs d'emploi". Avant cette modification, l'article R. 351-30 du code du travail ne permettait aux agents de n'obtenir que les "documents et informations nécessaires à l'accomplissement de leur mission" communiqués par l'Agence nationale pour l'emploi

"A quand le bracelet électronque ?"

"Personne ne soutient la fraude, c'est évident, mais sortir un décret facilitant le contrôle des chômeurs et surtout le croisement des fichiers, c'est inquiétant, il y a une forme de stigmatisation", a estimé lundi sur Europe 1 le secrétaire général de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly. "Quand on croise les fichiers, il y a toujours un côté big brother", a-t-il poursuivi, condamnant "une nouvelle modification du travail" prise sans concertation. "On laisse entendre, en prenant un décret spécifique, que ce sont les chômeurs qui sont responsables, on évacue le problème de fond qui est que, s'il y a des chômeurs, c'est qu'il n'y a pas de création d'emploi", a-t-il conclu.

"A quand le bracelet électronique pour surveiller le déplacement des chômeurs?", s'est insurgé le secrétaire général de la CGT-chômeurs, François Desanti. "Ne pas déclarer un salaire aux Assedic est "une fraude si on s'en tient à la définition du dictionnaire, pas si on considère ce que vivent certains chômeurs", a-t-il affirmé. "C'est souvent la situation qu'on leur impose qui les pousse à frauder", a-t-il assuré, évoquant par exemple le coût des loyers. "Pourquoi le flicage des chômeurs et pas des autres", demande-t-il.

"Peu menaçant"

Pour Rémi Jouan, secrétaire confédéral de la CFDT, le décret est "plus maladroit que menaçant" mais il reproche au gouvernement de toucher au code du travail sans avoir consulté les syndicats. Il est "maladroit par la période" et "parce que, pour quelque 5% de cas (de fraudeurs), on aurait préféré que le gouvernement s'occupe des 95% qui cherchent un emploi", dit-il. Il est "peu menaçant car il y aura peu de fonctionnaires qui iront au bout d'une logique comme celle-là".

D'après AFP

ROYAUME-UNI : SYSTEME BIG BROTHER DE REPERAGE DES VEHICULES ET DE CRIMINALISATION DE TOUT INDIVIDU

L’article ci-dessous est vraiment d’une importance ABSOLUE. Il nous décrit le projet infect, totalitaire et nazi de repérage et de pistage des véhicules, TOUS les véhicules, et à TOUT moment, via différents moyens. On y parle des caméras CCTV, des caméras ANPR et des puces incorporées dans les carrosseries des voitures.

ET ON NOUS SIGNALE AUSSI QUE CE SYSTEME, S’IL FONCTIONNE POUR LES VEHICULES, SERA UTILISE POUR… LE PISTAGE DES HUMAINS !!!

Le pistage généralisé est « justifié » sous des prétextes « sécuritaires » et de « protection » des individus, afin de leur donner un SENTIMENT (= une IMPRESSION) de « SECURITE » !!! Le tout, vous le noterez bien, est rendu possible grâce aux infâmes BASES DE DONNEES CENTRALISEES, dont le danger pour les droits et libertés devient de plus en plus évident.

Il devient TRES CLAIR en lisant cet article que ce sont NON SEULEMENT les criminels qui seront pourchassés et inquiétés, MAIS AUSSI TOUTE PERSONNE EN INFRACTION avec l’un ou l’autre point de la législation routière. On est donc en train de passer des criminels aux gens qui commettent des infractions ! On perçoit donc TRES BIEN la dérive qui est en train de se produire au Royaume-Uni : l’ennemi à combattre était au départ le véritable terroriste, puis on a étendu cette version aux grands criminels, puis au banditisme (cambriolages, vols), et enfin aux gens commettant des INFRACTIONS, voire aux gens « SUSPECTS ». QUI SERA LE SUIVANT ? N’IMPORTE QUEL CITOYEN, tout simplement !

ET L’ON NOUS SIGNALE DEJA QUE LE SYSTEME SERA UTILISE DE FACON PLUS « PROACTIVE » (= PREVENTIVE) !

Nul besoin d’être particulièrement intelligent pour comprendre que ces systèmes de surveillance « contre les criminels » vont se retourner en systèmes de surveillance GENERALISEE et que TOUT INDIVIDU sera considéré comme un SUSPECT, bref un CRIMINEL. Le pistage généralisé et A TOUT MOMENT des individus, la VIOLATION DE LA VIE PRIVEE et la SUPPRESSION DES DROITS ET DES LIBERTES seront appliqués AU NOM DE LA LUTTE CONTRE LA CRIMINALITE ET AU NOM DU « MAINTIEN DE L’ORDRE » ! Quel ordre ? Celui qui AURA ETE DECIDE PAR LES DIRIGEANTS, BIEN ENTENDU, c’est-à-dire celui du NOUVEL ORDRE MONDIAL !!!

Vous remarquerez particulièrement dans l’article ci-dessous que CERTAINES LOIS PERMETTENT DEJA le CONTROLE de TOUT VEHICULE, à N’IMPORTE QUEL MOMENT ! Et ces lois ont été votées dans le pays qui possède le plus vieux parlement démocratique d’Europe occidentale ! Une HONTE, une ABOMINATION !!! Et avec la POLICE et le MI5 (services secrets) qui seront en possession de tout ceci, autant dire que la Gestapo nouvelle est arrivée...

BIEN ENTENDU, cela se produit au Royaume-Uni, MAIS VOUS SAVEZ DEJA QUE DES PROJETS SEMBLABLES (surveillance des automobiles, boîtiers électroniques, caméras de surveillance du trafic, puces dans les carrosseries etc.) EST PREVU DANS DE NOMBREUX AUTRES PAYS, DONT NOS PAYS !
Vic.

Sources:
http://www.prisonplanet.com/articles/december2005/221205surveillanceuk.htm


SURVEILLANCE AU ROYAUME-UNI : POURQUOI CETTE REVOLUTION N’EST SEULEMENT QU’UN DEBUT

London Independent/Steve Connor|Le 22 décembre 2005

Le nouveau réseau national de surveillance visant à pister les voyages des automobiles, qui a pris plus de 25 ans à se développer, est seulement le commencement de projets visant à surveiller les mouvements de tous les citoyens britanniques. La branche du développement scientifique du ministère de l’Intérieur située dans le Hertfordshire travaille déjà sur des moyens de reconnaître automatiquement les visages humains par ordinateur, ce que beaucoup de gens percevraient en tant que l’introduction réelle de la perspective orwellienne d’une surveillance de rue, où chacun de nos mouvements est enregistré et stocké par des machines.

Bien que les problèmes de l'identification faciale par ordinateur soient bien plus formidables que pour les plaques minéralogiques de voiture, les experts croient que c'est seulement une question de temps avant que les machines puissent tirer (et identifier) de façon fiable un visage à partir d'une foule de personnes mobiles.

Si la police et les services de sécurité peuvent prouver qu'une opération de surveillance nationale basée sur l’enregistrement des mouvements des voitures peut protéger le public contre les criminels et les terroristes, il y aura une volonté politique forte de faire la même chose avec les caméras de rue conçues pour surveiller le flux du trafic humain.

Une caractéristique importante du centre national de surveillance pour les numéros de voiture est sa capacité à traquer les registres d’apparitions précédentes afin de construire une « image intelligente » des coordonnées précises d'un véhicule sur le réseau routier.

Cependant, le ministère de l’Intérieur et la police croient que la nature Big Brother de l'opération peut être justifiée sur base de la capacité prouvée de cette technologie à attraper les criminels. "Dans des termes simples, les criminels utilisent des véhicules. Si vous voulez commettre un crime, vous allez utiliser un véhicule, "a dit Frank Whiteley, l'agent de police en chef du Hertfordshire, qui mène le projet. "Il n’y a rien de secret à cela et nous ne voulons pas que cela soit secret, parce que nous voulons que les personnes se sentent plus en sécurité, qu’elles s’aperçoivent qu'elles sont protégées."

Un projet pilote de treize mois, développé entre 2003 et 2004, a démontré que les performances de la police se sont améliorées spectaculairement quand ils ont reçu les caméras d’accès automatiques à l'identification des plaques minéralogiques (automatic number plate recognition ou ANPR). Le projet Laser 2 a impliqué 23 forces de police utilisant des fourgons spécialement adaptés pour les caméras ANPR et reliés à une base de données de la police. Cela a mené à une augmentation quintuplée du taux d'arrestation pour les officiers de première ligne.

Mais ces unités mobiles constitueront seulement une proportion minuscule des nombreux milliers de caméras ANPR qui, d’ici l'année prochaine, alimenteront plus de 35 millions de « lectures » de plaque minéralogique par jour dans le nouveau centre national des données à Hendon, au nord de Londres, sur le même site que l'ordinateur national de la police.

M. Whiteley, Président du comité de coordination ANPR, a dit que l'intention était de passer par la suite de "quelques milliers" de caméras à "de nombreux milliers" de caméras.

Une caméra peut couvrir de nombreuses bandes d'autoroute. Seulement deux dispositifs ANPR, par exemple, couvrent les mouvements nord et sud pour les 27 bandes de la zone de péage du croisement de Dartford, sur la Tamise.

A partir de mars l'année prochaine, la plupart des autoroutes, les routes principales, les centres urbains et les avant-cours des station-service seront également couverts. Quelques caméras pourraient être camouflées pour des opérations secrètes, mais la majorité sera constituée de caméras ordinaires CCTV de trafic converties pour lire les plaques minéralogiques. "Ce que nous essayons de réaliser autant que faire se peut consiste à relier le réseau existant de caméras plutôt qu'installer un nombre énorme de nouvelles caméras," a dit M. Whiteley.

Plus de 50 autorités locales ont déjà signé afin de permettre l’accès de la police aux données recueillies par leurs caméras de trafic CCTV. Northampton, Bradford, Stoke et la ville de Londres ont mis des caméras ANPR en service depuis un certain temps. Beaucoup de plus petites villes, telles que St Albans, Stevenage et Watford sont en train d'être connectées.

"Nous parlons également au secteur commercial concernant leurs emplacements, les avant-cours particulières de leur garage. Une des plus grandes évidences concernant les véhicules est qu'ils doivent être remplis d'essence, " a-t-il expliqué.

