FLUOR: UN VACCIN CONTRE LA CARIE

C'est la promotion qu'on nous donne pour la fluoration de l'eau ! L''article suivant qui parut dans la Presse du 24 septembre 2005 par Katia Gagnon est un exemple parfait de désinformation standard, accouplé de dénigrements subtiles contre ceux qui sont "contre" ce poison. Elle écrit:"...Il est temps de réagir, Pierre Bourque a raison: il faut fluorer l'eau de Montréal". Pierre Bourque qui se présente à la mairie de MTL en novembre n'a jamais fait ni lu une seule étude sur le fluor. Elle rajoute:"... Même si la fluoration est simple et ne coûte pas cher, les opposant à cette mesure ont gagné." Elle devrait questionner ceux qui travaillent dans les usines de filtration d'eau. Ils doivent porter des équipements très sophistiqués pour se protéger de ce produit hyper dangereux. Ils affirment que la tuyauterie et même les vitres sont mangées par le fluorure. La fluorose coûte bien plus chère à guérir. Elle mentionne "qu'il y a 17.000 articles de recherche qui ont démontré l'efficacité et l'inocuité de la fluoration". Tous ont été produite$ par les fabricants du fluor. Elle n'a pas lu les 100.000 articles de recherches indépendantes faites par des biochimistes, biologistes, toxicologue, docteurs en médecine, certains, des prix Nobel, qui démontrent et dénoncent la toxicité et les dangers du fluor. Elle banalise les effets secondaires du fluor en disant: "le seul effet secondaire du fluor est, parfois, de faire apparaître de petites taches blanches sur les dents". Les effets secondaires sont bien plus nombreux et néfastes qu'elle ne pense. Comment peut-on affirmer qu'il renforcit l'émail des dents s'il en déterriore la blancheur ? Aucun sens. Le fluor dérègle l'émail des dents. Elle ne mentionne même pas la fluorose comme effet secondaire. La fluorose rend les dents rougeâtres et friables et un grand pourcentage d' enfants au Canada en sont atteint à différents degrés. La fluorose est également irréversible. Elle rajoute qu'un proffesseur de génie de l'environnement, Ronald Gehr, a jugé que "ces rejets de fluor sur la faune et la flore du St-Laurent seraient minimes". Pas trop de génie le proff. Que veut-il dire par "minime" ? Les compères et homologues de ce génie en environnement se battent pour faire reconnaître tout le contraire. On voit que ses études n'ont pas été poussées loin ou ont été subventionnées par les parties en cause de la fluoration. Katia Gagnon nous dit tout bonnement: "Le fluor se retrouve déjà dans notre eau potable à l'état naturel. Et les alumineries en rejette déjà dans certains tronçons du fleuve, dans une proportion beaucoup plus élevée. A-t-on relevé des problèmes dû à ces rejets?... Non mais, quelle logique !!! Alors, pourquoi en rajouter ? Bien sûr qu'on a dénoté des problèmes. Mais on ne les relient pas au fluor, c'est tout. Les bélugas viennent au monde avec des déformations génétiques, et demandez aux gens du Lac St-Jean/Saguenay (ALCAN) où est passé ce poisson appellé la Ouananiche... Je ne consommerais pas un poisson du Lac St-Jean.

Après avoir lu l'article qui suit, je vous invite à lire le bas de page où mon ami Ringard m'a fait parvenir des infos pertinent à ce dossier.
Amitiés, Nenki.

 

INFOS & DÉSINFOS "OFFICIELLES"
ou les pros et les cons

http://www.cps.ca/francais/enonces/N/n02-01.htm

Officiel de santé du Canada - superbe... Quelques extraits... Le pour et le contre en trois mots, mais cela fait du bien à nos quenottes...

