gardien intransigeant du dogme ! Défenseur de l'Orthodoxie, le Fondamentalisme et l'Intégrisme Catholique (car pour lui c'est la seule vraie religion) et L'Enforceur ou le Panzer (char d'assault allemand de la 2e guerre mondiale qui avance sans se soucier ce qu'il écrase sur son chemin) de la nouvelle Inquisition pour ne pas dire du fachisme religieux en préparation avec la collaboration du bastion interne du Vatican, l'Opus Dei, dont font parties beaucoup de nos membres du gouvernements et Kovenbach, surnommé le Pape Noir reliés à la "Haute Franc-Maçonnerie Internationale" et la Banque du Vatican. Ils dirigent de loin les extrémistes de droite, évangélistes et tous les nouvelles sectes fondamentalistes dirigées par les évangélistes. Né d'un père gendarme et engagé dans la jeunesse hitlérienne contre son gré, il fuiya son peloton d'armée à la fin de la 2e guerre mondiale pour se réfugier chez les américains. La ceinture de la Bible qui tenait les pantalons de Bush a jouer un grand rôle dans sa ré-élection. Bush promit aux fondamentalistes et intégristes mer et monde au nom du Christ qui l'aurait choisi pour lutter le Mal, c-à-d, tous ceux qui s'opposent au Nouvel Ordre Mondial de la clique à son père, les Illuminati. Il ne faut jamais oublié que Jean-Paul 2 avait "incité" les fidèles chrétiens du monde en 2004, à se joindre au Nouvel Ordre International, afin d'éradiquer la faim, la pauvreté et la violence dans le monde. WOW ! Quelle bonne nouvelle ! Mais de quoi parle-t-il ? Ne connait-il pas les acteurs qui sont derrière cet agenda ? Bien entendu ! Ratzinger, élu Pape Benoît XVI, a été formé, de lÉcole Gardienne jusquà la fin de lÉcole Secondaire, dans la meilleure tradition de lÉlite Hitlérienne. Il a aussi suivi des cours théoriques et pratiques pour devenir "Führer". C'est Rat-zigner qui dans une lettre adressée au Cardinal Théodore E. McCarrick de Washington, conseillait au clergé de refuser la communion aux supporters des droits à l'avortement et de ne pas appuyer les candidats électoraux qui appuyaient l'avortement. Plusieurs évêques américains refusèrent de se plier à cette exigence en disant qu'ils devraient aussi la refuser à ceux qui prônent la guerre et la peine de mort. Maurice Duplessis était également contre l'avortement mais il préférait placer les enfants dans des orphelinats et exposer les filles-mères à la méprise et disgrâce totale de la communauté. Demandez aux enfants de Duplessis s'ils ont appréciés les asiles d'aliénés dans lesquels, sous la bonne grâce de l'Église Catholique, ils ont été expédiés. En plus, aux dernières élections étatsunienne, il incita les fidèles à voter pour G.W. Bush en disant que Kerry était un grand pêcheur qui favorisait le droit des femmes à l'avortement... Les droits des gais... etc. etc. Kerry était trop libéral pour ce cardinal inquisitioniste. Il a décidé de régner sous le nom de Benoît XVI et son apparition a été saluée par des acclamations aux émotions moyennes et surprises. Beaucoup était déçus. La prophétie de Malachie semble se confirmer du fait qu'il était bénédictin et que leur symbole était l'olivier. Qu'il serait aussi l'avant-dernier pape et que le dernier serait le dernier. Ça fait bien du sens au train où les événements se dévoilent... Il était le grand confident de Karol Wojtyla, Jean-Paul 2. Mais c'est Ratzigner qui proposa Wojtoyla au titre de cardinal. Ça faisait déjà un petit bout de temps que ces deux-là trinquaient le vin ensembles. En 1981, Karol choisi Ratzigner pour ramener l'Ordre de l'Inquisition parfois surnommé "la Sainte Office" l'équivalent de la NSA aux É-U) et la souder à l'Opus Dei (l'équivalent de la CIA aux É-U). C'est Ratzigner qui essaya d'étouffer, minimiser et banaliser auprès des médias, en les accusant de gonfler l'affaire hors proportion, les 12.000 accusations d'agression sexuelle que l'Église avait subit en dedans de quelques années. C'est quand même un nombre significatif de victimes. Tout cela fait évidemment partie de l'agenda des Illuminati pour affaiblir d'un côté le pouvoir de l'Église Romaine et fomenter une guerre mondiale de toutes les religions en préparation à la religion universelle bien orchestrée qui se prépare en secret dans les coulisses des hautes sphères des "planificateurs" du futur de cette planète. In clergy sex abuse epicenter, Ratzinger's selection seen to block to reform efforts ABUSE TRACKER A digest of links to media coverage of clergy abuse. ___________________________________ Source de l'article ci-bas: He shares the view of the Polish
Pope ... that only a united Catholic Church with absolute values
can stand against totalitarianism and the temptations of Western
materialism. The cardinal was shocked by the reforms of the Second
Vatican Council in the 1960s, when the old certainties gave way
to intellectual and theological debate. ... The cardinal has
also condemned Buddhism, Hinduism and other Eastern religions
as offering false hope through "auto-erotic spirituality",
accused the media of exaggerating the extent of the pedophilia
scandals in the North American Church and encouraged a return
to the Latin Mass. ____________________________________ A dozen U.S. cardinals. The ranks
include two, Bernard Law of Boston and Edward Egan of New York,
accused of shuttling pedophile priests among parishes, of covering
up their own mismanagement and of caring more for their own image
than ministering to hundreds of victims.