Les supermarchés vont bientôt convenir d’une affaire qui mènera à l’envoi à Hendon des plaques minéralogiques de toutes les voitures entrant dans les avant-cours de leurs garages. En retour, ces grands distributeurs recevront des informations d'avertissement sur les conducteurs susceptibles de faire du "bilk" – s’enfuir en voiture sans payer leur facture.

Le projet, au-delà de mars 2006 - lorsque le centre de données national deviendra effectif - est d'augmenter la capacité du système à répertorier l’heure, la date et les coordonnées de plus de 100 millions de plaques minéralogiques par jour. "En d’autres termes, nous sommes intéressés par deux à trois pour cent de tous les véhicules sur les routes," a dit M. Whiteley.

"Nous pouvons utiliser les ANPR lors d’enquêtes ou nous pouvons les utiliser de façon plus proactive, à la manière de l'intelligence. Des choses telles que reconstruire le style de vie des criminels - où ils vont se trouver à certains moments. Nous cherchons à relier le criminel au véhicule par des moyens liés à l’intelligence. Les véhicules se déplaçant sur les routes sont susceptibles d’être examinés minutieusement par la police à tout moment. Le Road Traffic Act (loi sur le trafic routier) nous donne le droit d'arrêter les véhicules à tout moment pour n'importe quel but. Ainsi, les criminels sur les routes publiques sont vulnérables.
"Ce qui les rend doublement vulnérables est que la plupart des criminels ne cambriolent et ne volent pas seulement, mais ils ne prennent pas la peine de payer les taxes sur leurs véhicules, ne les assurent pas et (font) des choses du même genre," a dit M. Whiteley.

Au début de cette nouvelle année (2006), le centre national des données ANPR sera capable de contre-vérifier sa base de données par rapport à tous les véhicules légalement imposés et assurés. Tous les véhicules illégaux seront signalés et lorsqu’ils croiseront la route d’une caméra ANPR, leurs mouvements s'enregistreront en tant que des "frappes". Le ministère de l’Intérieur et la police croient qu'un tel outil de surveillance aura un impact spectaculaire sur la détection des crimes tout comme sur l'attitude du public par rapport au maintien de l'ordre du trafic.

"Le premier plus est que nous pouvons concentrer nos ressources sur les véhicules que nous devrions arrêter. L'autre côté positif est que les 97 pour cent d'automobilistes respectueux des lois devraient ne jamais être tracassés par cela, " a dit M. Whiteley.

Le centre national des données ANPR est en train d’être construit à côté de l'ordinateur national de la police en raison de la nécessité d'être constamment mis à jour avec les listes de conducteurs et de véhicules suspects. La conception du système tiendra compte également des futurs changements dans la façon dont les voitures seront identifiées, comme l'identification électronique du véhicule – lorsqu’une puce d'identité unique sera incorporée à la carrosserie.

Les puces d'identité sont considérées comme un élément du nouveau système de paiement routier basé sur un réseau de récepteurs radio de bord de route. De tels tags électroniques, cependant, permettraient également aux mouvements d'une voiture d'être enregistrés sans avoir besoin des caméras de repérage des plaques d'immatriculation.

Lorsqu’on lui a demandé si les ANPR seront aussi importantes que l'utilisation légale des empreintes digitales et du profilage par ADN, M. Whiteley a répondu: "Elles possèdent les capacités d’être aussi révolutionnaires. Je les décrirais comme un outil omniprésent pour le maintien de l’ordre. Vous pouvez les employer de toutes sortes de différentes façons."

COMMENT L'INFORMATION EST RECUEILLIE

Des caméras fixes aux emplacements stratégiques

De nombreux milliers de caméras de trafic sur les routes principales, les autoroutes, les ports et les stations-service liront des numéros de plaque des voitures en utilisant la reconnaissance automatique des numéros de plaque (ANPR)

Des unités mobiles

Chaque force possèdera une flotte de fourgons de police particulièrement adaptés et comportant des caméras ANPR. Ceux-ci fonctionneront en collaboration avec les officiers d’interception rapide.

Des CCTV dans les villes et cités

Beaucoup de caméras existant dans les villes et les cités sont converties pour lire automatiquement les numéros des plaques minéralogiques en tant qu'un élément du nouveau réseau national de surveillance.

DES MISES À JOUR PERMANENTES

L’ordinateur national de la police (police national computer ou PNC)
Le PNC fournira des mises à jour sur les véhicules et conducteurs qui intéressent la police Les données des assurances
Les conducteurs non assurés seront identifiés à partir des données fournies par le secteur des assurances
Les données MoT
Les véhicules sans certificat de test MoT valide seront signalés (NDLR : le MoT est le contrôle technique britannique)
Les données du permis du véhicule
Tous les véhicules sans disque d’impôt valide ou avec des numéros de plaque d’immatriculation illégaux seront identifiés

OÙ VA L’INFORMATION

Le nouveau centre national des données ANPR sera basé à Hendon, au nord de Londres, l’emplacement déjà existant de l'ordinateur national de la police. Il est conçu pour stocker 35 millions de « lectures » de plaques minéralogiques par jour, et sera augmenté à 100 millions de lectures d’ici quelques années. L'heure, la date et la localisation de chaque véhicule seront stockés pendant au moins deux ans, avec des projets visant à prolonger cette période à cinq ans. Le logiciel spécial « d'extraction de données » (data mining) peut répertorier les mouvements et les associations.

QUI UTILISE L’INFORMATION

La police

Chaque force de police aura un accès direct informatique au centre de données national ANPR. Les officiers de l'intelligence pourront accéder aux données concernant les mouvements d'une voiture sur un certain nombre d'années.

Le MI5

Les services de sécurité possèdent une permission spéciale sous le Data Protection Act (loi de protection des données) afin de pouvoir utiliser l'information des ANPR à des fins de sécurité nationale. L'anti-terrorisme sera leur intérêt principal.

Source : http://www.tregouet.org/edito.php3?id_article=415

Édito : EMEUTES de RUE : SACHONS REGARDER L’AVENIR EN
FACE...

Dans une Démocratie, il n’est pas longtemps tolérable
de voir un Etat rester impuissant devant quelques
centaines d’individus qui se servent des caméras de
télévision pour faire briller aux yeux du monde les
centaines et les centaines de véhicules qu’ils
incendient, chaque nuit.

Les outils dont dispose un Etat de Droit pour faire
cesser de tels agissements sont peu nombreux et
surtout d’un maniement difficile. Il suffirait d’un
accident et même d’un incident pour que l’opinion
publique, maîtresse du jeu, sans qu’elle en ait
conscience, se retourne.

L’utilisation de la force serait contre-productive et
très risquée. Seuls, l’intelligence et le bon sens
pourront permettre de trouver une issue mais il faut
que nous ayons bien conscience que cela ne sera que
partie remise.

Aussi, toutes les Démocraties vont devoir réfléchir,
comme a déjà commencé à le faire la Grande-Bretagne
après les attentats de l’été dernier, aux moyens à
mettre en œuvre pour prévenir et empêcher toute
atteinte au Droit dans les espaces publics.

La conscience, la responsabilité, la solidarité, le
devoir, la morale étant devenus des concepts inconnus
d’une partie grandissante de nos contemporains,
seules, malheureusement, les technologies nouvelles
aideront les Pouvoirs Publics à faire respecter
l’ordre public... mais avec quels dangers pour nos
Démocraties !

Il serait irresponsable d’ignorer ces nouvelles
technologies qui marqueront chaque être humain et nos
objets (en particulier les voitures) dans ces toutes
prochaines décennies. Pour défendre nos Démocraties,
les hommes politiques devraient, avec sérénité,
examiner, sans retard, ce qui se développe
actuellement dans les laboratoires dans de nombreuses
parties du Monde, au lieu de clamer, par démagogie,
que jamais ils n’utiliseront de tels moyens.

Regardons déjà ce qui se passe avec la
vidéosurveillance. Il suffit de faire un tout petit
bond en arrière de quelques années pour se remémorer
comment les « bonnes âmes » rejetaient ces moyens de «
flicage ». Là aussi, comme dans bien d’autres
domaines, l’opinion publique a fait un vrai virage sur
l’aile en constatant combien les dizaines de milliers
de caméras installées dans tous les lieux publics de
Londres avaient été efficaces pour retrouver les va et
vient des terroristes dans les jours précédant les
attentats. Mais, malheureusement, ces sinistres
circonstances ont permis de constater que les caméras
permettaient d’expliquer, a posteriori, mais non de
prévenir.

Aussi, les responsables mondiaux des polices urbaines
sont entrés dans une réflexion nouvelle qui ne
s’arrêtera que lorsqu’elle sera arrivée à son terme :
comment les nouvelles technologies vont-elles pouvoir,
avec rigueur et efficacité, prévenir tous les
dysfonctionnements, de l’attentat terroriste jusqu’au
vol à la tire, sur la voie et dans les espaces publics
?

Les réponses sont déjà nombreuses et vont apparaître,
maintenant dans de courts délais, bien d’autres
propositions que nous n’imaginons pas encore.

La reconnaissance automatique d’images de personnes
surveillées sur des milliards d’images saisies chaque
jour dans les réseaux serrés de vidéosurveillance qui
sont ou qui se mettent en place dans toutes les
villes, le positionnement satellitaire qui atteindra
une précision centimétrique avec des bornes de
référence calées au sol, les puces radio (RFID) moins
grosses qu’un grain de riz qui, dès ces prochains
mois, vont commencer à se glisser dans tous les objets
dont nous nous servons chaque jour et qui, dans des
délais qui sont maintenant courts, commenceront à être
implantées sous la peau des êtres humains...

Il serait vain de croire que cela n’arrivera pas. Cela
va arriver et même peut-être beaucoup plus vite que
nous ne l’imaginons aujourd’hui.

Aussi, tous les responsables politiques qui ont en
charge la protection de nos libertés doivent, sans
tarder, imaginer ce futur, dorénavant très proche,
pour faire en sorte que l’aspiration profonde au
respect de la vie privée soit fondamentalement
respectée dans nos Démocraties. Il en va de l’avenir
des Droits de l’Homme.

