(page 92) dans cette catégorie, il y a alors une organisation qui est mondiale et qui s'appelle l" "ACIO", ce qui veut dire "Alien Contact Intelligence Organization"*. Si vous payez votre écot et que vous vous soumettez aux règles, votre gouvernement a le droit de bénéficier des informations de cette organisation. Maintenant, il y a des gens qui l'appellent "la frontière suprême"**. Les Renseignements de la Marine se qualifient parfois eux-mêmes de cette façon. Ils travaillent tous ensemble - les Renseignements de l'Armée de l'Air, les Renseignements de la Marine et la NRO - et à une certaine époque, ils étaient tous à un endroit particulier de la base aérienne de Langley, en Virginie. La plupart des interprètes de données** satellite étaient là-bas ; la plupart des interprètes des données des Renseignements de l'Armée de l'Air, de l'Armée de Terre et de la Marine étaient là-bas ; c'est là qu'ils travaillaient et qu'ils interprétaient les données. [Voir le témoignage de Karl Wolfe. SG] Maintenant Eisenhower voulait que quelqu'un dirige tout ça - il a essayé avec le Directeur de la CIA, mais ça n'a pas marché. La CIA travaillait essentiellement pour son compte. La plupart des Directeurs des Renseignements de ces services travaillaient pour leur compte. Alors il a dit : " Je veux qu'il soit indépendant ; je veux qu'il soit civil ; je veux qu'il ait certains de nos scientifiques les plus doués. " Il a par conséquent été mis en place, mais le nom de "NRO" a été gardé secret pendant des années. C'est autour de 1968 qu'il a vu le jour, de manière indépendante. Avant
ça, pendant la guerre, on avait l'OSS, l"'Office
of Strategic Services", et c'était la plupart du
temps des soldats qui étaient espions - vous savez, des
hommes de certaines parties des forces armées qui avaient
été formés par POSS. Je n'ai jamais espionné
pour l'OSS. J'étais dans les Renseignements de l'Air Force,
et un autre truc qui m'a donné un droit d'accès
de haute sécurité, c'est que j'étais un
courrier "CONRAD". Maintenant, si vous ne savez pas
ce que courrier "CONRAD" signifie quelquefois, pendant
les guerres déclarées et la guerre froide, vous
voyiez le Président, et il y avait toujours un fonctionnaire
militaire adjoint avec lui ? Eh bien, il transportait une petite
sacoche. C'est là que se trouvaient les codes de guerre,
et il pouvait déclarer la guerre - il recevait le code
pour la journée, et c'était sous le contrôle
de deux hommes, tout ce * "Organisation de Renseignements
pour les Contacts Extraterrestres"... (N.d.T.). |
page 93 [Voir le témoignage de John Maynard. SG] |
page 94 ___________________________________________ |
page 95 [Voir le témoignage de Clifford Stone. SG] Aucun Congrès n'a jamais
voté à propos de la moindre de ces opérations
opaques, et il pensait que le peuple américain avait le
droit de savoir comment ils utilisaient son argent, et ce que
nous étions capables de faire - et il a commencé
à parler, et ils se sont alors débarrassés
de lui. |
page 96 faire taire. Ensuite J. Allen Hynek, qui a été conseiller technique pour "Rencontres rapprochées du troisième type" - il avait été officiellement engagé dans le cadre de l'Opération "Blue Book" pour faire taire tout le monde ; il débarquait avec un truc - soit L'autosuggestion, soit l'hypnose collective, soit des feux follets - c'était les trois affirmations avec lesquelles il débarquait habituellement. Par conséquent quelqu'un a dit "Retournez-vous juste et regardez ! " On s'est alors tous retournés et là - immobiles, je dirais à environ un demi-mille de la tour (900 m), et à environ 3000 pieds (900 m) d'altitude - il y avait trois OVNIs argentés. Il y a une photo de ça ici. On a tous été jusqu'au cordon de sécurité et on a dit : " Ouais, ce sont de vrais OVNIs. " Et j'ai dit : " O.K., et si Hynek venait par ici, qu'est-ce que vous allez dire ? S'ils envoient une équipe par ici, qu'est-ce qu'on va dire ? " Quelqu'un a dit : " Il y a environ 20.000 civils et environ 10.000 militaires sur cette base - il y a obligatoirement quelqu'un d'autre qui les a vus, alors quand ils disent que c'est de l'hypnose collective, de l'autosuggestion ou des feux follets - descendons mettre le radar en route, parce rien de tout ça ne s'affiche au radar. " Alors on est tous descendus. Maintenant les