"This is the church of Mary Magdalene. We believe in forgiveness," says Sister Mary Ann Walsh, a spokeswoman for the bishops' conference. Eight of the cardinals lead major dioceses in the USA; three, including Stafford, are based in Rome. Cardinal Avery Dulles, a theologian and priest, will attend. The ailing Cardinal James Hickey of Washington, D.C., who retired in 2000, will not make the trip. The highest-ranking cardinals
of the curia, the church's governing arm. They'll be led by archconservative
heads of Vatican offices: German cardinal Joseph Ratzinger of
the Congregation for the Doctrine of the Faith (once known as
the Inquisition) and Colombian Cardinal Dario Castrillon Hoyos
of the Congregation for the Clergy.
Se site expose tous les abus sexuels
qui ont été perpétré par l'Église.
|
LE PAPE DÉJÀ CHOISI PAR JEAN-PAUL 2 Wojtyla s'était assuré que son protégé Ratzi entre premier dans la course en nommant des dizaines de cardinaux quelques semaines avant sa mort, assurant ses maîtres de perpétuer ce qui avait été mis en place, c-à-d, la centralisation du pouvoir catholique romain au Vatican et enlevé tous les pouvoir de décision au évêques et cardinaux des diocèses. La banque du Vatican va bon train en blanchissant l'argent infecte de la CIA et autes institutions machiavélique et en frappant sa propre monaie. Voici un article qui parut quelques jours avant les élections du conclave pour vous démontrer que tous savaient qui seraient élu, enfin tous ceux qui avaient à le savoir, mais je n'ai pas enlevé les éloges hollywoodiennes à faire suer toute personne qui se respecte et les demi-vérités de l'information d'un journaliste qui tient à son job. : VATICAN [Voici un papier qui, cinq jours à lavance, donnait tous les détails sur le nouveau pape aujourdhui connu, et qui décrit surtout sa mission de transition] À partir du 18 avril, les cardinaux de l'Église catholique seront réunis en conclave pour choisir un nouveau pape. Jusqu'à ce qu'un nouveau pape soit élu, La Presse publiera une série de portraits des candidats les plus en vue. Dossier «Jean-Paul II nous regarde maintenant de la fenêtre de la maison du Père, il nous voit et il nous bénit.» Ce très beau passage de l'homélie du cardinal Joseph Ratzinger, durant les funérailles de Jean-Paul II vendredi dernier, en a surpris plusieurs. Mgr Ratzinger est mieux connu comme théologien que comme pasteur. Et pourtant, son homélie était émouvante, rappelant habilement plusieurs paroles et gestes du pape pour montrer qu'ils se poursuivent dans l'au-delà. Il n'en fallait pas plus pour que sa cote de papabile monte en flèche. Son nom est cité comme «pape de transition»: vu qu'il aura 78 ans samedi, et que sa santé a connu des défaillances au 21e siècle, son pontificat ne durerait probablement pas très longtemps, ce qui permettrait de passer plus facilement à l'après-Wojtyla. Des vaticanistes ont annoncé hier que Mgr Ratzinger recueille déjà 40 voix, sur les 77 nécessaires pour être choisi. «S'il est élu, ce sera à cause de son homélie des funérailles, estime Gunther Lawrence, juif qui dirige le Centre d'information interreligieuse à Washington, et qui organise cette semaine une conférence à Rome pour des journalistes américains spécialisés en religion. En plus, il y a la proximité des Journées mondiales de la jeunesse, cet été à Cologne: si le nouveau pape ne parle pas allemand, la comparaison avec Jean-Paul II sera nécessairement difficile. Les JMJ étaient des moments forts pour Jean-Paul II.» Né en Bavière d'un père gendarme, Mgr Ratzinger a été baptisé la veille de Pâques. Cela lui a inspiré une mystique toute allemande. «Ma vie a été immergée dans le mystère pascal», a-t-il expliqué dans sa biographie Le Sel de la terre, dont le titre évoque un passage de l'Évangile selon Matthieu, selon lequel la foi doit être pour le monde ce que le sel est au pain. Il a ensuite étudié avec un théologien allemand célèbre, Urs von Balthazar, dont la pensée- parfois appelée «théologie à genoux»- joint elle aussi une exaltation de la beauté de la foi et une rigueur morale traditionaliste. Mgr Ratzinger, qui n'a jamais été pasteur, a participé au concile Vatican II comme secrétaire du cardinal allemand réformiste Jozef Frings. Son ardeur réformiste s'est ensuite refroidie, et en 1981, il a été nommé préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, qui veille au respect du magistère catholique par les théologiens et le clergé. Il est proche de l'Opus Dei, un mouvement laïque traditionaliste et a écrit une bonne partie de l'encyclique Dominus Iesus qui, en 2000, a réaffirmé la primauté de l'Église catholique, refroidissant les relations avec les autres chrétiens et les autres religions. Avortement Deux épisodes montrent l'impact qu'a eu Mgr Ratzinger sur l'Église, et expliquent pourquoi il est surnommé Panzerkardinal par les médias, en référence aux tanks allemands de la Deuxième Guerre mondiale. Pendant 15 ans, le président de la CEA, Walter Kasper, a été ignoré lors des nominations de cardinaux parce qu'il est en faveur de la communion aux divorcés. La recommandation venait directement de Mgr Ratzinger, selon les vaticanistes. À la fin des années 90, Mgr Ratzinger a obligé la CEA à cesser de participer aux centres de consultation sur l'avortement. Une visite à ces centres était