Des médicaments
dans les plantes GM
Un envoi de Ringardus
Voilà donc ou voulait
en venir cette manipulation consistant à dénoncer
les pesticides comme dangereux pour la santé. Préparer
les esprits des
Gentils ignares par nécessité à accepter
dans leur vie quotidienne, ces
produits dont nous ne savons rien.
Un médicament pour qu'il
puisse être commercialisé demande des essais cliniques
sur de longues années, des autorisations sévèrement
contrôlées.
Ici, rien et pourtant ils (les économistes avides d'argent
et de part de
marché) nous promettent santé et prospérité
avec leurs produits dénaturés ont ne sait comment
et par quoi ou qui.
Les effets à long terme,
mais qu'importe les risques pour quelques uns,
nous retrouvons ici le même discours des pro-vaccinations.
Devinez, cela fonctionne toujours ce genre d'action.
Comme prévu les insectes
vont progressivement s'adapter à cette nouvelle attaque
pour eux. Les plus forts seront par sélection naturelle
capable de résister à ces OGM progressivement et
parviendront à les supporter.
Alors que fera-t-on ? Une course vers quelle autre sensationnelle
découverte ?
Les anti-biotiques étaient
la panacée universelle contre les maladies, les fièvres,
bref c'était Byzance, les profits énormes.
Hé ! bien les microbes
ont mutés, pied de nez à Pasteur ou autre prix
Nobel. Depuis, cela va plus vraiment bien dans le Landernau des
labos. Les toubibs font volte face, ne prescrivent guère
de cette panacée. Je ne parle pas des vaccinations ou
autres dérivés issus de l'esprit inventif de nos
chercheurs en tous genres.
Qu'importe, le 'je demande pardon, je me suis trompé'
est de rigueur chez les coupables pas responsable pour des sous
dans leurs poches.
Les victimes, elles, que font-elles
? Souffrance, misère, rejet de la
société, coupable d'être si fragile, bientôt
avec l'euthanasie qui sera
légalisée (ils l'espèrent tous), ils disparaîtront,
ne seront plus les
preuves de leur médiocratie, incompétence.
Mais je perds l'esprit de parler
ainsi, je divague, je m'envole vers mes
délires obsessionnels compulsifs. Vite mon Prozac, ma
chimie castratrice, vite avant que je ne me réveille.
J'oubliais les cultures issus
du transgéniques en inde ont terriblement
baissés, au Us aussi etc. les ravageurs ravagent avec
zèle les jolies
plantes, les terre sont presque stériles, etc.
Cest pas moi qui le dis,
suffit de rechercher sur le net, ce qu'on nous
cachent...
Ringardus
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http://www.lefigaro.fr/france/20040726.FIG0035.html
PLANTES TRANSGÉNIQUES
Les organismes génétiquement
modifiés peuvent être bénéfiques pour
la santé, selon l'Agence française de sécurité
sanitaire des aliments.
OGM : le rapport de l'Afssa qui
brise les tabous
Alors qu'hier la Confédération paysanne et les
Verts estimaient «légitime» d'arracher des
plants d'OGM expérimentaux, un
rapport de l'Afssa, rédigé par une vingtaine d'experts
français souligne
avec quelques précautions que certains OGM
pourraient au contraire être bénéfiques pour
la santé, en réduisant
l'utilisation de pesticides et en permettant la production
d'aliments ayant des qualités nutritionnelles améliorées.
Martine Perez
[26 juillet 2004]
La coïncidence de la publication,
en fin de semaine dernière, d'un rapport de l'Agence
française de sécurité sanitaire des aliments
(Afssa) mettant en avant les bénéfices des OGM,
avec la fronde des anti-OGM ce week-end n'est sans doute pas
fortuite.
Elle contribue en tout cas à relancer le débat.
Les conclusions de ce
rapport vont à l'encontre de l'opinion publique européenne
qui, selon les sondages, se déclare majoritairement opposée
aux OGM par crainte des «risques». En revanche,
il va dans le même sens que celui des Académies
des sciences et de médecine qui, en 2002, estimaient que
les bénéfices des OGM dépassaient leurs
éventuels risques rapport conspué à
l'époque par les associations écologiques.
Il y a plus de trente ans, a
été inventée la transgenèse qui permet
d'insérer un nouveau gène dans une plante pour
lui faire
acquérir des propriétés nouvelles. Les OGM
étaient nés. Les effets des OGM dépendent
donc du gène ajouté et de la protéine qui
en découle. Il est par conséquent impropre de parler
de manière générale des OGM, mais on peut
s'intéresser à chaque OGM
particulier. C'est ce que propose le rapport de l'Afssa
«OGM et
alimentation, peut-on identifier et évaluer des bénéfices
pour la santé ?» qui se penche sur le maïs
et le coton modifiés pour
résister aux insectes, la betterave OGM tolérante
à un
herbicide, le riz transgénique enrichi en vitamine A...