deux types qui étaient là, en bas - je leur [ai demandé] : " Vous avez vos appareils photo - vos appareils photo officiels de l'Air Force ? Allez dehors et prenez des photos ; allez dehors et dites-moi ce que vous voyez. " Ils sont revenus et ils ont dit : " Il y a des OVNIS immobiles en formation, là-dehors ! " J'ai dit : " Très bien, prenez des photos - récupérez vos appareils photo et prenez des photos. " Et j'ai dit aux deux autres " Allumez les appareils photo du radar. " Parce qu'on avait des appareils photo sur les radar qui prenaient également des photos. Par conséquent tout ça était là, et ce bâtiment où on était avait tout un côté qui était équipé de portes-fenêtres, si vous mettiez par conséquent le radar en marche, vous regardiez à l'extérieur et vous voyiez qu'il y avait bien trois OVNIs, alors j'ai appelé le quartier général. J'ai dit : " O.K., on a un contact. " Il dit : " Vous voulez dire que le SAC est en train d'effectuer une mission contre vous ? " J'ai dit : " Pas le SAC, pas le SAC. " Il dit : " Quoi, alors ? " Et j'ai dit " Le cosmos. " Il a dit : " Attendez une minute - décrivez-les par téléphone. " Il y avait une commande que vous pouviez actionner et qui brouillait tout, alors j'ai dit : " O.K., mon téléphone est brouillé ; est-ce que le vôtre est brouillé ? " " Le mien est brouillé " Il dit : " Qu'est-ce que vous voulez dire quand vous affirmez que vous avez un contact cosmique ? " J'ai dit : " Je veux dire qu'il y a trois OVNIs immobiles là-dehors. " " Vous prenez des photos ? " " On prend des photos. " " Vous prenez des photos radar ? " " On prend des photos radar - des |
page 97 vrais photos. " Il dit : " O.K., ne dites pas un mot de plus ; je vais envoyer un courrier là-bas ; il sera là dans à peu près six heures - vous lui remettez tout ce que vous avez. " Et j'ai dit O.K.. Environ six heures plus tard, il arrive ; on lui avait tout mis sous enveloppe ; on le lui a donné ; et il repart pour le commandement du Groupe d'Expérimentation de l'Armée de l'Air - et ils ne nous ont jamais avisés officiellement qu'ils avaient bien reçu ces photos. C'est devenu secret ; c'est devenu opaque - comme si ça n'était jamais arrivé. Mais j'avais des copies de ces photos, alors j'ai dit aux gars - aux cinq - je leur ai dit : " O.K. les gars, voilà une copie pour chacun d'entre vous. Gardez-les pour vos petits-enfants. " Maintenant, pour autant que j'en sache, cette mission a été arrêtée - mais ça nous avait tous intéressé, parce qu'on avait vu des faits, vous savez ? - pas du radar, pas des trucs codés - mais on était là, et on avait des photos d'eux. Quand ils ont commencé à bouger et que l'antenne radar s'est mise à tourner - le faisceau de votre radar tournait en effectuant quatre balayages par minute - le temps qu'on les "balaye", ils étaient hors de vue. Une fois qu'ils ont commencé à bouger, ils sont montés tout droit et ils ont fait : zap ! Et ils se sont retrouvés hors de notre portée. On avait une portée de 260 milles (480 km) ; alors quand vous faites le calcul, c'était plutôt rapide. Dans l'inventaire de ce qu'on avait, on n'a jamais retrouvé quoi que ce soit qui allait à une telle vitesse [ceci se passait dans les années 1940]. Vous savez pourquoi on a arrêté de faire exploser des armes nucléaires ? On a reçu l'ordre d'arrêter de la part de ces ETs d'Orion. Orion - ils sont descendus et ils nous ont dit : "Ecoutez, vous pourriez vous détruire vous-mêmes ; par conséquent, nous ne tolérerons pas ça. Si vous faites ça - si vous faites exploser cette planète - et vous en avez maintenant les capacités... " C'est à ce moment-là qu'on a vraiment attiré leur attention, et ils sont descendus et ils ont dit : "Ecoutez, nous ne vous laisserons pas détruire votre planète, par conséquent nous voulons que vous arrêtiez tous vos essais nucléaires. " Ils nous avaient déjà empêchés d'utiliser des armes et ils nous ont dit : " Plus d'essais nucléaires. " Maintenant la Russie et les Etats-Unis - on croyait alors fermement que ces gens-là étaient capables de faire ce qu'ils disaient. Et vous avez vu l'époque où ils se sont tous montrés au-dessus de Washington D.C., et on a lancé nos jets à leur poursuite, et à chaque fois que les jets décollaient, les OVNIs filaient hors de portée, où ils allaient dans une autre dimension. Les jets revenaient à la base, et les OVNIs revenaient au-dessus de Washington - en foutant sacrément la frousse à |