Je défends depuis de très nombreuses années dans ces
colonnes l’idée que chaque être humain devra disposer
d’une identité privée, inviolable et disposant des
protections les plus élevées, pour sa vie privée
(famille, profession, amis, vacances, etc...) et d’une
identité publique où il ne serait qu’un nombre à 64,
128 ou 256 chiffres (changeant en permanence) dès
qu’il serait sur la voie publique. Le rapprochement
entre l’identité privée, qui serait un vrai sanctuaire
pour le citoyen respectueux des lois et l’identité
publique qui, elle, sur tout territoire public, serait
spontanément accessible à tout agent de l’ordre public
(grâce aux puces RFID), ne pourrait être fait que sous
l’autorité de l’Etat. Cette mission deviendrait une
mission régalienne et tous les dispositifs de sécurité
devraient être mis en place pour acquérir la certitude
qu’aucune organisation et aucun individu ne pourraient
s’emparer de ces clés de transformation de l’identité
publique en identité privée.

Je sais que vous allez être très nombreux à réagir
face à ces propositions. Mais n’oublions pas que l’une
des spécificités de l’homme par rapport à tous les
autres systèmes organisés, ce qui lui octroie non
seulement une force mais aussi une supériorité
naturelle, est de pouvoir prévoir et ainsi d’anticiper
toute évolution, du moins tant que celle-ci est
prévisible.

Or, l’augmentation très grande du nombre d’êtres
humains vivants, la spontanéité de l’information, la
facilité des déplacements, la globalisation des
échanges, mais aussi la perte des repères, font que la
vie de la cité, telle qu’elle avait été imaginée à
Athènes, il y a 4000 ans, n’est plus applicable à la
situation réelle de ce début de 21ème siècle. Il faut
savoir anticiper sur ces évolutions profondes de nos
sociétés.

Certains ont imaginé dans ces deux dernières
décennies, avec la montée en puissance des réseaux et
l’émergence de la Toile, que l’avenir se trouvait dans
des communautés et que des systèmes informatiques trop
curieux nous rendraient heureux, malgré nous, en
répondant à chacune de nos aspirations, croyant bien
connaître nos profils.

Mais il n’en est rien. Chaque être humain voudrait
(quel rêve !) pouvoir disposer d’un jardin secret dans
lequel il pourrait se réfugier quand il est assailli
par les soucis générés par nos sociétés dites «
modernes ». Violer ce jardin secret serait la pire
entreprise de déshumanisation. L’homme, malgré les
difficultés grandissantes de la vie en société, ne
veut pas se transformer en abeille. Ce n’est pas
l’ensemble de la société qui doit devenir l’individu
mais notre aspiration profonde est de tout faire pour
que chacun de nous détienne, dans la mesure du
possible, la détermination de son destin.

Aussi, avec réalisme, sachons nous préparer à accepter
de nouvelles règles dans notre vie en commun, dans les
espaces publics, afin de protéger avec la dernière des
énergies notre vie privée.

René TRÉGOUËT

Sénateur honoraire

Fondateur du Groupe de Prospective du Sénat

Après la biométrie selon les empreintes digitales, selon l'analyse de l'iris, selon la reconnaissance faciale, la forme et la disposition des veines, la morphologie du squelette, voici venir à présent... la biométrie basée sur la sueur ! Encore une spécialité qui risque fort d'être signée CIA ou NSA, bref le genre d'agence liberticide qui n'hésite pas à torturer des innocents à l'étranger.
L'article, ci-dessous... Vic.

Source : http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/
0,39040745,39298658,00.htm?xtor=1

La transpiration au secours des lecteurs biométriques

Par Michael Kanellos
CNET News.com
Mardi 27 décembre 2005

Technologie - Des chercheurs américains ont montré que la prise en compte de la transpiration lors de contrôles d’empreintes biométriques réduit considérablement les cas d’usurpations d’identité.

Les lecteurs biométriques peuvent facilement être mystifiés lors de la vérification des empreintes digitales. Pour lutter contre l'usurpation d'identité, des chercheurs américains viennent de mettre en évidence l'importance capitale de la transpiration dans les contrôles d'identité biométriques.

Ils ont effectué une série de tests pour lesquels ils ont utilisé une soixantaine de faux échantillons, en partie conçus par leurs soins ou par des laboratoires experts. Ils ont moulé des empreintes de doigts à partir de pâte à modeler, d'argile, de gélatine et de plâtre dentaire. Ils ont également utilisé des doigts prélevés sur des cadavres humains.

Un taux d'erreur qui passe de 90% à 10%

Ces faux échantillons de doigts ont été testés avec différents types de lecteurs du marché. Le résultat est sans appel: 90% d'entre eux (tous types confondus) ont réussi à berner les appareils. Mais ce pourcentage a radicalement chuté, lorsque les chercheurs ont ajouté aux lecteurs un algorithme qui vérifie la présence de transpiration. Le taux d'erreur est alors passé à 10%.

L'usage de la transpiration, preuve irréfutable de la vie, constituerait donc un moyen efficace pour lutter contre l'usurpation d'identité. Phénomène naturel, la transpiration suit un cheminement spécifique et propre à chaque être. Elle s'écoule des pores et se diffuse dans les rides de la peau, créant une signature distincte. L'algorithme, créé par Stephanie Schuckers, enseignante-chercheuse à Clarkson, détecte et prend en compte la trame de la transpiration lorsque le lecteur contrôle une image d'empreinte digitale.

Un projet financé par le gouvernement américain

«Étant donné que la détection de la vie est basée sur la reconnaissance d'activités physiologiques [signes de vie], nous avons émis l'hypothèse que les images d'empreintes digitales provenant de doigts vivants présenteraient un schéma d'hydratation évoluant de façon spécifique à cause de la transpiration», explique la chercheuse. «Ce qui n'est pas le cas pour les empreintes modelées ou venant de doigts prélevés sur des cadavres».

Les chercheurs vont déposer une demande de brevet de leur technologie. Leur projet a bénéficié d'un financement de 3,1 millions de dollars de la NSA (National Security Agency), agence fédérale américaine de renseignement.

D'autres méthodes sont à l'étude, qui s'appuient sur la comparaison avec les contenus de bases de données. La plupart des lecteurs biométriques prennent une image d'une empreinte digitale et vérifient si elle est recensée dans ces bases.

Pour réduire les usurpations d'identité, les chercheurs de NEC ont ainsi mis au point une technologie qui photographie les tissus en dessous de la pointe du doigt pour obtenir une image en 3D. Elle est ensuite comparée à d'autres présentes dans une base de données. Fujitsu a de son côté élaboré une technique d'authentification qui étudie les réseaux veineux.

Vous vous souvenez très certainement qu'après le passage de Katrina et le nombre importants de morts et de portés disparus, Verichip avait encore une fois fait parler d'elle en faisant un coup de pub aussi immoral que mal venu et en puçant les morts... L'article ci-dessous que je vous au traduit en français nous apprend aussi quelques détails intéressants sur l'ignoble micro-puce sous-cutanée pour humains. Ne comptez pas y trouver la MOINDRE allusion aux dangers de la puce, puisqu'il s'agit d'un article de propagande pro-puce et donc de désinformation.

Source: http://news.zdnet.com/2100-9584_22-6026514.html?
part=rss&tag=feed&subj=zdnet

Par Alorie Gilbert, CNET News.com
Publié sur ZDNet News: le 12 Janvier 2006, 12:09 p.m. PT

Les puces électroniques d'identification ont réussi à pénétrer dans tout, depuis les rasoirs de Gillette jusqu'aux détenus de prison. Mais en septembre, avec la côte du Golfe tournoyant sous l'effet de l'ouragan Katrina, certains ont trouvé une utilisation entièrement nouvelle pour cette technologie: identifier les morts.

Gary Hargrove, coroner du comté de Harrison dans l'Etat du Mississippi, a commencé à injecter des puces d'identification par radiofréquence (RFID) dans des cadavres pour faire face au compte des corps qui s'agrandissait . Il a dit que les puces, fournies par une compagnie de Floride appelée VeriChip, ont aidé le comté à identifier et à rendre les victimes de la tempêtesans qu'il y ait de mélanges. Le comté a également injecté les puces dans des corps délogés de leurs tombes durant l'innondation.

VeriChip se spécialise dans les systèmes de RFID pour humains et a lancé la technologie sur le marché principalement dans les hôpitaux comme un moyen de pister les patients vivants. Elle lance également ces systèmes dans les entreprises comme une technologie d'authentification plus sûre que les badges et les cartes d'identité. Mais l'implantation humaine est extrêmement controversée. Certains critiques s'inquiètent des potentielles violations des libertés civiles. D'autres s'y opposent pour des raisons religieuses.

De tels soucis perdurent-ils lorsque les sujets sont morts? Hargrove s'est entretenu avec CNET News.com récemment afin de soupeser cette question et d'autres.

Q: Quel était l'avantage de faire ceci? En quoi était-ce meilleur que par exemple une étiquette d'orteil ou un code-barre?

Hargrove: Vous pouvez employer des étiquettes d'orteil en papier, mais elles ne durent pas très longtemps. Une fois qu'elles deviennent humides, elles tombent habituellement en morceaux ou l'encre coule dessus et vous ne pouvez plus lire les numéros. (VeriChip) était une meilleure manière de les pister. Une fois que vous appliquez un numéro au sac mortuaire, vous placez cette puce et vous ne devriez pas ouvrir le sac. Vous pourriez prendre un scanner et effectuer un scan depuis l'extérieur du sac, au niveau de l'épaule gauche, et le scanner prendrait ce numéro à 16 chiffres à partir de la puce qui a été insérée dans le corps.

Comment cela fonctionnait-il exactement? Ces puces ont-elles été injectées dans les morts?

Hargrove: Les puces ont été injectées juste sous la peau. Elles peuvent se trouver dans n'importe quelle partie du bras. Nous avons choisi de le faire dans l'épaule gauche. De cette manière, c'était un endroit consistant pour toutes les victimes que nous trouvions.

Est-ce que ceci avait déjà été fait ailleurs, ou faisiez-vous quelque chose de tout à fait nouveau?

Hargrove: Selon ce que j'ai compris, c'était une utilisation nouvelle de la VeriChip.