"L’ajout de fluor à l’eau potable en 1958 a suscité une réduction remarquable du taux de carie dentaire (1). Par la suite, les suppléments de fluor ont été recommandés pour les enfants dont l’eau n’était pas fluorée et, à l’heure actuelle, presque tous les dentifrices contiennent du fluor. Cependant, les multiples sources de fluor, telles les dentifrices fluorés, les suppléments de fluor (sous forme de gouttes et de pastilles) et le fluor naturel, ont contribué à une augmentation de l’incidence de fluorose. Le défi consiste à trouver la bonne quantité de fluor de manière fiable et sûre. Le fluor est efficace pour prévenir la carie, mais aucune étude contrôlée n’en a évalué la dose optimale."
"La fluorose dentaire, un trouble associé au développement anormal de l’émail, a été remarquée pour la première fois dans des collectivités dotées de taux élevés de fluor naturel dans l’eau potable, mais il s’est observé par la suite chez des personnes qui ingèrent du fluor provenant d’autres sources.

Ce trouble, constaté surtout chez les enfants de moins de sept ans, s’associe à une détérioration de la biosynthèse de la matrice dentaire. Les manifestations peuvent osciller entre des changements minimaux (effet toxique [ET] de 1), qui incluent de 80 % à 90 % des cas et n’être remarquées qu’après un examen dentaire minutieux et, pour de plus rares individus, des marbrures et des picots nombreux et inesthétiques sur les dents, des stries sur l’émail et, dans les cas graves, des « calottes neigeuses » et des dents d’un blanc crayeux (et d’au moins 2) peuvent être très disgracieux et exiger un traitement esthétique. Les dents secondaires sont les plus à risque de fluorose entre 15 et 24 mois (5)."

http://www.123boutchou.com/Sante_fluor.html
Incitation à l'empoisonnement des enfants...

Pourquoi du fluor pour bébé ? Le fluor est un produit naturel, un oligo-élément, appelé aussi fluorure. Il se trouve en quantité en général insuffisante dans nos apports quotidiens.

A quoi sert le fluor pour votre enfant ?
Son action se situe à deux niveaux :
*
En profondeur, le fluor ingéré pénètre dans l'organisme lors de la digestion puis est transportée par le sang jusque dans les dents (déjà sorties ou non) où là, il s'incorpore à l'émail et rend alors la dent plus résistante aux caries. 
**Ce processus s'étend durant toute la formation des dents de lait et des dents définitives soit, du 5ième mois de grossesse à environ 16 ans. En surface, pour les dents déjà sorties, le fluor, lors de son ingestion par la bouche, va se déposer en leur surface et ainsi permettre de conserver l'émail et de freiner la multiplication des microbes responsables des caries.

http://www.solvay-fluor.com/markets_applications/0,0,2813-_EN,00.html
Chez un industriel du produit - ou on le trouve ailleurs que notre corps...

Ou le gros mensonge, c'est celui là qu'ils mettent dans leurs tubes.
http://www.ohdq.com/fluor.asp
Le fluor est un minéral présent dans la nature et est considéré comme un élément nutritif essentiel à la formation des os et de dents saines, tout comme le calcium. On le retrouve généralement à l'intérieur d'un composé minéral ou organique appelé fluorure.

Chez Frenzy: lien entre fluor et aluminium.
http://www.chez.com/frenzy/Fluor.htm

Un superbe article :
http://www.salines.com/index.php?cat=4&mot=79

Fluor

Le fluor, le plus électronégatif de tous les éléments, 
ne se rencontre pas à l’état libre dans la nature. 
Il est présent dans le sol sous la forme de fluorures. 
De ce fait, l’eau contient des fluorures, mais à des 
concentrations variables. Le fluor existe à l’état 
de traces dans pratiquement tous les aliments. 
Leur environnement géochimique exerce une influence sur eux : 
leur concentration en fluor diffère d’une espèce à l’autre. 
Celle-ci est probablement en relation avec les sols où 
les plantes ont poussé ou le milieu d’où les animaux 
ont tiré leur nourriture.

Les poissons de mer (maquereaux, sardines) sont riches en fluor 
mais cet élément est essentiellement concentré dans les écailles 
et les arêtes... Les fruits et légumes consommés par l’homme ont 
une teneur de l’ordre de 0,1-0,4 mg/kg. Certains (radis, épinards) 
en contiennent davantage (0,4 à 8,0 mg/kg). Le thé est 
particulièrement riche en fluor (environ 0,5 - 1,5 mg/litre). 
La teneur en fluor des aliments peut être modifiée compte tenu 
des procédés industriels ou domestiques mis en oeuvre pour 
leur traitement, leur préparation ou leur cuisson.