obligatoire pour qu'une femme ait un avortement. Chaque année, 20 000 femmes s'y rendaient, et 5000 d'entre elles se laissaient convaincre de garder leur enfant. La CEA considérait que participer aux centres permettait de sauver 5000 bébés. Mais Mgr Ratzigner voyait surtout que la CEA donnait son assentiment à 15 000 avortements par année. Pardon pour le présent Durant son homélie du chemin de croix, qu'il célébrait cette année à la place de Jean-Paul II, Joseph Ratzinger a bâti sur un thème cher à Jean-Paul II, le pardon. Mais au lieu de demander pardon pour le passé, il l'a fait «pour les erreurs du présent». «Seigneur, ton Église semble une barque sur le point de couler. Les vêtements et le visage sales de ton Église nous inquiètent. Mais nous les salissons nous-mêmes. Nous-mêmes te trahissons chaque fois, malgré nos grands discours, malgré nos grands gestes.» Vraiment, s'il est élu pape, le Panzerkardinal poussera la mystique wojtylienne à des niveaux insoupçonnés. |
Autre article sur l'élection de Ratzigner Christian Spillmann Associated Press Cité du Vatican
Sécularisation :
Clonage : Interdiction de la prêtrise
des femmes : |
Autre article qui me fut envoyé par courriel que j'ai choisi de partager avec vous dans un esprit de libre-penseur et non-raciste qui relie quelques informations et points de vue pertinents: Après "les juifs du pape", le "pape des juifs" On les a longtemps connus sous le nom de "Juifs du Pape". Lorsque la papauté s'est installée à Avignon, ou "en" Avignon, comme le disent certains, les juifs qui faisaient le business de l'état temporel de l'Église ont suivi. Ils ont prospéré parce que le pape, comme presque toujours l'Église catholique, a protégé les juifs contre le désir de revanche que soulevaient parfois leurs exactions financières. Toute cette longue litanie de "malheurs" des juifs au cours des temps mérite un grand coup de révisionnisme. Après le retour de la papauté à Rome, les juifs sont restés dans le Comtat, autour d'Avignon. Pendant longtemps ils furent les seuls juifs "français". Ceux de Bordeaux étaient des Portugais et ceux d'Alsace des Allemands. Sautons les étapes et arrivons à la seconde guerre mondiale. Le Pape et l'Église catholique de Rome ont protégé les juifs contre les lois raciales que l'infortuné Mussolini a dû signer en contrepartie du soutien des Allemands. Des milliers de juifs furent cachés dans les innombrables couvents de la Ville Éternelle. Après guerre la gratitude fut telle que le Grand rabbin de Rome choisit de se convertir! C'est avec la création (NdN: des Rothchild.) de l'État dit d'Israël (un nom historique parfaitement usurpé) que s'est développée une guerre visant à détruire l'Église catholique qui refusait de se soumettre, comme les bons protestants, à la volonté des sionistes redoutant l'influence chrétienne au Moyen-Orient. Une énorme campagne de calomnie était lancée contre Pie XII, pape pendant la guerre. (NdN: décidément on aime fabuler sur les grands personnages. Eugenio Pacelli, l'ex-nonce apostolique de Berlin qui signa un concordat avec Hitler et jouait aux cartes des deux côtés de la table, fut élu pape en 1939. Coïncidence ? Il détenait une vaste expérience politique et est issue d'une famille riche et très influente. La famille Pacelli était lié au Vatican depuis 3 générations et appartenait à la petite "aristocrassie" papale. Mêlé aux accords de Latran, une des grande arnaque du Vatican, ses trois frères se trouvent très bien placés au sein de l'Église romaine. Pacelli était si imbu de lui-même qu'il s'installa un petit trône papal dans son ascenseur privé. Je vous recommande fortement de lire le livre "Les Héritiers de l'Impérialisme Romain" dans lequel vous retrouverez tous les détails de cette histoire et celle de la chronologie des papes). Des manuvres forcenées aboutirent, au concile de Vatican II, à modifier l'attitude traditionnelle de l'Église sur la question de ses rapports avec les juifs. Mais elles ne parvinrent pas à réviser les textes, en particulier celui des Évangiles relatant la mort de Jésus. Puis vint le pape Wojtyla, premier pontife polonais, qui prit le nom de Jean-Paul II. (Mais il a oublié le pape Jean-Paul 1er qui fut assassiné ou empoisonné après 33 jours de reigne). Au début, il a semblé un peu dur à la détente et il s'est montré réticent à suivre le chemin indiqué par les docteurs juifs. Et finalement, il a peu à peu accepté de se courber et de passer sous le joug. Il a fait pression sur les carmélites installées à Auschwitz, qui étaient dans leur bon droit. Il a fini par reconnaître politiquement Israël, alors que ses prédécesseurs, gardiens de la Terre Sainte, s'en étaient bien gardés. Il est allé se ridiculiser à la synagogue de Rome, en leur donnant du "grand frère". Il a cardinalisé le juif Lustiger, archevêque de Paris (NdN: retraité de son clergé de Paris et de la cthédrale de Notre-Dame, vous verrez, il deviendra l'un des conseillers privés de Ratzigner). Il a ralenti et bloqué le procès en canonisation de Pie XII. Il a fini par se rendre en Israël pour faire un petit rite absolument païen, en glissant un papier dans le mur du Kotel, prétendument mur du Temple de Salomon. Il y faisait acte de "repentance" pour des crimes imaginaires. Bref, il a gagné ce beau surnom, qui lui a été octroyé par tous les