Alors, combien de corps avez-vous injectés en tout?

Hargrove: Environ 300.

Aviez-vous l'aide ou faisiez-vous ceci par vous-même?

Hargrove: La plupart d'entre elles ont été implantées par les légistes. Ceci a été fait par la DMORT, qui est la Disaster Mortuary Operational Response Team (l'équipe opérationnelle de réponse mortuaire en cas de désastre) des Etats-Unis qui est arrivée pour assister notre communauté en raison du grand nombre de décès. Ainsi, la DMORT était responsable de manipuler les individus une fois que nous faisions la récupération (du corps). Une fois qu'ils arrivaient et commençaient le processus, les médecins légistes inséraient la puce à ce moment.

Quel genre d'information les puces dépistent-elles?

Hargrove: Identification des marques, de la taille, du poids, des cheveux, des yeux, des l'habillement. Disons que j'ai cinq personnes qui sont non identifiées. Et chacune d'entre elles avait la puce. Toutes les cinq ont une description et un certain membre de la famille arrive et dit, "Hé, je crois que vous avez mon frère qui, nous l'avons découvert, était dans le secteur à l'heure de la tempête, et voici sa description." Si cette description correspond à l'une des cinq victimes que nous avons enterrées, bien, alors nous pouvons dire, "OK, (votre frère) est dans la tombe numéro 2."

Et vous pouvez rechercher cette information d'identification via un ordinateur ?

Hargrove: Exactement. Cela évite l'erreur humaine qui peut se produire parce que nous commettons tous des erreurs. Mais c'est... juste une étape supplémentaire pour alléger la possibilité d'une erreur qui se produit lorsque vous donnez la mauvaise personne à la mauvaise famille.

Pourquoi injecter la puce? Ne pouvez-vous pas l'attacher à l'extérieur du sac?

Hargrove: Non. Vous voudriez la placer sur le corps de sorte qu'elle ne soit pas perdu lors du déplacement du corps peut-être, ou durant l'examen du corps. Vous ne voulez pas perdre cela, donc vous l'injectez, et elle reste dans le corps de manière permanente à partir de ce moment-là. En la mettant dans le corps, dans l'épaule gauche, peu importe que nous y allions aujourd'hui ou dans cinq ans, vous pourrez effectuer un scan et ce nombre à 16 chiffres apparaîtra.

Pourquoi voudriez-vous faire cela dans cinq ans?

Hargrove: Bien, je dis juste que c'est l'avantage du produit si vous aviez un grand nombre de corps non identifiés à la fin de l'opération, ce qui n'est pas le cas. Nous sommes dans les chiffres unitaires de corps non identifiés. Je pense que j'en ai un (de cadavre non identifié) de mon comté.

Est-ce que cela vaut la peine de payer pour les avantages dont vous parlez?

Hargrove: Cela en vaut la peine, à mon avis. Nous sommes très chanceux que VeriChip était disposé à faire don de cet équipement à notre région. Mais je propose fortement à quiconque qui a affaire à un grand nombre de victimes d'utiliser cette technique. En premier lieu, cela aidera au niveau du pistage de cet individu. Vous pouvez assigner l'information; vous pouvez réellement établir une base de données afin de détenir n'importe quel genre d'information que vous voulez au sujet de cet individu.

Mais je devine que pour devenir une technologie commerciale, cela dépend du coût.

Hargrove: Exact. Je ne pourrais pas parler de la question du coût. Ce n'était jamais un problème lorsqu'ils sont venus dans ma communauté.

Était-il difficile d'apprendre à utiliser cette technique?

Hargrove: C'était très simple. Fondamentalement, c'est comme faire une piqure. Pour toute personne qui possède une connaissance médicale, ce serait très facile à employer.

Que se passait-il dans le cas de corps décomposés ou de parties de corps?

Hargrove: Et bien, les corps décomposés -- vous avez toujours un corps là bien qu'il soit décomposé. Vous placez toujours la puce, vous savez, de la même façon que vous la placeriez sur un corps qui n'a pas été décomposé. Quant aux restes des individus où il n'y avait plus aucune chair, ces morceaux ont été placés dans un sac dans une zone au dessus de ce que nous considérerions être la tête du sac.

Avez-vous rencontré des objections à l'utilisation de cette technologie? Je veux dire, il y a certaines personnes qui pourraient ressentir qu'elle est irrespectueuse vis-à-vis des morts.

Hargrove: Je n'ai entendu aucun avis négatif de leur part. On m'a dit qu'il y avait eu un article écrit par un groupe -- probablament quelques "chiens de garde" -- qui était préoccupé par l'invasion de la vie privée. Mais ce n'était pas une invasion de la vie privée. C'est un outil pour nous permettre de pister l'individu, ainsi l'individu ne se perd pas.

Mais il semble que cela soulève des questions d'inhumanité.

Hargrove: Les gens qui ont perdu leurs vies ici, aussi bien que ceux qui avaient été déjà enterrés et ont été enlevés de leur endroit de repos final, ces individus ont été traités avec le plus grand respect. Et une des manières dont nous pouvions les respecter le plus consistait à les rendre à leurs familles et à les replacer à leur endroit de repos final sans l'interférence de l'erreur humaine.

Quelle est la portée de lecture de la puce?

Hargrove: Ce n'est pas comme une portée de trois ou de quatre pieds (90 ou 120 cm.). Je veux dire, vous le passez (le scanner) juste au-dessus de l'arrière du sac.

Donc, c'est quelques pouces? Ce n'est pas comme si une fois que la personne est enterrée, vous pouviez aller lire les puces dans les tombes?

Hargrove: Non, pas depuis la surface.

J'étais curieux de savoir comment s'est produit votre rapport avec VeriChip. Vous ont-ils approché?

Hargrove: VeriChip est venu dans notre communauté, ils m'ont contacté et c'est ainsni que le premier contact s'est produit. Ce qu'ils nous ont offert consistait à nous fournir l'équipement, pour nous permettre d'employer la puce pendant comme une marque d'identification afin d'aider à pister toutes nos victimes que nous récupérions. Je leur ai dit que j'étais très intéressé par le fait d'utiliser leur produit, et ils ont proposé de nous fournir l'équipement sans aucun coût pour notre comté, notre communauté.

À quel moment sont-ils arrivés?

Hargrove: Ils sont arrivés ici dans la première semaine (après que Katrina ait frappé), mais je ne connais pas la date exacte.

Du point de vue de VeriChip, ceci était-il une sorte d'essai pour cette application de leur technologie?

Hargrove: Ouais, je n'ai pas parlé avec eux pour voir exactement pourquoi ils sont venus dans le secteur. Je sais qu'en leur parlant, ils étaient très impatients d'offrir l'équipement pour que nous puissions faire notre travail, si nous estimions que c'était bénéfique.

Avez-vous reçu des appels d'autres coroners qui sont intéressés par cette technologie?

Hargrove: Et bien, je connais plusieurs personnes qui étaient associées à la DMORT qui ont observé la technologie qui était employée et la façon dont nous l'utilisions. Il y avait une discussion parmi un groupe de personnes à ce sujet.

Vous gardez l'équipement, alors?

Hargrove: La seule chose qui a été vraiment laissée en excédent était les scanners qu'ils ont fournis. Donc, oui, ceux-là seront gardés de sorte que nous puissions les employer à l'avenir. Et nous avons quelques-unes des puces qui restent et que, vous savez, nous continuerons à garder au cas où nous récupérerions d'autres victimes.

Lien de Marc. B.

Dès la fin 2007, la maternité de l'hôpital du Havre, en France, sera dotée d'un système de sécurité qui permettra, en équipant les bébés de bracelets électroniques, d'éviter les rapts d'enfants.
«C'est à chaque fois un traumatisme pour les parents, mais aussi pour tout le personnel hospitalier lorsqu'un tel drame arrive», explique Joël Martinez, directeur de l'hôpital du Havre, qui sera certainement l'un des premiers établissements à être équipé d'un tel système.

«Il s'agit en fait de mettre un bracelet équipé d'une puce électronique à chaque bébé qui vient de naître, un bracelet qui permettra de localiser l'enfant dès qu'il quittera la chambre de sa mère ou la pouponnière. Et si l'enfant franchit une porte de sortie, une alarme sera immédiatement déclenchée», ajoute-t-il.

Ce système, qui a déjà fait ses preuves et qui est déjà mis en place en Angleterre, mais aussi aux États-Unis, devrait vite se généraliser en France après les réguliers rapts d'enfants survenus récemment dans l'hexagone.

«Les hôpitaux doivent aujourd'hui être des endroits sécurisés même si l'hôpital, de par sa notion d'hospitalité, n'est pas un endroit sécuritaire. Mais c'est aujourd'hui une nécessité, pour le confort des parents», ajoute le directeur.

Au Havre, cette mesure entrera en vigueur dès la mise en service, en octobre 2007, du nouveau pavillon «mère et enfant» de l'hôpital Jacques-Monot, où 80 millions d'euros ont été investis pour réaliser cette unité de 190 lits actuellement en construction.

À l'hôpital du Havre, où naissent chaque année 3000 bébés, des mesures de sécurité pour éviter les rapts d'enfants ont déjà été mises en place. «Nous avons installé une vidéo surveillance avec enregistrement et le personnel est régulièrement formé pour combattre ce fléau», précise le directeur.

Début octobre, une jeune mère de famille âgée de 18 ans et son nouveau-né avaient, avec l'aide de son compagnon, pu sortir de la maternité de l'hôpital du Havre en déjouant la vigilance du personnel. Les responsables de l'hôpital avaient cru dans un premier temps qu'il s'agissait d'un rapt d'enfant.

La Belgique se fait encore tristement remarquer dans la course qui mène à la puce sous-cutanée obligatoire...

Bien entendu, nous n'en sommes pas (ENCORE !) là... mais nous nous en rapprochons jour après jour !

Au niveau des cartes d'identité belges, souvenez-vous : elles sont électroniques, liberticides et possèdent une puce contenant des renseignements que le porteur ignore.

Par rapport à d'autres projets de cartes d'identité électroniques (la carte INES en France, par exemple), la Belgique ne possède pas (encore) de puce RFID (sans contact) ni de données biométriques.