page 98 ... tout le monde à Washington - qu'est-ce qu'ils vont faire ? [Voir le témoignage du Colonel Dedrickson, le fonctionnaire de ZAEC et de l 'Air Force (t. 1). SGJ Ce qui s'est passé, c'est qu'on a découvert que les radars à grande puissance agissaient sur leur stabilité, parce qu'on pouvait voir les amplificateurs et les stabilisateurs descendre quand ils étaient bas et lents. Le radar avait un effet sur les OVNIs quand ils étaient bas et lents. On savait déjà ça : on le savait avant 1947, avant qu'ils descendent. Où étaient la plupart de nos radars ? White Sands, et en bas à Roswell. Qui était stationné à Roswell ? La seule escadrille au monde à avoir des bombes nucléaires. Par conséquent - ça les intéressait, et on avait un tas de radars là-bas, parce qu'on s'était mis à protéger tout ça du mieux qu'on pouvait. Eh bien on a concentré sur eux les faisceaux de plusieurs gros radars très puissants, et ça a provoqué la collision de deux d'entre eux. L'un deux est celui qui est tombé et qui a atterri dans le ranch ; l'autre était celui qui est tombé sur la berge, et il transportait deux extra-terrestres ; [ils étaient] allongés à l'extérieur quand on est arrivés là-bas. L'un d'eux était blessé ou assommé, et l'autre était vivant à ce moment-là mais il a décédé avant même qu'on ait pu l'amener à un endroit quelconque. Mais
l'autre [ET du deuxième crash] - a été gardé
là-bas, à Los Alamos, pendant près de trois
ans. Il est tombé malade. On a émis [des signaux]
sur toutes les fréquences qu'on pouvait, qu'il était
malade ; que ce n'était pas nous qui avions fait ça,
qu'ils pouvaient venir le prendre s'ils le voulaient-mais il
est mort avant qu'ils viennent là-bas. Ils sont venus
et ont pris son corps, et c'est à ce moment-là
qu'ils sont allés sur Washington et ont constitué
cette formation au-dessus de Washington ; par conséquent,
ils ont récupéré son corps. |
page 99 [Voir le témoignage de
Clifford Stone qui était dans une équipe de ce
genre, laquelle était mise en place sous la forme d'une
équipe de gestion du NBC - nucléaire, biologique,
chimique. SG] _________________________________________ |
page 100 L'Allemagne
avait déjà récupéré des OVNIs
avant - c'était en 1931, 1932 - et ils les ont ramenés
en Allemagne et ont commencé - comme nous le faisons maintenant
- à faire de la rétro-ingénierie. Ils ont
lancé ça et avant même que la guerre commence,
ils avaient un OVNI qui fonctionnait. Ils lui donnaient le nom
de - maintenant je ne saurais pas le prononcer exactement comme
un Allemand - mais c'était les "Heun-di-dou"*
[transcr. phon.] Un et Deux. Le Deux est celui que vous voyez
et qui fait environ trente à quarante pieds (9 à
12 m) de diamètre, avec trois sphères qui pendent
en dessous, qui montent et qui descendent quand ils atterrissent
- quand ils rebondissent à l'atterrissage. Alors à
l'époque, les "Foo Fighters" n'avaient personne
à bord - ceux-là c'était des engins sans
équipage, mais ils avaient un moyen de propulsion qui
faisait qu'ils pouvaient rester directement à la hauteur
des boucliers de protection latéraux des pilotes de chasseurs,
et il lui était impossible de faire quoi que ce soit pour
l'esquiver - ça lui était impossible ; il restait
directement là. Maintenant le truc, c'est qu'il pouvait
voler à travers nos formations et flinguer votre moteur,
ça peut arrêter des blocs moteurs, parce que ça
utilise une propulsion électromagnétique à
antigravité. On a par conséquent commencés
à être confrontés à ça dans
les formations de bombardiers. Et les chasseurs - il leur était
impossible de faire quoi que ce soit pour s'en débarrasser.
On a des tas de films - des films documentaires - qui montrent
ça dans les archives. Et ensuite, on a encore eu toute
une tripotée de trucs des Allemands après la guerre,
parce qu'on a ramené - pas seulement von Braun - mais
on a ramené Schauberger jusqu'ici, et un certain nombre
de gens de l'électromagnétique de chez eux qui
travaillaient sur les OVNIs. Il nous a donné une sacrée
avance sur tous les autres. _______________________________________________ |
page 101 Mais à quoi tournons-nous
? Tout le siècle dernier, on a tourné au pétrole.