satanés rabbins, de "pape des juifs". Inutile de dire que beaucoup de bons chrétiens vont se sentir bien débarrassés par le décès providentiel de ce lèche-juif. Le nouveau pape a fait partie de la Hitlerjugend. Involontairement dit-il. Il avait 12 ans, dit Michels, l'exécuteur des basses uvres du centre Wiesennéanderthal à Paris. Or il avait 17 ans en 1944... Il faut garder à l'esprit qu'il a été le bras droit de Jean-Paul II et qu'il a depuis longtemps donné des gages à la clique des rabbins fanatiques. D'après eux, c'est lui qui a fourni la manipulation théologique qui a permis le "rapprochement", c'est-à-dire la subordination. Les juifs n'ont pas encore obtenu l'essentiel de ce qu'ils demandent: la réécriture radicale des origines du christianisme. Ces juifs sont donc révisionnistes: ils veulent la révision de cet ensemble littéraire qui est appelé "Histoire Sainte". On a bien vu la sarabande qu'ils ont menée l'an dernier au moment de la sortie du film de Mel Gibson sur La Passion. Le plus énorme, dans cette histoire, c'est que leurs propres textes, dans le Talmud, expliquent très bien comment les juifs de l'époque ont fait condamner celui qui leur paraissait un faux messie et comment ils ont manipulé les Romains pour le faire exécuter. Il y a une sorte de concordance entre les sources chrétiennes, très précises, et les sources juives, très explicites, sur le fait que les juifs officiels ont fait tuer le personnage de Jésus-Christ. C'est ça qu'ils veulent aujourd'hui faire effacer des tablettes où cette histoire (vraie ou fausse, on ne peut pas la vérifier et c'est une tout autre question) est gravée depuis près de 2000 ans... A notre avis, on doit s'attendre au pire et à la judaïsation complète de l'Église catholique, à moins d'un ultime soubresaut. |
Pour comprendre la situation actuelle du Vatican et son implication dans le monde, autre que de canoniser des saints et béatifier des bienheureux, voici un très bon apreçu de ce que vous retrouverez dans ce livre. "La banque du Vatican" commande 950 millions $ de titres forgés, en 1971 Sur la quatrième de couverture
du livre de Richard Hammer Vatican Connection, publié
en 1982, on peut d'abord voir des photocopies d'articles de trois
journaux français de juillet de cette année-là
: Le Figaro titre : Enquête à la banque du Vatican;
Libération écrit : Les financements pas très
catholiques de la |
Autre extrait du livre "Les
Héritiers de l'Impérialisme romain" sur la
mort "mystérieuse de Jean-Paul 1 qui aurait peut-être
été capable de réduire « en miettes
» la clique corrompue du Vatican, s'il n'était pas
mort prématurément. À la suite de cette disparition mystérieuse, Karol Wojtyla (Jean-Paul II) devient pontife en octobre 1978. L'élection d'un pape polonais, ... embêtement pour l'URSS.
Le signe du 666 fait avec la main...
|
Faites les liens ! |
En octobre 1978, l'encombrant Albino Luciani étant disparu, l'évêque Marcinkus est demeuré solidement en selle. Sa biographie mouvementée n'est pas terminée. Sur la photo (rare), ci-devant, le cardinal Marcinkus qui ouvre le chemin à Jean-Paul II. Précisément à
l'époque où devait s'effectuer la livraison des
950 millions$ de titres forgés commandés par la
Sacra Congregazione dei Religiosi, en septembre 1971, la presse
italienne faisait de plus en plus état des liens existant
entre l'évêque Marcinkus et le financier Michele
Sindona, qui s'était taillé en quelques années
un empire international de quelque cent cinquante entreprises
de tous genres. Il était déjà su, à
ce moment-là, que la Sacra Congregazione avait misé
des centaines de millions de dollars dans l'empire sindonien.
Pour être plus précis, il est certain que la «
pieuse » institution de Marcinkus et le groupe Sindona
avaient ensemble des intérêts considérables
dans les firmes suivantes, au moins : la Finabank et la Banque
de Financement de Genève, en Suisse; la Fasco International
Holdings, au Luxembourg; l'Edilcentro International, aux Bahamas
(où, de plus, l'évêque Marcinkus était
administrateur de la Cisalpine Overseas Bank of Nassau) ; la
Banca Union |
D'abord, il faut savoir que la
Banque du Vatican (... la Sacra Congregazione dei Religion ou
l'Institut pour les OEuvres de la Religion ...), fondée
en 1942 par l'aristocrate Eugenio Pacelli (Pie XII) et placée
sous l'autorité directe du pape, est loin d'être
le seul instrument financier de «l'Église des Romains».
À ses côtés, beaucoup d'autres organismes
manipulent en effet des sommes énormes. En voici les principaux. En 1982, Wojtyla écrasa
du poids de son autorité pontificale les dernières
résistances, encore nombreuses, et accorda à l'Opus
Dei ce qu'elle machinait d'obtenir depuis des décades
: le statut de « prélature personnelle »,
unique dans « l'Église romaine ». Si le prochain
pape est un membre avoué ou secret de « la Pieuvre
», le mérite en reviendra certainement à
Wojtyla. Ce futur pontife sera peut-être l'actuel chef
de l'Opus, Alvaro del Portillo y Diez de Sollano, successeur
d'Escriva. Quant à ce dernier, déjà depuis
1981, ses disciples et admirateurs, c'est-à-dire plus
de la moitié du Sacré Collège et du tiers
des évêques, intriguent pour le faire canoniser.
Ils ont fini par réussir. Wojtyla l'a canonise récemment. Faisons une petite révision
du dernier siècle de corruption politique et monétaire...