Comparativement au fluor contenu dans l’eau, qui est rapidement 
et presque totalement absorbé, le fluor présent dans les aliments 
passe très lentement et dans de faibles proportions la barrière 
gastro-intestinale. En raison de sa liaison avec d’autres éléments, 
sa biodisponibilité est médiocre. Ceci est particulièrement 
marqué lorsque le fluor est couplé avec des produits lactés, 
d’une part à la suite de la coagulation du lait dans l’estomac, 
d’autre part du fait de la formation de fluorure de calcium 
faiblement soluble. Solubilisé, le fluor, dont le sel est 
supplémenté, échappe à ce phénomène de complexation.

L’eau de boisson est la principale source des ingesta fluorés. 
Les fluorures proviennent essentiellement de la dissolution 
des roches ou des couches géologiques parcourues par les eaux. 
La concentration des fluorures dans les eaux naturelles est variable. 
En France, la très grande majorité des eaux naturelles 
(robinet) contient moins de 0,3 mg/litre. Les eaux minérales 
(bouteilles) présentent des teneurs en fluor très différentes 
et certaines ne peuvent pas être consommées régulièrement hors 
de toute surveillance médicale.

De nombreuses études cliniques ont montré que les apports 
fluorés agissaient par voie générale. Avant toute prescription 
de fluor par voie buccale (comprimés etc), il est donc important 
de connaître la concentration en fluor des eaux naturelles ou 
des eaux minérales habituellement consommées. La règlementation 
sur l’eau destinée à la consommation humaine a fixé une valeur 
limite à ne pas dépasser, soit 1,5 mg/litre. Les fluorures ont 
des effets tout aussi bénéfiques (prévention de la carie dentaire, 
renforcement de la densité osseuse) quand les autorités optent 
pour un autre vecteur que l’eau, le sel en particulier.

La fluoration du sel a été autorisée et encouragée en France 
en 1985, après étude par la Direction Générale de la Santé 
du meilleur vecteur en vue d’une prévention de masse. 
Le sel est supplémenté en fluor à raison de 250 mg/kg 
sous la forme de fluorure de potassium (voie humide). 
Il doit être étiqueté " sel fluoré " ou " sel iodé et fluoré ". 
Sur les emballages figure la mention : " ne pas consommer 
si l’eau de boisson contient plus de 0,5 mg/litre de fluor " 
afin d’éviter une éventuelle surconsommation. 
Les dispositions réglementaires, revues en 1993, 
ont étendu le champ d’application de l’arrêté y ayant 
trait aux cantines scolaires.

L’usage du sel fluoré augmente la concentration en fluorures 
dans la cavité buccale tout au long de la vie, avec des 
effets cario-protecteurs bien documentés. Les études 
épidémiologiques effectuées, notamment en Suisse et en France, 
démontrent une efficacité à long terme et une réduction 
du CAO analogues à celles que la fluoration de l’eau permet 
d’obtenir avec davantage de contraintes.

Bien qu’il soit difficile d’évaluer la part respective 
des différentes mesures de prévention et d’éducation 
visant à une meilleure hygiène bucco-dentaire, 
il est raisonnable de penser que l’amélioration, 
révélée par l’évolution du CAO chez l’enfant, 
résulte largement de l’utilisation de sel fluoré. 
La fluoration du sel est une mesure de prévention économique, 
facile à mettre en oeuvre en ce qui concerne la distribution 
du produit (les circuits privilégient le sel iodé et fluoré), 
et respectueuse de la liberté de choix du consommateur. 
Grâce à la modicité de son prix, le sel fluoré est accessible 
à l’ensemble de la population. 42 % du sel acheté par 
les ménages est iodé et fluoré. L’autorisation de l’emploi 
de sel fluoré dans les cantines scolaires depuis 1993 
devrait permettre d’améliorer encore la situation. 
L’Organisation Mondiale de la Santé le souhaite et 
préconise une meilleure information du consommateur.