Dernièrement, cependant, je vous avais dit que l'ignoble Union européenne avait décidé que d'ici un ou deux ans, TOUS LES PAYS de l'Union européenne possèderaient leur carte d'identité A PUCE RFID ET A DONNES BIOMETRIQUES.

Il doit donc y avoir du changement en Belgique, car la carte ID électronique actuelle ne correspond pas à ce diktat.

ET LE CHANGEMENT ARRIVE ! ET CE SONT D'ABORD LES ETRANGERS (considérés COMME DES CRIMINELS, tout comme aux USA ou au Royaume-Uni) qui vont "déguster" en premier !!!

ET DEVINEZ QUOI ? Les cartes d'identité électroniques belges pour étrangers comporteront... DES DONNEES BIOMETRIQUES !!! Quel "hasard", n'est-ce pas ?

Source : http://www.levif.be/Belga/BelgaNieuws.asp?ArticleID=47670&SectionID=10

Carte d'identité électronique en vue pour les étrangers de Belgique

Belga

Le 07/01/2021 12:40

BRUXELLES 07/01 (BELGA) - Le ministre de l'Intérieur, Patrick Dewael (VLD), projette d'instaurer une carte d'identité électronique pour les ressortissants étrangers qui comprendrait également des données biomédicales telles que les empreintes digitales, rapporte, samedi, Gazet van Antwerpen. La ville d'Anvers ferait office de commune-test à partir de 2007, précise M. Dewael. Cette nouvelle carte d'identité électronique concernerait deux catégories de personnes: les étrangers reconnus et ceux qui font l'objet d'une procédure de légalisation, le but de l'opération étant d'améliorer les contrôles.(PHD)

Source : http://www.wsws.org/francais/News/2006/
janvier06/050106_PouvoirsArrestatio.shtml

Grande-Bretagne: pouvoirs d'arrestation et de
surveillance sans précédent accordés à la police

« Le gouvernement travailliste britannique a accordé
à la police des pouvoirs les autorisant à arrêter
quiconque commet un délit, aussi minime soit-il. Des
groupes de défense des libertés ont dénoncé cette
nouvelle loi apparentée à une mesure d'état policier. »
……………..
« Jusque là, la police n'avait le pouvoir d'arrêter
que les personnes soupçonnées d'avoir commis un délit
passible d'au moins cinq ans de prison. A présent la
police a le pouvoir de détenir toute personne
soupçonnée d'un délit, aussi mineur soit-il comme
celui de jeter des détritus sur la chaussée, ce qui
lui confère le pouvoir de harceler et d'intimider
quasiment à volonté. »
…….
« De plus, la police est maintenant autorisée à
prendre des photos de suspects dans la rue où ils ont
été arrêtés ou bien où on leur a infligé une
contravention, plutôt que de les conduire au poste de
police. Ceci peut être utilisé pour constituer une
banque de données photographiques en utilisant la
simple opportunité d'accuser quelqu'un d'un délit
mineur, ou même de lui infliger une contravention. La
photo peut être conservée dans un dossier même si la
personne est déclarée non coupable au tribunal. Des
échantillons d'ADN ainsi que des empreintes digitales
peuvent aussi être conservés. »
…….
« ….plus de 600 personnes ont été contrôlées et
interrogées sous la législation anti-terroriste
durant la conférence du parti travailliste. Aucun ne
fut accusé de délit, mais certains furent détenus
car ils portaient tout simplement des T-shirts contre
la guerre en Irak. »
……….
« « la lutte contre le terrorisme » est un aspect
d'une campagne destinée à instiller la peur au sein
de la population afin de l'encourager à accepter des
pouvoirs d'état toujours plus draconiens. »
………
« Quelles que soient les excuses données, les vraies
cibles de ces mesures répressives sont les millions de
salariés qui subissent la politique gouvernementale
favorisant les grandes entreprises, et qui sont de ce
fait vus comme une menace sociale et politique
grandissante pour l'élite dirigeante. »

Suite à l'article que j'ai posté l'autre jour concernant la Suisse qui pucera TOUS les chiens d'ici la fin de l'année et intrigué quant à ce qui se passe au niveau de mon pays (Belgique), je suis allé faire un tour au magasin d'animaux (animalerie) ...

Ces pauvres bêtes (que l'on vend comme de la VIANDE ou de la MARCHANDISE ) n'avaient pas l'air dans leur assiette, derrière leur vitre... Je n'ai pas tardé à comprendre pourquoi.

En effet, dans le coin supérieur droit de chaque vitre, une affiche était collée et disait :

"TOUS NOS CHIOTS ET CHATONS SONT VACCINES, VERMIFUGES ET PUCES". J'ai failli vomir... :vomi:

OUI, si vous achetez un chaton ou un chiot en Belgique dans un magasin pour animaux, VOUS ETES DEJA CERTAIN QU'ILS SERONT PUCES !!!

Je vous conseille donc plutôt de prendre sous votre aile un chaton de la campagne, et de vous assurer qu'il n'aura pas été pucé. Il y a suffisamment de personnes qui tentent de donner aimablement les chatons (non vaccinés et non pucés) que leur chatte a mis au monde.

Quant aux chevaux de course européens, ils sont TOUS pucés ! A cause des MONSTRES qui dirigent notre si "propre" continent et prennent des décisions aussi abominables !

NON A LA PUCE SOUS-CUTANEE, POUR LES ANIMAUX COMME POUR LES HUMAINS !!!

Vic.

L'article ci-dessous est en train de préparer les esprits du bétail humain belge afin de lui faire accepter plus facilement l'idée d'un permis de conduire électronique !!!

Quelle "surprise", n'est-ce pas ? Ne vous avais-je pas dit que tout cela allait nous tomber sur le coin de la gueule si aucune réaction ne se produisait ? Simple déduction logique, vu le nombre de technologies liberticides que l'on nous propose et vu le manque de réaction populaire...

Après la carte à puce de sécurité sociale (carte SIS), la carte d'identité électronique et le passeport biométrique, voilà donc que ce serait au tour du PERMIS DE CONDUIRE de devenir électronique (et de constituer une base de données centralisée et liberticide !)... "PAPIER, BITTE !" comme disaient les Nazis...

Pour vous convaincre du "bienfondé" et de la "nécessité" de cette nouvelle horreur liberticide, on joue sur le nombre élevé de procès verbaux... Pathétique !

Les Belges réagiront-ils donc comme du bétail et comme des ESCLAVES, une fois de plus, acceptant toute décision prise à ce sujet par le si "bon" et si "démocratique" gouvernement belge de crapules vendues au nouvel ordre mondial ???

Que les Français, Suisses, Canadiens et autres ne rient pas trop vite : le même genre de chose se produira sans aucun doute chez eux très bientôt... Vic.

Source : http://www.lalibre.be/article.phtml?id=10&subid=90&art_id=261763

Vos papiers, s'il vous plaît...

Quelque 5687 P-V pour conduite sans permis valable ont été dressés en 2003.
L'idée du permis de conduire électronique fait du chemin.

Interrogé par le député Guido De Padt (VLD), le ministre de l'Intérieur Patrick Dewael (VLD) a récemment fait savoir que, selon les dernières statistiques disponibles, 5687 procès-verbaux avaient été dressés en 2003 à des automobilistes circulant sans permis de conduire valable. En 2002, 5380 cas avaient été recensés. En 2003, des condamnations en la matière ont ainsi été prononcées pour 5377 conducteurs contre 5145 l'année précédente.

Par conduite sans permis valable, on entend selon les termes de la loi le fait de conduire un véhicule soit sans être titulaire d'un permis de conduire, soit sans être porteur d'un permis de conduire ou en étant porteur d'un permis de conduire non valable pour la catégorie à laquelle appartient le véhicule. Tombe aussi sous le coup de cette infraction la conduite avec un permis falsifié, un permis étranger non reconnu ou encore un permis dont les informations sont illisibles. Comparés aux trois millions de P-V qui sont grosso modo distribués chaque année, ces chiffres doivent cependant être relativisés. A source bien informée, on nous indique en outre que, vu l'absence de données plus complètes et plus détaillées - pour 2004 et 2005 notamment - sur le sujet, il est difficile de tirer un enseignement de ces statistiques. Globalement, on n'observerait cependant pas d'accroissement notable de ce phénomène. Tout au plus, remarque-t-on, une tendance plus marquée à commettre cette infraction chez les jeunes conducteurs confrontés à une hausse des tarifs d'assurances et de formation, et chez les personnes qui doivent repasser des examens à la suite d'une condamnation car «les services qui doivent faire repasser ces examens ne suivent pas».

Un permis électronique?

Par ailleurs, des discussions sont actuellement en cours au niveau européen à propos de la mise en place d'un permis de conduire électronique - une carte à puce qui réduirait les possibilités de fraude - au sein des Etats membres. Des débats à ce sujet ont d'ailleurs eu lieu lors du dernier Conseil européen de décembre, mais aucun accord n'a pu être dégagé en raison de l'opposition de la France, de l'Allemagne, de la Pologne et du Danemark, explique-t-on au cabinet du ministre fédéral de la Mobilité, Renaat Landuyt (SP.A). Côté belge, on est très favorable à ce projet. Les informations relatives au permis de conduire pourraient ainsi être couplées à celles de la banque de données centrale mise en place pour la carte d'identité électronique et encodées dans la «puce» que comporte celle-ci. L'espoir est donc de voir le dossier se débloquer durant la présidence autrichienne.

La situation devient IRRECUPERABLE en Amérique du Nord comme en Amérique du Sud… Verichip Corporation vient en effet de signer un ACCORD DE PLUS avec une société crapuleuse nommée Ingersoll-Rand Company Limited. Cette dernière reçoit à présent le droit de FAIRE LA PROMOTION, DE VENDRE, D’INSTALLER ET D’ENTRETENIR LES PRODUITS DE VERICHIP CORPORATION, et ceci DANS TOUTE L’AMERIQUE DU NORD ET DU SUD, Y COMPRIS DANS LES ILES CARAIBES ET A HAWAI !!!

Vous l’aurez compris : par cet accord, on peut donc considérer que c’est TOUT LE CONTINENT AMERICAIN (Amérique du Nord ET Amérique du Sud), avec en prime Hawai et les Caraïbes, QUI VA ETRE TOUCHE !!!