351-354 |
Le règne de Benoît XVI sera court, sa santé étant précaire et son rôle aussi. Il ne se rendra pas en 2012. Comme il faut inverser les affirmations des Illuminati pour en comprendre leur sens réel, l'unification de l'Église romaine qu'il prône virera en déchirement entre male et femelle du clergé et une division totale entre les intégristes/fondamentalistes catholiques et les progressistes chrétiens prévaudra la naissance d'une guerre des religions mondiales, chacun voulant tenir son bout du bâton et se refusant d'accepter les règles, prophètes et commandements des autres. La terre s'entretuera pour savoir qui avait le "bon" Dieu. On dit de lui que c'est un grand théologien. Le pauvre. S'il avait vraiment posséder quelques rudiments ou vraies connaissances dans la science de Dieu, il aurait su depuis longtemps que la religion chrétienne en est une d'astrothéologie comme bien d'autres, que les évangiles rafistolés du 3e siècles sont des faux et que l'histoire de Jésus les a rendu très riches et puissants. Beaucoup d'apôtres étaient mariés dans l'histoire des évangiles et jamais Jésus n'a prétendu forcer les apôtres à pratiquer le célibat. Le fait que Ratzi ne veuille pas des femmes en prêtrise ou de prêtres mariés fera qu'il perdra beaucoup d'adeptes. Évidemment le pape qui lui succédera nous fera oublier celui-ci et instaurera avec les autres chefs religieux un premier exposé de la future religion universelle. Le Dalaï Lama sera sûrement de la photo avec le révérend Moon, Billy Graham et Pat Robertson. Et qui sait Raël tant qu'à y être ! La farce des religions continue. Heureusement que je n'ai pas besoin de cette maladie pour être un être moral de compassion, de respect et d'entraide envers mes prochains et la créations. L'amour n'appartient pas à la religion. Elles est un état d'être et non une institution |
Imaginez, si'il s'agissait de
lui, le fait qu'il devait s'appelait Retinger... ci-bas, photo de Kovenbach. extrait : Le général des Jésuites (le chef) est si puissant qu'il est appelé le "PAPE NOIR". D'autres loges secrètes infiltrèrent en force l'Eglise catholique pendant la Deuxième Guerre mondiale. Ce fut le cas, entre autres, de l'OSS (le précurseur de la CIA), du MI6, des membres du "BLACK NOBILITY" italien, des francs-maçons et de la loge P2 (Propaganda Due) ; toutes ces loges étaient sous la protection du "Comité des 300". La loge "P2" est la loge franc-maçonnique la plus influente en Italie. La "GRANDE LOGE DU VATICAN" y est annexée, c'est elle qui fut a l'origine du "Scandale P2" en 1976 lorsqu'une liste des membres de la loge fut produite au Vatican avec les noms et les dates d'entrée de 121 grands dignitaires ecclésiastiques avec, parmi eux, des cardinaux de la curie, des achevêques, des évêques, des prélats et des laïques. On fit une vraie chasse aux sorcières pour trouver ceux qui avaient publié cette liste au lieu de demander des comptes aux personnes citées sur cette liste. Tout commentaire est superflu. Entre autres noms, celui du secrétaire d'Etat du cardinal Jean Villot, du ministre des Affaires étrangères du Vatican Agostino Casaroli, du cardinal Sebastiano Baggio, du cardinal Ugo Poletti et du chef de la banque du Vatican, l'évêque Paul Marcinkus. Les Illuminati soutiennent, comme nous avons pu le constater, les deux camps des nations en guerre. Ce fut de plus en plus évident à la fin de la Deuxième Guerre. Allen Dulles (chef de la CIA), par exemple, avait des rencontres secrètes avec le chef des SS Gehlen. On s'arrangea pour faire passer des officiers SS en Suisse sous le couvert de l'Eglise catholique. Quelques officiers SS prirent le titre de prêtres et furent conduits dans d'autres pays, surtout en Argentine, au Paraguay et aux Etats-Unis. Après la guerre, Gehlen reçut la mission de prendre en charge la "RADIO DE L'EUROPE LIBRE". Beaucoup de SS furent intégrés dans la CIA à cette même époque. Un autre membre intéressant du "Comité des 300" fut Joseph Retinger (Ratzinger ?). La CIA lui apporta son soutien après la guerre afin qu'il puisse conclure des contrats avec le Vatican. Il gagna, entre autres, à sa cause la Dr Luigi Gedda, conseiller médical du pape Pie VII et dirigeant des activités catholiques. Gràce à lui, il réussit a consolider ses relations avec le pape Paul VI qui avait déjà collaboré auparavant avec l'OSS (Office of Strategic Services = Bureau des services stratégiques), organisation qui allait devenir, plus tard, la CIA. Retinger rencontra aussi le prince Bernhard des Pays-Bas, le Premier ministre italien, Sir Collin Grubbin, directeur de la SOE (Special Operations Executive, service secret britannique) et le directeur de la CIA, le général Walter Bedell. Le PRINCE BERNHARD était chez les SS avant la guerre et obtint, ensuite, un emploi à la I. G. Farben. Par la suite, son mariage le lia à la maison Orange-Nassau et il occupa un poste dans la compagnie Shell Oil. Le petit groupe de de personnes citées ci-dessous se rencontra en mai 1954 à l'hôtel "De Bilderberg" à Oosterbeek, en Hollande, ce fut le noyau du groupe qui devait être connu, plus tard, sous le nom de "Bilderberger". Le prince Bernhard des Pays-Bas, membre du Comité des 300, fut le premier directeur des "Bilderberger" (voir ci-après). Le cardinal Spellman fut une des personnes de la CIA qui eut une influence importante dans l'Eglise catholique. Spellman soutint, entre autres, la CIA lorsque