Dans les années 80, plusieurs
plantes, notamment le maïs et le coton, ont été
génétiquement modifiées par l'introduction
d'un
gène dit Bt (Bacillus Thuringiensis) leur conférant
une résistance aux
insectes ravageurs, dans le but de réduire le recours
aux insecticides considérés comme toxiques pour
l'environnement et
l'homme. Les champs de maïs Bt et de coton Bt ont connu
un
développement considérable depuis près de
quinze ans dans le monde
(Etats-Unis, Canada, Brésil, Chine...).
Avec quel impact sur la réduction
des quantités de pesticides ?
«L'introduction de nouvelles variétés résistantes
aux attaques
d'insectes permet de diminuer considérablement la quantité
de traitement insecticide, en particulier sur la culture du coton,
répondent les experts de l'Afssa. Aux Etats-Unis, des
estimations pour
l'année 2001 avancent une réduction de 2 000 tonnes
liées à l'utilisation de variétés
Bt pour le maïs et le coton.» Selon le
rapport, dans les pays en voie de développement,
l'introduction du coton Bt coïncidant avec une moindre utilisation
de
pesticides aurait des répercussions sur la «santé»
de
l'environnement, «et sur la santé de ceux qui manipulent
ces produits,
souvent sans les précautions requises».
Par ailleurs, souligne le rapport,
de façon totalement imprévue et
confirmée seulement a posteriori, «l'introduction
de
variétés de maïs Bt permet de diminuer dans
de nombreuses situations la contamination en mycotoxines (NDRL,
toxines produites
par des champignons) consécutives aux attaques d'insectes
sur la plante et le grain de maïs... Cela devrait avoir
une incidence,
difficile à mesurer pour l'instant, sur la santé
des animaux d'élevage
auxquels est destinée en priorité la production
de maïs en grain et donc sur la qualité des produits
animaux consommés par l'homme».
Et les experts de considérer que l'introduction de nouvelles
variétés de plantes résistant aux attaques
d'insectes aurait «un double effet bénéfique»
sur la santé en diminuant l'exposition du consommateur
tant aux insecticides qu'aux mycotoxines.
Le rapport analyse ensuite le
cas plus ambigu de la betterave sucrière
tolérante au glyphosate (un herbicide). Actuellement,
les cultivateurs font appel pour les betteraves traditionnelles
à sept produits herbicides différents qui, aux
concentrations utilisées, sont considérés
comme sans risque pour la santé. La betterave OGM permet,
elle, l'usage du glyphosate, un herbicide ayant des caractéristiques
différentes. «Dans le cas particulier de la betterave
(traditionnelle), les procédés d'épuration
et de cristallisation conduisent à une absence de résidus
détectables d'herbicides dans le sucre blanc. On ne peut
donc pas attendre que la réduction de leur utilisation
ait un effet bénéfique sur la santé des
consommateurs, reconnaissent les experts.
Par contre, la question reste posée pour l'agriculteur
et l'environnement.
Le glyphosate présente un risque plus limité pour
l'agriculteur, en revanche il serait susceptible de présenter
des inconvénients plus grands pour l'environnement...»
Certains OGM, comme le riz enrichi
en vitamine A, pourraient réduire dans les pays en voie
de développement certaines carences.
C'est du moins ce qu'affirment les promoteurs des OGM, tandis
que leurs détracteurs estiment que ces arguments sont
fallacieux
et que l'on peut lutter contre la malnutrition, avec des méthodes
classiques. Le rapport, sans clore le débat, estime que
«les travaux sur le riz doré montrent que la conception
et l'élaboration de plantes transgéniques à
des fins nutritionnelles, notamment au bénéfice
des pays en voie de développement, ne sont pas une utopie».
L'évaluation des risques
liés aux OGM destinés à la consommation
est
paradoxalement difficile car, souligne le rapport, «aucun
problème de santé, qu'il s'agisse de toxicité
ou d'allergénicité, n'a pu
être spécifiquement attribué à un
OGM sur le marché».
Cela suffit-il pour dire qu'il n'y a pas de danger ? «Cela
n'exclut pas
qu'il puisse exister un risque. Mais aujourd'hui, celui-
ci ne peut être ni précisément identifié,
ni a fortiori quantifié»,
répondent les experts.
Le groupe d'experts a choisi
de s'intéresser aux bénéfices, parce que,
actuellement, «seuls les risques sont mis en avant»
et
qu'il est impossible de faire avancer le débat, sans un
bilan du rapport
entre les bénéfices et les risques.
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Bientôt les animaux génétiquement
modifié bon à manger pour notre santé !
Quel délire !
Le savoir pour eux
La méconnaissance pour nous
http://www.un.org/french/aboutun/dudh.htm
Article 19
Tout individu a droit à
la liberté d'opinion et d'expression, ce qui
implique le droit de ne pas être inquiété
pour ses opinions et celui de
chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations
de frontières,
les informations et les idées par quelque moyen d'expression
que ce soit.
Ou encore des pastèques
carrées qui s'expédient beaucoup mieux dans les
caisses ! Mais si vous en mangez, voous serez des "têtes-carrées"
:-))
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