La puce sous-cutanée va donc se disséminer PARTOUT sur ces territoires !

Pour ceux d’entre vous qui se demandaient quelle importance pouvait bien avoir le fait que Verichip Corp. entre en bourse (cf. l’info d’il y a quelques semaines), et bien l’affaire est claire :

1) Possibilité accrue de publicité, de reconnaissance et de potentielles rentrées d’argent
2) Collaboration et accords avec d’AUTRES COMPAGNIES, qui vont pouvoir prendre le relais au niveau de la vente, de la promotion etc.

Ceci signifie donc que via son entrée en bourse, Verichip Corp. va pouvoir ACCELERER le déploiement de sa diabolique micro-puce sous-cutanée pour humains, et notamment grâce à des accords avec d’autres compagnies qui vont se charger d’une partie du travail.

Verichip Corp. risque donc bien de contaminer avec sa puce sous-cutanée pour humains une multitude de pays à une vitesse de DINGUE, voire même de se MONDIALISER très rapidement !

Ceci est vraiment important, d’autant plus que nous savons que Verichip Corp. lorgne aussi sur nos pays (France en particulier) !

Je rappelle quand même encore une fois que les puces sous-cutanées pour humains sont un outil de CONTROLE MENTAL, de CONTRÔLE DES NAISSANCES et représentent des DANGERS POUR LES DROITS ET LA DEMOCRATIE, ainsi que des risques pour la SANTE.
Vic.

Source: http://biz.yahoo.com/bw/060110/20060110005799.html?.v=1

VeriChip Corporation entre dans un accord de distribution avec Ingersoll-Rand Company Limited

Mardi 10 janvier 2006, 12:09 p.m. ET

DELRAY BEACH, Floride -- (BUSINESS WIRE) – 10 janvier 2006 -- VeriChip Corporation, une filiale de Applied Digital (Nasdaq: ADSX - News), un fournisseur principal de technologie d'identification et de sécurité, a annoncé aujourd'hui qu'elle est entrée en accord de distribution avec Ingersoll Rand Security Technologies, un département de Ingersoll-Ingersoll-Rand Company Limited (NYSE: IR - News).

En vertu de l'accord, Ingersoll Rand Security Technologies possède le droit non-exclusif de faire la promotion, de vendre, d’installer et d’entretenir certains produits pour la protection infantile, pour l’empêchement de l’errance et pour le pistage des équipements, aussi bien que pour la plate-forme Auto-ID et l’interface de développement de l'application qui y sont apparentées dans les marchés des soins de santé, du commerce et des industries en Amérique du Nord et du Sud, y compris les Caraïbes et Hawaï.

Ingersoll Rand Security Technologies est un fournisseur mondial de solutions mécaniques, électroniques, et de sécurité intégrée.

RFID : LES APPLICATIONS MEDICALES SONT PREVUES EN EUROPE, ET NOTAMMENT EN FRANCE ! LA PUCE SOUS-CUTANEE SE RAPPROCHE...

Chers amis, l'heure est GRAVISSIME.

La grande messe de la RFID, le salon "RFID 2005", qui s'est déroulée dernièrement (du 12 au 14 octobre 2005) au Palais des Congrès à Paris, a attiré les développeurs crapuleux de tout poil. On parle même sur leur site d'une "UNIVERSITE DE LA RFID" !!! Cf. le site : http://www.rfid-show.com/?nid=2407&rid=643697059]#

Oui, vous avez bien lu ! UNE UNIVERSITE DU LIBERTICIDE, DONC !!!

PARMI LES (MULTIPLES !) APPLICATIONS EVOQUEES ET QUI SERONT MISES EN ROUTE PROCHAINEMENT EN FRANCE ET AILLEURS, ON TROUVAIT NOTAMMENT... LES APPLICATIONS MEDICALES !!!

Vous vous en souviendrez : c'est JUSTEMENT dans ce secteur que la PUCE SOUS-CUTANEE POUR HUMAINS EST EN TRAIN DE SE REPANDRE POUR L'INSTANT, AUX U.S.A. (et, plus près de chez nous, en Italie) !!!

Ici, vous allez vous en rendre compte, lors de ce salon "RFID 2005", ON S'EST FORTEMENT RAPPROCHE de la puce sous-cutanée pour humains, CAR LES ARGUMENTS QUI ONT ETE DEVELOPPES AU NIVEAU MEDICAL SONT IDENTIQUES A CEUX DEVELOPPES PAR VERICHIP CORP. POUR VENDRE SA PUCE DIABOLIQUE !!!

Par exemple, l'ignoble société Tracemed a présenté un document dans lequel on présente TOUTE UNE SERIE D'APPLICATIONS MEDICALES POUR LA RFID ! Le document est disponible au format PDF sur la page suivante : http://v5.kermeet.com/Data/kmreed_rfid/event/F_
de196f495b272c1988ed5f9ccb77128e43707e507a31a.pdf

N'en doutez plus, mes amis : ON EST EN TRAIN DE VOUS MENER VERS LE GOUFFRE, ET D'ICI TRES PEU DE TEMPS, LES PUCES SOUS-CUTANEES FERONT LEUR HORRIBLE APPARITION SI AUCUNE RESISTANCE ET SI AUCUNE INSURRECTION POPULAIRE FORTE NE SE PRODUISENT !

L'étau se resserre, et il va continuer de se resserer JOUR APRES JOUR SI VOUS NE REAGISSEZ PAS car les chacals de l'industrie RFID sont en train de TRAVAILLER D'ARRACHE-PIED tous les jours , pendant que vous vous demandez si vous aller résister ou non, et comment vous allez le faire...

La logique se dessine de façon de plus en plus claire, et les technologies liberticides ont DEJA commencé à envahir notre quotidien depuis quelques années (cartes à puce, cartes d'identité électroniques, passeports électroniques, projets-pilotes de tags RFID, lois "antiterroristes", caméras vidéo, rétention des données, création de bases de données centralisées, biométrie...).

Le tout se dirige vers une société soi-disant "sécuritaire" MAIS DANS LAQUELLE VOTRE VIE PRIVEE, VOS DROITS, VOS LIBERTES ET VOTRE DIGNITE SERONT BAFOUES JOUR APRES JOUR, ET DANS LAQUELLE LE CONTROLE ET LA SURVEILLANCE DES INDIVIDUS ET DU PEUPLE DEVIENDRONT PERMANENTS. Le temps du choix a sonné... RESISTANCE, OU ESCLAVAGE ???
Vic.

Source : journal belge "Metro" ( http://www.freemetro.be ) du vendredi 06 janvier 2006, page 6.

Washington - George W. Bush a lancé un défi au Congrès en désignant plusieurs de ses alliés politiques à des postes clés de la sécurité et des affaires étrangères, passant outre la nécessaire approbation du Sénat.

Comme cet été pour la nomination de John Bolton au poste d'ambassadeur des Etats-Unis auprès des Nations-Unies, le président américain a profité des vacances parlementaires pour nommer Gordon England, ancien secrétaire à la Marine, au poste de secrétaire adjoint à la Défense. Il remplace Paul Wolfowitz, devenu président de la Banque mondiale.

La nomination la plus controversée est celle de Dorrance Smith comme sous-secrétaire à la Défense pour les relations publiques, c'est-à-dire porte-parole du Pentagone. Cette dernière avait accusé en novembre la télévision américaine et le gouvernement du Qatar de coopérer avec la chaîne Al-Jazira.

Ces nominations leur permettront d'exercer jusqu'en 2007.

 Source : journal belge "Metro" ( http://www.freemetro.be ) du vendredi 06 janvier 2006, page 18.

Lommel - Les membres du personnel d'un centre pour personnes âgées du CPAS (centre public d'action sociale) à Lommel peuvent dès à présent pointer et calculer leur temps de travail automatiquement à l'aide de leur carte d'identité électronique (eID). Ce système a été officiellement mis en service par le ministre de l'Emploi et de l'Informatisation, Peter Vanvelthoven (sp.a).

L'enregistrement du temps de travail se déroulait jusqu'alors manuellement. Les membres du personnel peuvent aussi calculer les jours de congé qu'il leur reste et consulter le nombre d'heures supplémentaires effectuées sans qu'un code particulier ne soit nécessaire.

Selon le ministre Vanvelthoven, ce système de calcul automatique rentre parfaitement dans les intentions du gouvernement d'élargir les applications de la carte d'identité électronique à court terme.

"Le futur s'annonce bien. Deux millions de cartes ont déjà été mises en circulation aujourd'hui et plus de 400 applications sont en développement", explique le ministre.

 Voici la suite de la traduction de quelques extraits intéressants tirés du travail de fin d’études de cette étudiante de la force navale américaine nommée Letitia D. Haynes, un travail de fin d’études datant de 2001 et qui porte sur les puces implantables et leurs applications potentielles pour l’armée américaine, mais aussi comme vous allez vous en apercevoir… pour TOUS LES CITOYENS !!!

Je vous rappelle que cette thèse de fin d’études est disponible à l’adresse suivante : http://cisr.nps.navy.mil/downloads/theses/
01thesis_haynes.pdf#search='microchip%20implant%20.mil

Aujourd’hui, nous allons voir ce que l’armée et les dirigeants considèrent comme les « avantages » et les inconvénients des puces implantables (passives ET actives).
Préparez-vous à quelques révélations « choc », car le texte nous dévoile pour de bon certaines choses que l’on vous avait toujours dites au sujet des buts poursuivis par la mise en application des puces implantables.

Personne ne pourra plus nier après lecture du texte ci-dessous que le but est la GENERALISATION de la puce, Y COMPRIS auprès des CIVILS et des simples CITOYENS, ni que la SOCIETE SANS ARGENT CASH est un but RECHERCHE à dessein.

Les seules choses dont ne parle pas ici (étrangement) sont le contrôle mental et le contrôle des naissances (mais dont la première partie que je vous ai livrée parlait – en tout cas pour le contrôle mental et physique).

Je vous laisse donc lire ci-dessous ce texte d’une importance inégalée que je vous ai traduit en français et que j’ai agrémenté de mes commentaires (ces commentaires se trouvent entre crochets). Vic.