celle-ci renversa la démocratie au Guatemala en 1954. Ce fut lui aussi qui introduisit le père Paul Marcinkus de Chicago auprès du pape. En 1971, Marcinkus devint archevêque et chef de la BANQUE DU VATICAN. Il développa aussi d'étroites relations avec Michele Sindona, membre de la loge franc-maçonnique P2, et avec Roberto Calvi. Le grand maître de la loge P2 était Licio Gelli. Calvi, chef de la BANQUE D'AMBROSIANO, aida le Vatican à transférer plus de 100 millions de dollars au mouvement "Solidarité" en Pologne. Il fut mêlé, plus tard, au grand scandale de cette banque. En 1982, on trouva son corps suspendu au pont Blackfriars à Londres. Dans chacune de ses poches se trouvaient deux briques et ses jambes étaient garrottées en angle droit. C'était un meurtre rituel chez les francs-maçons. Mais les journaux passèrent outre ces détails. Sindona devint conseiller a la Banque du Vatican. La loge P2 avait de nombreuses relations avec le Vatican, l'Opus Dei et la CIA, et de ses membres occupèrent des postes élevés dans le gouvernement italien. En janvier 1966, le magazine
"Look" publiait cet article : Et ces exemples ne montrent que la pointe de l' "iceberg-Vatican". Un autre exemple : celui de l'assassinat du pape Jean XXIII. L'annonce de sa mort parue par erreur un jour trop tôt dans le quotidien mexicain "El Informador", publié par la grande loge des francs-maçons de l'ouest du Mexique (l'annonce fut publiée le 3 juin 1963, pape Jean mourut le 3 juin 1963 à 19h49). (109) Un livre interressant à ce sujet : "Im Namen Golles" (Au nom de Dieu) de David A. Yallop. Le PAPE JEAN PAUL II (le pape actuel) a, lui aussi, un passé interressant et digne d'être mentionné. William Cooper qui a travaillé douze ans pour la "Naval Intelligence" (service secret de la Navy) écrit dans son livre "Behold a Pale Horse" qu'il aurait travaillé pendant la Deuxième Guerre en Allemagne pour I. G. Farben à la production du gaz pour les chambres à gaz des camps de concentration. A la fin de la guerre, de peur d'être exécuté pour avoir collaboré à des crimes de guerre, il se serait enfui en Pologne sous la protection de l'Eglise catholique. Il y serait resté et aurait eu une carrière semblable à celle d'Eisenhower, si ce n'est que cela dura un peu plus longtemps avant qu'il ne soit élu cardinal Wojtyla et qu'il ne devienne pape. (110) Il remercia aussitôt ses amis en levant le 27 novembre 1983 l'excommunication de tous les francs-maçons, notifiée dans le "Codex luris Canonici". Le pape actuel connaît intimement le langage secret franc-maçonnique, la "poignée de main des francs-maçons" (une pression de la main particulière qui permet aux initiés de se reconnaître entre eux) mais aussi son discours lors d'une audience le 15 septembre 1982 en sont des preuves "manifestes" : A propos de la mort du président libanais Gemayel, il parlait de Jérusalem, la ville de Dieu. Il dit mot à mot : "Jérusalem peut devenir aussi "la cité de l'homme" (City of man)". La "cite de l'homme" est un mot-clé des Illuminati pour la dictature mondiale. Le 18 avril 1983, le pape reçut toute la "COMMISSION TRILATERALE" c.-à-d. environ 200 personnes, pour une audience. (111) Cette organisation secrète fut fondée en juin 1973 par David Rockefekker et Zbigniew Brzezinski puisque les organisations établies, comme l'ONU ou d'autres, mettaient trop de temps à instaurer le "gouvernement mondial". La commission trilatérale, organisation élitaire, a pour but de réunir en un seul groupement les géants les plus éminents de l'industrie et de l'économie, donc des nations trilatérales - des Etats-Unis, du Japon et de l'Europe de l'Ouest - pour créer de force et une fois pour toutes le "Nouvel Ordre Mondial". Elle offre à l'élite venant d'horizons divers de la franc-maçonnerie la possibilité d'une collaboration secrète à l'échelle mondiale. Elle doit aussi permettre aux "Bilderberger" d'élargir leur influence en leur donnant une base politique plus large. La plupart des membres européens ont, depuis longtemps, des contacts avec les Rockefeller. La Commission trilatérale se compose de 200 membres environ qui sont, contrairement aux membres de Bilderberger, permanants. Vous pouvez bien imaginer que le PAPE JEAN PAUL II n'a pas invité tous ces gens pour une tasse de thé. |
Mais il existe aussi le Dr. Joseph Retinger. Assez intéressant et surprenant ce que j'ai découvert sur cette page à propos du Vatican. Malheureusement elle est en anglais et fournie d'informations qui se confirment tous. Si vous avez un bon traducteur... From: The Messianic Legacy by Lincoln Leigh Baigent Chapter 24 Secret Powers Behind Covert Groups page 347 Subtitled Moves By The CIA The man perhaps most responsible
for initiating interest in United Europe Movements was Count
Richard Coudenhove-Kalergi, who had founded Pan-Europa in 1922
as The Pan European Union. Although it accomplished little on
a practical level, Pan-Europa, in the period between the wars,
was a prestigious organization. Its membership included a number
of esteemed political figures, such as Leon Blum and Aristide
Briand in France and Eduard Benes in Czechosolvakia, as well
as Winston Churchill. The membership also included Albert Einstein,
and such cultural luminaries as Paul Valery, Miguel de Unamuno,
George Bernard Shaw and Thomas Mann. Cardinal Spellman. It is now generally acknowledged
that P2, however influential and powerful it may have been (!)