Qui contrôle le pétrole dans le monde ? Un tas de
gens croient que c'est l'Irak, l'Iran et ainsi de suite. Ce n'est
pas eux. C'est nous qui le contrôlons - nous et les intérêts
britanniques. Un certain nombre de gens font référence
à ça comme étant le gouvernement secret
: un groupe d'hommes les plus riches du monde contrôle
le pétrole. Vous n'avez pas besoin de voiture sauf si
vous avez un moteur à combustion interne. Eh bien si vous
disposez d'une de ces unités qui fait environ quarante
centimètres de long sur vingt centimètres de large
et vingt-cinq centimètres de profondeur, vous n'avez plus
besoin de vous brancher sur le réseau électrique
local. Ces dispositifs ne consomment rien - pas de pollution
; ça ne s'use jamais parce qu'il n'y a pas de parties
mobiles - ce qui bouge, ce sont les électrons au sein
du champ magnétique ; du champ électronique ; et
ils tournent dans des directions opposées, O.K. ? Vous
en mettez un dans une voiture - et la voiture rouillera et tombera
en morceaux tout autour de lui avant même qu'il soit usé.
Par conséquent, qu'est-ce que tout ça va bien pouvoir
faire à une économie mondiale qui tourne au pétrole
? |
page 102 [Voir le témoignage du colonel Corso qui affirme que ces créatures étaient des clones produits par les premiers ETs. SGJ Vous savez, le gouvernement sud-africain
admet qu'ils ont récupéré un engin ET. Ils
n'ont pas hésité à le dire. Ils ont diffusé
un documentaire où il y a un sergent de police qui dit
qu'ils en ont récupéré un - il montre même
des images de la récupération et ainsi de suite.
Maintenant, ce que j'ai lu, c'est qu'il y a eu un accord passé
entre notre gouvernement et eux - que nous ne dirions rien au
sujet de la mise au point et de l'utilisation de leur première
arme nucléaire ; que si nous ne pouvions pas leur apporter
notre soutien aux Nations Unies ; que nous garderions le silence
- et qu'ils nous donneraient ce vaisseau. Et on a convenu de
ça ; et eux aussi. On a envoyé un "C-5A Galaxy"
là-bas et on a ramené le vaisseau, et en même
temps les deux extraterrestres qu'ils en avaient retirés.
Tout ça est allé à la base aérienne
de Wright Pat' à Dayton, dans l'Ohio, où on envoyait
habituellement la plupart des choses qu'on récupérait.
Ils sont à environ huit niveaux sous terre, et c'est là
qu'on stocke tout ça. |
page 103 sortir leurs "Badgers"
et leur "Beavers" ; ils faisaient sortir leurs MIG
; par conséquent, la 21 e Escadrille de Chasse d'Alaska
- ils ont décollé et ils les ont interceptés,
et ils étaient tous armés. Heureusement personne
n'a tiré. Alors notre contrôleur a vu - au moment
où ces MIG posaient des problèmes - qu'il y avait
un autre vaisseau qui arrivait, et notre contrôleur entendait
les Russes qui disaient : " Interceptez ce vaisseau. "
Ils le qualifiaient de "vaisseau" - ce n'était
pas quelque chose que nous connaissions ou que les Russes connaissaient.
Par conséquent, les deux MIG ont débuté
leur manceuvre d'interception. Notre contrôleur a dit au
gars de chez nous : " Ecartez-vous de là ; restez
en vue, mais n'essayez pas d'intercepter ce vaisseau ! "
Alors, au moment où les Russes ont actionné leurs
armes, en prenant l'OVNI pour cible - les missiles ont tous les
deux été détruits, tout simplement comme
ça - l'un après l'autre. Le gars de chez nous ne
s'est pas fait tirer dessus, et il est revenu à la base.
C'était un général russe "deux étoiles"
qui racontait cette histoire, et ils ont également interviewé
l'amiral dont le fils lui avait raconté cette histoire. page 104 alors qu'est-ce qu'on est en train de faire? La Russie ne représente plus une menace pour nous, mais si nous continuons à tirer sur ces extraterrestres, ce sont eux qui pourrait représenter une menace. On devrait arrêter avec ça. On devrait avec ça. On devrait demander à ce que notre gouvernement vesse d'abattre ces extraterrestres. On devrait coopérer. FIN du témoignage. |