B. LES AVANTAGES ET INCONVENIENTS DE LA PUCE IMPLANTABLE POUR HUMAINS (p. 32-36)

1. Les utilisations potentielles (avantages) pour les micro-puces implantables passives :

[Je rappelle que les puces d’identification par radiofréquence passives sont celles qui ne s’activent que lorsqu’on passe un scanner au-dessus, et qu’elles ne possèdent pas de pile]

Il y a un éventail d'avantages à l'utilisation de micro-puces implantables passives pour humains.

• Les micro-puces implantables pourraient identifier le membre de l’armée, comme le fait à présent la carte militaire d'identification. Bien plus de données pourraient être contenues à l’intérieur de la micro-puce.
[Pour eux, c’est un « avantage »… vous remarquerez que le fait que la puce puisse contenir BEAUCOUP PLUS de données est un « avantage » aussi..]

• Contrairement à la carte d’identification militaire physique actuelle, un membre de l’armée ne pourrait pas perdre ou mal placer sa puce implantée, (excepté sa possible migration dans le corps). La probabilité du vol de l’UID ("User Identification Device" ou dispositif d'identification de l'utilisateur) du membre serait diminuée.
[Cette thèse date de 2001, et les arguments et utilisations présentés comme des « avantages », tels que celui-ci, sont ceux que Verichip Corp. nous sert aujourd’hui encore ! Remarquez bien que l’on parle du risque de MIGRATION DE L’IMPLANT DANS LE CORPS, qui est donc bien un DANGER REEL de la puce sous-cutanée !]

• La micro-puce implantée pourrait faciliter les événements routiniers avec une intervention limitée, et réduirait les erreurs administratives. Par exemple, le processus de vérification des membres de l’armée dans les infrastructures médicales pourrait être rendu plus efficace. Il y aurait moins de temps d'attente dans les queues dans le secteur de contrôle principal ou dans les sous-stations suivantes.
[Les arguments de facilité et de « commodité » sont bien évidemment présents, y compris pour l’armée. On remarquera que les mêmes arguments furent repris à 80% pour les civils ensuite.]

• Les transactions électroniques pourraient se réaliser facilement par le simple scan de la zone (du corps) dans laquelle la puce a été implantée. Le procédé de contrôle dans les infrastructures de support (par exemple, NEX et commissaire) pourrait être accéléré.
[Remarquez que l’on commence ici à parler de TRANSACTION. Ce n’est pas anodin ni innocent, et cela va se confirmer avec les points suivants.]

• La micro-puce implantée pourrait remplacer la nécessité de porter des cartes financières d'affaires et toutes les cartes de transaction électronique (crédit, débit, carte futée). Il n'y aurait aucun besoin de distribuer des cartes de crédit du gouvernement aux individus.
[VOICI LA PREUVE INDENIABLE QUE L’ON PREPARE, AVEC LES CARTES A PUCE ET A PUCES RFID, LA TRANSITION VERS LA PUCE SOUS-CUTANEE ! C’est très clair, il n’y a plus moyen de le nier !]

• La micro-puce implantée pourrait remplacer la nécessité de manipuler de l'argent cash.
[VOICI LA PREUVE ABSOLUE QUE LES PUCES IMPLANTABLES CHEZ L’ETRE HUMAIN SONT EGALEMENT UTILISEES POUR PARVENIR A UNE SOCIETE SANS ARGENT CASH, AVEC UNE SEULE DEVISE QUI SERA DEVENUE « VIRTUELLE » VIA LA PUCE !]

• La micro-puce implantée pourrait remplacer le permis de conduire et les cartes de sécurité sociale, ainsi que les registres de santé. Ce type de remplacement ou d'amélioration peut réduire l’égarement possible des documents papier. Il pourrait également éliminer de grandes quantités d'espace physique requises pour maintenir les documents comme nous le faisons actuellement. Les membres de l’armée ne devraient pas transporter physiquement les documents originaux d’une station à l’autre ou d’une infrastructure médicale aux infrastructures civiles si nécessaire. Les micro-puces implantables pourraient également offrir un registre continu de l'histoire médicale, réduisant l'erreur humaine.
[VOICI LA PREUVE ABSOLUE QUE L’ON COMPTE SUPPRIMER LES DOCUMENTS ET CARTES OFFICIELS AFIN DE LES REMPLACER PAR UN DOCUMENT UNIQUE QUI REPRENDRA LE NUMERO DE SECURITE SOCIALE, L’IDENTITE, LE FICHIER MEDICAL ET TUTTI QUANTI PAR UN SEUL DOCUMENT UNIVERSEL QUI SERA PLACE DANS VOTRE CORPS : LA PUCE IMPLANTABLE !!!]

• La micro-puce implantée pourrait remplacer l'utilisation de mots de passe « mémorisés » et le numéro d'identification personnelle (code PIN – Personal Identification Number) dans tous les aspects électroniques et dans tous les environnements.
[Et on poursuit les arguments de facilité… Vous remarquerez que cet argument d’entrée automatique via la puce qui remplace les « épuisants » codes à mémoriser a aussi été utilisé pour les applications civiles ET MEME… pour l’utilisation des souris biométriques à empreintes digitales que l’on trouve à présent dans les magasins d’informatique.]

• Avec un support fort entre la puce et son porteur, beaucoup de nouvelles utilisations sont possibles.
[Et on sait qu’ils sont particulièrement « imaginatifs » en ce qui concerne les applications dégueulasses à faire avec ce genre de technologie liberticide… Je vous parie que BIEN D’AUTRES applications ont été prévues, inavouables et si crapuleuses qu’on y a fait seulement allusion dans ce mémoire – cf. le contrôle mental, le contrôle physique, le contrôle des émotions et la possibilité de transformer l’être humain en un « posthumain » dont on nous parlait dans cette thèse.]

• La micro-puce implantée pourrait facilement accorder l'accès aux infrastructures sécurisées.
[Ici encore, on retrouve un argument que Verichip a repris aux militaires…cf. à ce propos l’utilisation de la verichip comme système de protection des bâtiments et des équipements.]

• La micro-puce implantée pourrait facilement accorder à des individus l'accès à divers terminaux informatiques et une gamme prédéterminée de sensibilité de niveau d’accès. Par exemple, on pourrait accorder à un individu possédant une puce qui a été vérifiée l'accès à un secteur secret, et une fois à l’intérieur de cette zone, on pourrait lui permettre l’accès supplémentaire à une zone top secrète logée à l’intérieur de la zone secrète de niveau 1 .
[Cette application « va de soi » lorsque l’on sait que la puce implantable est destinée à remplacer toutes les cartes magnétiques, à puce et à puce RFID…]

• La micro-puce pourrait être utilisée en même temps que les armements futés. Par exemple, des armes pourraient être conçues avec une puce et seraient programmées pour ne pas déclencher la mise à feu, à moins qu'un utilisateur autorisé de façon appropriée soit identifié.
[Nous savons que ce concept « d’armes intelligentes » fonctionnant en coordination avec la verichip est en train d’être développé par le fabricant d’armes FN Herstal et l’ignoble compagnie Verichip Corp. On ne nous parle pas beaucoup des progrès effectués dans cette direction… un « hasard » ? Ou bien cela reste-t-il, pour l’instant, un "projet classifié" des militaires ?]

• Les zones sécurisées et les capitaux de grande valeur resteraient verrouillés jusqu'à ce qu'une personne possédant une micro-puce corresponde à l'information d'accès préréglée. Ceci pourrait éliminer le besoin de gardes de sécurité humains.
[Protection des équipements et des biens de valeur. Une fois de plus, Verichip a repris et développé cette application pour son infâme puce sous-cutanée pour humains. On voit que cela risque encore une fois de supprimer des applications humaines, donc des emplois…]

• Peut-être que les téléphones pourraient passivement indiquer votre identification positive via la micro-puce et la transmettre à ceux avec qui vous parlez, au lieu d'envoyer simplement votre numéro de téléphone. Ceci pourrait être une possible méthode avancée d'identification du correspondant .
[Voilà pourquoi les GSM et autres téléphones cellulaires suivent la mode du paiement par voie électronique, des puces RFID et autre. L’application d’identification automatique du correspondant est donc une nouvelle application prévue pour la puce implantable. Il y a fort à parier que Verichip Corp. ou qu’une compagnie de téléphonie mobile, en collaboration avec Verichip Corp. , proposeront ce service odieux d’ici peu de temps…]

• La micro-puce implantée pourrait être utilisée comme un dispositif universel national d'identité et chaque humain pourrait en avoir une.

2. Les utilisations potentielles (avantages) pour les micro-puces implantables actives :

[Je rappelle que les puces d’identification par radiofréquence actives sont celles qui émettent et reçoivent des informations EN CONTINU – ET A L’INSU DU PORTEUR – et qu’elles possèdent une pile ou un moyen d’alimentation en énergie]

Les avantages des micro-puces implantables actives sont énumérées ci-dessous.

• La puce implantée pourrait être utilisée pour localiser le personnel militaire absent (ou disparu). Les membres de l’armée qui peuvent être AWOL (absent without leave = déserteurs), prisonniers de guerre, en congé, ou en liberté.
[On peut déjà imaginer ce qui arrivera aux déserteurs pucés : on les retrouvera assez vite… et one les PUNIRA ! Ceci ne se passerait bien entendu que dans le cas où le contrôle mental causé par la puce venait à s’affaiblir pour une raison ou l’autre… On imagine aussi avec frayeur ce qui pourrait arriver aux prisonniers de guerre du camp ennemi capturés et pucés, torturés voire placés dans un camp de torture ou de concentration…la puce, contrairement au tatouage avec lequel les nazis marquaient les prisonniers des camps d’extermination, ne permettrait AUCUNE évasion, puisque le sujet serait toujours sous contrôle mental, et de toute façon repérable par satellite ! Les survivants éventuels seraient donc bien moins nombreux ! ]

• La puce implantée pourrait être utilisée pour aider à localiser et pister les enfants, adolescents, personnes âgées, et les êtres qui vous sont chers. Par exemple, si une personne est impliquée dans un accident mais que son corps ne peut pas être vu, la micro-puce active pourrait aider à localiser l'individu qui pourrait être en danger mortel.
[VOICI DONC UN HORRIBLE AVEU (dont nous nous doutions déjà depuis longtemps) : LES ENFANTS ET ADOLESCENTS SONT VISES PAR CETTE IMMONDE PUCE IMPLANTABLE, LES VIEILLARDS AUSSI, ET EN DEFINITIVE, TOUT LE MONDE, PUISQUE LE BUT EST UNE APPLICATION « UNIVERSELLE » !]