Was, (And probably still is)controlled by some even higher, more
shadowy authority, which transmitted its instructions through
Licio Gelli, The Lodges Grand Master. According to an Italian
parliamentary commission, the organization behind P2 lay beyond
the frontiers of italy. There has been much speculation,
both plausible and otherwise, about this organization. Some have
identified it as the American Mafia. Some have suggested the
KGB, or some other intelligence agency from Eastern Europe. Some
have even suggested the Prieure de Sion. In 1979, however, a
defector from P2 -- a journalist named Mino Pecorelli -- accused
the CIA. Two months after this accusation, Pecorelli was murdered. What? the land of the free? Yes I know my enemys All of which are American Dreams Rage Against The Machine |
REMONTENT AUX ANNUNAKIS Chevalier Templier The Sovereign Military Order of Malta, also known as the original Sovereign Military Order of St. John of Jerusalem, is a closed fraternity of the Roman Catholic Church. Its initiated members must be Catholic and have served in the military. They participate in secret ceremonies and feudal ritual dress, and embrace a strong class/caste mentality as part of their initiation into Rosicrucian dogma. The upper grades are fastidiously aristocratic and must be able to display a family coat-of-arms dating back at least 300 years in unbroken succession from father to son. The Sovereign Grand Master of the order is recognized as a head of state, and his authority is ensured by his secular ranking as a Prince, and his ecclesiastical ranking as a Cardinal. Under international law this organization has independent Sovereign status, which assures nationalistic loyalty from its members, above and beyond allegience to their own country--they also have Permanent Observer status at the United Nations. The current Grand Master, Andrew Willoughby Bertie, is descended from Mary Stuart (Mary Queen of Scots) which places him firmly in the Sion/Grail historical scenario. The order and its members have been proven to be linked with the "Rat Run", the post-WWII escape route used by high-ranking Nazis and death camp scientists from defeated Germany to the Americas. Sovereign Knight of Malta passports were issued with false identities that allowed escape from prosecution for war crimes. Perversely, after the war the order's highest decoration, the 'Grand Cross of Merit', was awarded to Nazi General Reinhard Gehlen, Hitler's Eastern Front intelligence chief, who was highly complicit in the atrocities carried out by the Nazis in Russia and Eastern Europe - mainly the unprecedented slaughter of Jews and civilian Slavs. The brotherhood's Catholic and aristocratic roots made the modern knights fervently anti-communist. The order has been largely responsible for the construction of the CIA, and many of its global covert operations. The founding fathers of the CIA William "Wild Bill" Donovan and Allen Dulles were knights, as were many other CIA hierarchy including Ronald Reagan's director William Casey and JFK's director John McCone. According to "Watergate" journalist Carl Bernstein, Casey gave Pope John Paul II unprecedented access to CIA intelligence including spy satellites and agents. In fact, one could blame the start of the Cold War upon "Wild Bill" Donovan personally. At the end of the First World War Donovan led a secret mission to Siberia to observe the Russian Revolution. Due to his reconnaissance an American unit was sent to fight the Russian Bolsheviks who were broadly considered Allies, as they were still fighting the Germans alongside the British and the French in the trenches of Europe. The American troops could not understand why they were being ordered to burn the villages and kill "these poor and hungry peasants, who've been treated so terribly by their rulers", as one "doughboy" wrote to his wife. It is historically un-American to side with the aristocratic powers of Europe against the common man. Donovan's motives for fighting the Bolsheviks could only have been due to his Vatican/Knights of Malta allegiances, as at this time the Russian Revolution was no threat to the American Republic. As a consequence in July 1944 Pope Pius XII awarded Donovan the 'Grand Cross of the Order of St. Sylvester', the oldest and most prestigious of papal knighthoods, and the highest Catholic award ever received by an American. Less than one hundred men have received this award throughout history. The Knights of Malta's key spheres of control are Africa and Latin America, and include many dictators such as mass murderer General Pinochet in their ranks. Membership in Latin America includes Masonic lodge "P2" fascists and many surviving Nazi players, who are directly responsible for the formation of the modern neo-Nazi movement. Knight and Nazi escapee Otto "Scarface" Skorzeny, who led a commando raid on the Cathar region of France in search of occult artifacts including the Holy Grail, played a major role in the Vatican's "Rat Run". He was a close friend of Argentinian president and knight Juan Peron, who recent CIA documents prove was also involved in the laundering of Nazi gold through the Vatican Bank. Conveniently for Nazi members who did not escape Europe, William Donovan served as chief aide to the American prosecutor at the post-war Nuremberg trials, after handing over the reigns of the OSS/CIA to fellow knight Allen Dulles. As Roman Catholic author Penny Lernoux reveals in her "People of God": "After the war, the Vatican, the OSS, the SS, and various branches of the Sovereign Military Order of Malta joined to do battle against the common Soviet enemy - and to help Nazi war criminals escape... Baron Luigi Parrilli, an Italian aristocrat and Knight of Malta/papal chamberlain, took part in negotiations between SS leaders and the CIA's Allen Dulles." Prior to working for the OSS (he headed the OSS station in Switzerland during the war) Allen Dulles and his law partner John Foster had served as business managers and lawyers to John D. Rockefeller's Standard Oil. They personally brokered the partnership between Standard Oil and I.G. Farben chemical corporation. I.G.Farben not only produced gasoline for the Nazi war machine, it manufactured "Zyklon B", used slave labor before and during the war (including their huge petro-chemical factory adjacent to Auschwitz death camp), owned Bayer Pharmaceuticals which according to a current lawsuit was directly involved in Dr. Josef