• La puce implantée pourrait contenir des données biométriques numériquement encodées. Une fois que la puce implantée a été scannée pour (obtenir) l’information, l’information de sortie pourrait être une image projetée de "l’utilisateur" et de ses statistiques vitales dans des buts d'identification. Cette information pourrait probablement être montrée sur "un tableau futé", un dispositif oculaire ou du matériel d'interface visuel. De possibles effets vocaux de l'individu possédant la micro-puce implantable pourraient également augmenter les caractéristiques biométriques d'identification.
[Des machines destinées à MONTRER les informations contenues dans la puce ont donc été prévues… MAIS OU SONT DONC CES PRINCIPES DE DISCRETION, DE "VOLONTARIAT" ET DE PROTECTION DES DONNEES QUE LES COMPAGNIES DE PUCES IMPLANTABLES ONT PRETENDU DEFENDRE JUSQU’ICI ???]

• De potentielles micro-puces implantables dans des membres de l’armée pourraient probablement fournir des statistiques "en temps réel" des ressources humaines à un endroit particulier (ou sur le champ de bataille). Ces données pourraient être retransmises pour demander des ordres. L'utilisation d'une langue universelle prédéterminée comprise par tous les membres de l’armée pourrait être exigée pour stimuler une prise de décision précise.
[Bref, les puces serviraient aussi à gérer la « chair à canon » présente sur un champ de bataille. Ceux qui dirigeraient les manœuvres à des milliers de kilomètres de là s’amuseraient, en quelque sorte, à jouer à une espèce de Stratego géant sur des écrans spéciaux, bien enfoncés dans un bon fauteuil confortable…]

• Des micro-puces implantables pourraient être utilisées dans le transfert de l'information d'un humain à l'autre (ou à un groupe). Par exemple, le scénario mentionné ci-dessus pourrait imiter les possibilités actuelles des assistants numériques personnels tenus dans la main (PDAs ou palms) quand on transfère l'information à chacun.
[Retenez bien ceci : avec cette horrible puce implantable, on pourra transférer les informations (ou les ordres) A TOUT UN GROUPE D’INDIVIDUS, et les faire OBEIR (contrôle mental) !]

3. Les risques potentiels (inconvénients) de l'un et l'autre type de micro-puce implantable

Il y a de nombreux problèmes potentiels avec la micro-puce implantable. Cette section en énumère plusieurs.

• Une nuisance physique et des activités malveillantes pourraient être menées sur les humains qui possèdent des micro-puces implantables. Le vol d'identité potentiel pourrait être le résultat désiré de ce comportement offensif.
[REVELATION ! ON VIENT DE VOUS LE DIRE : LE RISQUE D’UTILISATION MALVEILLANTE ET POUR NUIRE PHYSIQUEMENT A UN OU DES INDIVIDUS EST POSSIBLE, ET SERA APPLICABLE !!!]

• La capacité de mettre à jour et d'entretenir les micro-puces implantables est risquée et discutable en ce moment. Si le besoin se fait sentir de corriger la fonction opérationnelle de la micro-puce, les efforts pour implanter à nouveau une puce réparée peuvent ne pas valoir l'effort de l'entretenir. La méthode moins envahissante pour administrer la nouvelle puce est préférée. Il est douteux que la ré-administration facile d'une micro-puce puisse être accomplie considérant le fait de la vitesse à laquelle notre technologie change.

• La gestion de la base de données est un souci important lorsque l’on réfléchit à l'implantation d’une micro-puce. Il faut réfléchir aux questions concernant qui contrôlerait les données contenues dans le système de base de données. Par exemple, quelle entité est suffisamment fiable pour être responsable de le gérer? Comment contrôle-t-on et empêche-t-on l'accès non autorisé à ces données (subversion de la base de données) ?
[ATTENTION ! Chers amis, vous venez sans doute de comprendre la VERITABLE RAISON PROFONDE pour laquelle tant de BASES DE DONNEES CENTRALISEES sont en train d’être actuellement constituées : SANS ELLES, LE SYSTEME INFECT DE LA PUCE IMPLANTABLE NE PEUT ( pour l’instant !) FONCTIONNER !
Et le problème pour les ordures qui dirigent le système est de trouver des larves suffisamment soumises que pour être lécher les pieds de leurs maîtres putrescents, pour rester FIDELES coûte que coûte au système démoniaque et pour AIDER A MANIPULER et CONTROLER l’ENSEMBLE de la POPULATION.]

• Les craintes du public que l’on mette en application un programme humain d'implantation de la micro-puce surgiraient si la considération antérieure des effets des deuxième et troisième points n’est pas prise en compte. Ceci soulèverait le doute quant à l'efficacité et à l'intégrité des données contenues sur la puce.

• Les micro-puces implantables pourraient causer des craintes que la vie privée personnelle se détériore gravement, ou pire, cesse d'exister. Ceci est un problème d'intérêt particulier lorsque les gens ressentent qu’ils sont sous surveillance 24h/24, spécialement dans les confins de leurs domiciles.
[ATTENTION ! ON VIENT DE RECONNAITRE IMPLICITEMENT QUE LES PUCES IMPLANTABLES REPRESENTENT UN RISQUE SERIEUX POUR LES DROITS, LES LIBERTES, LA VIE PRIVEE ET LA DEMOCRATIE VERITABLE !!! Vous noterez bien (et ce n’est ni innocent, ni un « hasard ») que l’on fait référence à une SURVEILLANCE PERMANENTE DES CITOYENS, JUSQU'A L’INTERIEUR DE LEUR DOMICILE !!!]

• La preuve indéterminée ou peu concluante concernant les effets des émissions par radiofréquence sur la santé est un souci.
[Et nous savons aujourd’hui par d’autres articles plus récents que les émissions radiofréquence des RFID sont NUISIBLES pour la santé et cassent la chaîne d’ADN. Les puces implantables sont donc UN DANGER POUR LA SANTE – physique ET mentale !]

• Les gens pourraient avoir des craintes et des doutes quant à l'intégrité des données de la micro-puce implantable provenant du fabricant. Il y aurait des soucis de fraude au niveau de la fabrication. Les procédures de sécurité du fabricant et les politiques (mises en place) exigeraient une gestion hautement rigoureuse de la configuration et une régulation.
[Si on vous prétend un jour que la puce implantable est un moyen absolument infaillible et anti-fraude, vous saurez que cela est tout à fait FAUX. Ce paragraphe est là pour vous le rappeler.]

• Les individus auraient également des soucis par rapport à l'intégrité globale des données à l'endroit de la distribution de l’entité. Un exemple serait que quelqu'un désire une garantie qu’un mauvais dispositif d'identification ne soit pas implanté en lui. Puisque les individus ne peuvent pas voir ni toucher facilement le numéro d'identification, leur nouvelle utilisation serait minimale, si toutefois elle existe. En outre, les individus pourraient remettre en cause l'utilisation de lecteurs non autorisés, ou des dispositifs de lecture.
[Voici encore des problèmes qui font peur aux technocrates, mais que l’on tentera de passer sous silence, ou pour lesquels on trouvera une habile parade emballée dans un beau papier marketing, avec en prime le sourire de faux-cul du vendeur).]

• Bien que les puces actives puissent offrir des possibilités de lecture/écriture, à la différence des mots de passe, une fois qu'un numéro d'identification est créé pour une puce, il ne peut pas être facilement changé selon le désir secret des utilisateurs.
[C’est évidemment le but des ordures qui dirigent le monde ; que CHAQUE INDIVIDU reçoive une puce et un numéro UNIQUE qu’il gardera de la naissance à la mort !]

Comme on recherche tout progrès dans le secteur de la micro-puce implantable pour humains, une considération et une pensée sérieuses doivent être dirigées vers le souci tout aussi important des divers problèmes philosophiques et intangibles. Ces soucis seront abordés dans le prochain chapitre.

Après que les bracelets électroniques RFID aient fait leur apparition en France, au Royaume-Uni et en Belgique "contre les criminels", puis "pour protéger les... BEBES dans les hôpitaux", soi-disant "contre le kidnapping" , voici que c'est CONTRE LES PERES EN RETARD DE PENSION ALIMENTAIRES (non plus des criminels, mais des gens en INFRACTION, donc) QUE L'USAGE DU BRACELET GPS EST INVOQUE, AU ROYAUME-UNI (POUR COMMENCER) !!!

Le tout sous les mêmes pseudo-raisons "économiques", "sécuritaires" et démagogiques que d'habitude... Des prétextes faciles pour le CONTROLE DES POPULATIONS ET LA SURVEILLANCE A TOUT INSTANT DES INDIVIDUS !

L'idée de cette mesure provient, une fois de plus, d'un MINISTRE POURRI : John Hutton, ministre britannique de l'Emploi et des Pensions. Et si le ministre de l'Emploi et Pensions pense au bracelet RFID pour les pères en retard de paiement de pensions alimentaires, POURQUOI N'EN FERAIT-IL PAS DE MEME POUR LES... CHOMEURS (qui sont en "infraction d'emploi" ) ???

Chers amis, vous pouvez donc constater que la DERIVE dictatoriale dont je vous ai entretenus depuis si longtemps n'est donc pas une fable ni un délire de "parano", MAIS BIEN UNE TRISTE REALITE !
Vic.

Source : journal belge "Metro" ( http://www.freemetro.be ) du jeudi 06 kanvier 2005, page 1.

COUVRE-FEU POUR PERES INDIGNES

Londres - Les pères britanniques en retard de paiement de pensions alimentaires seront-ils prochainement privés de sortie le soir ? C'est du moins l'une des solutions qu'étudie le ministre britannique de l'Emploi et des Pensions, John Hutton, pour obliger les pères de famille à assumer leur progéniture.

Parmi différentes mesures, celui-ci envisage en effet ainsi de contraindre les pères indélicats à rester chez eux le soir, sanction dont le respect serait garanti par le port obligatoire d'un bracelet électronique.