Mengele's horrific Auschwitz experiments, and was spared from Allied bombings due to its Rockefeller interests. Leading war-time journalist George Seldes attempted to reveal this "unholy alliance" through his newspaper articles, but was rarely published at the time, and efforts were made to kill him. Joseph Heller's satirical novel "Catch 22" made light of this insanity with his "we agreed to bomb our own bases in return for the Nazis buying our chocolate covered cotton". As the Cold War intensified, former Vatican agent and knight Joseph H. Retinger, acting on behalf of the Vatican and the Priory of Sion, effectively forged ties with the European Council of Princes (the respectable name for the Dragon Sovereignty), the CIA, and Britain's MI6 to create the New World Order think-tank "The Bilderberg Group", of which Henry Kissinger is a permanent member. It's first chairman was Prince Bernhard of the Netherlands, who held that position for the next 22 years, until a financial scandal forced him to resign. His daughter, Shell Oil co-owner Queen Beatrix regularly attends meetings, as do ample other European aristocratic players. The undemocratic "Bilderberg Group" continues to play a major part in international affairs, and remains closed to public scrutiny and participation. Documents show that New York's Cardinal Francis Spellman was directly involved in the 1954 right-wing military coup of Guatemala, which led to the murder of thousands, and of which the CIA has acknowledged complicity. He has also been linked to neo-Nazi group "P2" and the Mafia by his long involvement with "P2" member Archbishop Paul Marcinkus of Chicago, former head of the Vatican Bank, who was under serious suspicion by Italian authorities for the untimely death of Pope John Paul I. Cardinal Spellman was not only an old friend of CIA creator "Wild Bill" Donovan (who previously had a law firm in New York) but was the actual head of the Knights of Malta in America throughout the 40's, 50's and 60's, and was responsible for vast sums of money raised from its members, who have to pay thousands annually to remain in the order. Anciens de l'Inquisition The Sovereign Military Order of Malta (SMOM) are ideologically and historically allied with international Freemasonry, ultimately sharing the same goal of bloodline supremacy, whether their members accept this or not. The Masonic grades of The Knight of Malta and The Knight Templar are the Rosicrucian upper-degrees of Freemasonry, and clearly reveal their heritage. According to "Knights of Darkness" author Francois Hervet: "Freemasonry generally purports to be hostile to Catholicism... nevertheless in December of 1969 an exclusive meeting was held in the Rome office of Count Umberto Ortolani, the ambassador of the Knights of Malta to Uruguay, who has been called 'the brains' behind the "P2" Masonic lodge. In addition to Ortolani, the meeting included only Licio Gelli, Roberto Calvi, and Michele Sindona"; all of whom have been implicated in the death of Pope John Paul I and massive bank fraud. Ironically, in recent years a belief in the Catholic faith has not been an essential prerequisite for potential members who have the right connections. Non-aristocratic parties can now be initiated by the "Magistral Grace" of the Grand Master, although not in Britain, Germany and other European countries with a strong tradition of nobility. However, this has allowed many Americans to join, and an "Order of Merit" is bestowed upon those who have outstandingly served the Knights or their works. Past Presidents Ronald Reagan and George Bush are such honorary initiates, and Reagan was the toast of an extravagant dinner held by the Order in 1989. With more than 11,000 knights worldwide, the Grand Master and Sovereign Council remain based in Rome. Their goal of political Feudalism is clearly seen in the actions of Prince Hans Adam II, the Habsburg-supported ruling monarch of Liechtenstein, and a prominent Knight of Malta and member of the Vatican's Opus Dei, who in October 1999 was reprimanded by the European Court of Human Rights for claiming he had final constitutional authority over his country's Supreme Court. While recent successful attempts at maneuvering Europe towards accepting a European President have been led by Knight of Malta Gistard d'Estaing, and backed by Britain, France, Germany, Italy & Spain. The Protestant equivalent of the Catholic Knights of Malta, also known as the Order of St. John of Jerusalem, gained greater credibility when the head of the British Empire HM Queen Victoria became their Sovereign Head in 1888. This Order of St. John, whose current Sovereign Head is HM Queen Elizabeth II, similarly use the Cross of Malta insignia as their emblem. While they too claim that charity and protecting the poor are their main cause, this has been used as a tool of Western Imperialism for the last 1000 years, and began with the first Crusades to occupy Jerusalem. These "charitable concerns" are unlikely to take precedence over their secret historical agenda--the fulfillment of the prophecies of St. John the Divine, whose Revelation acts as a political template for these historically-intoxicated and reactionary-minded organizations. It is additionally disturbing that the Protestant Order of St. John was recently granted non-Governmental membership of the United Nations. Like its Catholic counterpart, this UN position gives the Protestant Order greater access to UN decision-making and vulnerable developing countries. Undoubtedly, the interests of the Vatican, the British Crown, and its Rosicrucian fraternity, will take precedence over any genuine aid offered to the world's poorest and needy.
Occult initiates will discover that just like the inverted pentagram or five-pointed star, the Cross of Malta is similarly a cryptogram for the Goat of Mendes, the androgenous Templar idol Baphomet, representing the goat's beard and horns. This is the symbol of ruling matter and spirit by the Will, and the controlled magickal direction of sexual energies. Past Grand Masters of the Knights of Malta, including Manuel de Fonseca, are known to have been initiates of the Templar tradition, and according to the Dragon Order's current Sovereign Grand Master Prince Nicholas de Vere von Drakenberg, who is a direct descendant of the originator of the Knights Templar Godfroi de Vere de Bouillon, the Templars were "a Satanic order, whose rituals included infanticide, sodomy and witchcraft". |